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Le père de mon pote (suite)

Publié par : suceur16 le 22/09/2021

Une dizaine de jours sont passés sans que je n’ai plus de nouvelles du père de mon copain Mathieu. Il était entré dans ma vie par surprise, sans que je m’y attende ni que j’ai bien le temps de saisir ce qui arrivait. Et maintenant, il me manquait. Le soir je me branlais en pensant à sa queue épaisse allant et venant entre mes lèvres. Deux fois, j’ai fait un détour par les toilettes du parc. Mais mon espoir de l’y croiser fut déçu. La première fois, il n’y avait personne. La seconde, j’ai du me contenter de la bite flaccide d’un petit vieux qui aurait pu être mon grand-père. Puis un soir, comme je sortais du bahut, je l’ai aperçu qui me faisait signe derrière le volant de sa voiture stationnée à quelques mètres du portail. J’ai d’abord cru qu’il venait chercher Mathieu, puis j’ai réalisé qu’il finissait plus tard, ce jour-là, puisque sinon, nous serions partis ensemble. Je me suis approché. Il a baissé sa vitre et m’a souri en disant : « Monte, je t’emmène faire un tour. » Je me suis installé sur le siège passager et il a démarré. Nous avons roulé un petit moment dans le silence, il avait pris la route qui quittait la ville en direction de l’Est, longeait quelques kilomètres la voie ferrée puis partait à l’assaut des coteaux qui dominaient la vallée. Le paysage a changé, les vignes cédant la place à des prés entrecoupés de bois puis à la forêt épaisse qui couvrait les pentes. Il a rompu le silence un court instant : « Au fait, je m’appelle Michel, je ne sais pas si Mathieu a eu l’occasion de te le dire... », puis a bifurqué sur une route étroite perpendiculaire à la pente et qui se perdait bientôt en un chemin forestier étroit, bientôt impraticable en voiture. Il stoppa le moteur et me dit de le suivre. Après quelques mètres sous le couvert forestier, nous sommes arrivés au pied d’une petite falaise dans laquelle s’ouvrait une cave sombre et humide, souvenir d’une ancienne carrière. Il s’y est engagé de quelques pas puis s’est tourné vers moi. Tout en commençant à défaire son pantalon il m’a lancé : »Putain, j’ai envie de me faire sucer ! Allez, fous toi à genoux et fais ton boulot ! » J’ai commencé à lui tailler une pipe et pendant que sa main sur ma nuque me guidait vers la base de sa tige gonflée, il m’interpelait vivement, m’incitant à continuer : « Ouais, vas y, c’est bon ça, bouffe bien la bite, oui ! Avale tout ! Elle est bonne ma queue ? Oui elle est bonne, tu te régales ! Allez, suce la bien, viens pomper le jus ! »Il a giclé si puissamment sur ma langue que son foutre a débordé, me dégoulinant sur le menton. J’allais me relever, mais sa main m’a maintenu fermement vers le bas : « Non, non ! Continue ! Tu vas me faire gicler une deuxième fois, c’est trop bon... » J’ai continué à faire aller et venir sa bite molissante dans ma bouche et à lui sucer les couilles, jusqu’à ce qu’elle reprenne de la vigueur. Alors comme la première fois, il a pris ma tête à deux mains et en faisant de grand va et vient des hanches, il a commencé à me baiser la bouche méthodiquement, poussant son gland contre ma glotte et jusqu’au fond de ma gorge. Je retenais le vomi qui me remontait à chaque fois qu’il pénétrait mon larynx, me suffoquant et m’arrachant des larmes qui roulaient sur mes joues, se mêlant aux giclures de sperme de sa première éjac. Cette fois, il était silencieux, concentré sur son plaisir. Dans la pénombre, je l’entendais respirer lourdement, son souffle devenait de plus en plus rauque. Soudain, il s’est retiré d’entre mes lèvres, et une giclée de jus tiède et gluant est venue s’accrocher sur ma pommette, suivie d’une autre, puis d’une troisième qui m’a frappé au front, juste au dessus de l’œil. Il a rangé sa bite dans son slip, et en se rebraguettant, alors que je reprenais encore mon souffle agenouillé sur le sol de poussière humide, il m’a dit de rester comme ça jusqu’au retour, qu’il trouvait ça beau, mon visage souillé de son sperme. Quand j’ai eu définitivement repris mes esprits, nous sommes retournés à la voiture et il m’a conduit en ville. Au contraire de l’allée, il n’arrêtait pas de parler. Il me complimentait, se plaignait d’autres mecs qui l’avaient sucé n’importe comment ou qui n’était même pas capables d’encaisser une bite dans leur gosier… Puis au bout d’un moment, il a fait une pause et, reprenant d’un ton plus sérieux, m’a demandé si je m’étais déjà habillé en fille. Je lui avouais que oui, mais que c’était toujours seul, pour moi-même. « Ça te dirait de venir chez moi, un après-midi, et de t’habiller en fille ? » J’acquiesçais. « Et si j’invite un ou deux copains, ça te plairait aussi ? » Après la séance de fellation à la chaîne qu’il m’avait offerte un peu plus tôt et qui m’avait mis dans tous mes états, je ne pouvais que répondre oui. « Samedi prochain, Mathieu et sa mère partent pour la journée chez la grand-mère maternelle de Mathieu. Je serai tranquille. Essaye de trouver un prétexte et de me rejoindre. On va s’amuser. » Le voiture déboucha devant le lycée. Il me tendit un kleenex avec lequel je me toilettais le visage, puis je le laissai en l’assurant que je ferai tout mon possible pour être là samedi.Le lendemain était un mercredi. J’avais rendez-vous avec Mathieu dans l’après-midi pour disputer une partie de tennis. Nous avions l’habitude de jouer ensemble deux mercredi par moi, et pour pimenter un peu les parties, nous avions convenus que le vainqueur pourrait demander ce qu’il voulait au perdant du moment que cela était réalisable. Dans les faits, nos demandes se limitaient généralement aux solutions d’un problème de math ou à une cannette achetée au distributeur du club house. Ce jour-là, pour la deuxième fois consécutive, je me sentais mal à l’aise de me retrouver en tête à tête avec Mathieu après ce qui c’était passé avec son père… et ce jour là plus encore que deux semaines auparavant, dans la mesure où notre relation commençait à prendre un tour aussi durable qu’inattendu. Paralysé par ma gêne, je fus incapable de jouer correctement et encaissait un pitoyable 6-0 ; 6-1, tant et si bien que nous avions fini le match bien avant la fin de l’heure de location du cours à laquelle nous avions droit. Aussi sommes nous allés profiter des installations du club house, désert à cette heure-ci, pour nous doucher et nous délasser avant de reprendre nos vélos et de rentrer. En gagnant le local puis en nous douchant, nous riions de ma partie catastrophique, refaisant le film des pires points. Alors que nous nous séchions, Mathieu a conclu en disant qu’après ça, j’allais devoir lui faire un sacré cadeau pour me rattraper. Je lui répondis du tac au tac que pour sûr, j’allais devoir me fendre de deux cannettes. C’est à ce moment qu’il a cessé de rire net, et ne fixant froidement, il a répondu qu’il espérait bien mieux que ça. Un silence gêné s’est installé quelques secondes. Nous grelottions soudain, juste couverts de nos serviettes ceintes autour de la taille. Il l’a rompu d’une voix blanche et monocorde, d’une seule question nette et concise : « T’as vraiment ...

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