Dans l'année de mes quatorze ans , l'année du certificat, j'avais eu deux amants et ma petite voisine Patricia qui se faisait sauter par tout le quartier y compris par son père .Un de mes amants était l'ami de mes parents, il m'abandonna pour un copain plus innocent que moi et surtout vierge pour être plus cru , puceau . Quant au premier amant mon instituteur , Jean, malgré mon changement de classe , j'étais toujours abonné aux cours supplémentaires qu'il donnait le jeudi après midi et le dimanche matin payés par mes parents pour l'obtention de mon diplôme et en plus chez lui dans sa maison .Notre relation s'est affinée et est devenue plus affective que charnelle, notre relation était en définitive , un jeu de rôle, il dépensait beaucoup d'argent à me faire une garde robe de femme fatale et de lolita. Aussitôt arrivé chez lui, je me dirigeais vers la salle de bain, il me dénudait lentement, me caressant et m'embrassant sur tout le corps et là , j'appris à me servir d'une poire de lavement, chose que je connaissais pas, ensuite je passais dans sa chambre, je m'asseyais devant une petite table sur laquelle il y avait un miroir et différents produits de maquillage, une fois bien grimé, je revêtais les vêtements disposés sur le lit, il y avait une petite culotte en broderie, un porte jarretelle , des bas noir à coutures, une guêpière ainsi qu'une perruque aux cheveux brun froncé, coupés au carré car il n'aimait pas mes cheveux longs ensuite j'enfilais une jupe d'une couleur sombre fendue sur le côté, je glissais mes pieds dans des escarpins à petit talon et je le regardais en train de revivre .Je le voyais chercher son appareil photo et son délire commençait, je prenais toutes sortes de postures dans toutes les pièces de sa maison, son excitation se voyait, son pantalon avait gonflé, je devinais son sexe bandé, tendu à l'extrème , au fur et à mesure des poses, la fébrilité l'avait gagné ,ne pouvant résister plus longtemps, ôtait son pantalon et sa chemisette, me poussait vers la chambre, tout me couvrant de baisers, je m'agenouillais sur le bord du lit, il écarta ma petite culotte pour laisser apparaître ma petite rosace toute ouverte sans prendre quelques délicatesses, il me pris violemment, je sentais son gland rentrer et sortir tandis que ses bourses me fouettaient les fesses même que son excitation me ...

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