Après avoir assouvi les envies de mon quadragénaire, je suis retourné au bistrot du challenge et je fus quelque peu ému par l’absence de Jules qui n’était pas revenu de sa première passe. Je savais que j’avais fait relativement rapide mais ma sensibilité me plaçait dans une situation de stress relatif.Je m’assis au comptoir où personne ne siégeait et je commandais une coupe de champagne. Le barman me servit et je regardais autour de moi, plus dans l’espoir de voir mon Jules que de repérer une nouvelle proie.Et vint s’asseoir à côté de moi une femme d’un âge certain qui me demanda si elle pouvait me payer ma coupe et en boire une à mes côtés. J’acceptais non sans arrière-pensée (business is business). Je devinais rapidement qu’elle portait une perruque et elle était maquillée très élégamment. J’appréciais également sa tenue, qui pour son âge, était plutôt osée. Elle remarqua que j’observais avec attention ses vêtements et elle me proposa de palper le tissu de sa jupe. Elle prit ma main et l’accompagna lors de cette palpation de l’étoffe. Elle me dit alors : « L’intérieur est encore plus doux. Vas-y ». Voyant que j’hésitais, elle fut plus ferme sur ma main, qu’elle dirigea vers l’intérieur de sa jupe. La doublure était effectivement extrêmement douce. Elle me dit alors : « Tu crois qu’avec une doublure aussi douce, on a envie de mettre une culotte ? ». Là, j’étais scotché ! A son regard, je répondis que non et elle me rétorqua : « Tu paries combien ? ». La surprise était totale et je lui demandais dans quel sens parier. Elle me répondit : « Si je porte une culotte, tu perds et si j’en porte une je gagne ». Elle était vraiment en pleine provocation ! Je lui répondis : « Et moi, quand je gagne ? ». « Quand nous baiserons ensemble mon petit chéri ! », me rétorqua-t-elle tout en tirant ma main sur son sexe. Son sexe était bien tendu et de belle taille ! Rien ne trahissait une telle présence : sa couverture vestimentaire était si parfaite que même sa trique volumineuse était cachée. Sa main initia mon mouvement de masturbation et en m’adressant un clin d’œil, elle me demanda si sa bite était encore plus douce que la doublure de sa jupe. Sa bite, des plus conséquentes, était effectivement des plus douces et j’avais dès lors envie de la prendre en bouche. Elle m’expliqua qu’elle avait compris notre manège avec Jules et qu’elle voulait bien participer à notre challenge. Elle souhaitait pour cela être impartiale avec nous et elle attendait avec impatience que Jules revienne.Sur l’entrefaite, Jules revint et nous le voyions hésitant entre s’assoir à mon côté ou au côté de Nini. Nini, comme moi, l’avait vu arriver dans le miroir de derrière du comptoir et elle lui fit un signe d’une douce autorité qui le départit de son hésitation. Il s’installa donc à côté d’elle. Elle lui proposa une coupe, qu’il accepta. Jules me regardait dans le miroir avec un air interrogatoire et elle lui expliqua la situation sans lui dire ce qu’elle possédait entre les cuisses. Elle édicta la règle suivante : celui de nous deux qui lui procurerait le plus de plaisir recevrait la plus grosse somme ; le montant de nos gains serait proportionnel au plaisir provoqué par chacun.Nos coupes ingurgitées, nous montâmes dans le taxi qu’elle avait réservé et elle se plaça entre nous deux. Elle commença par nous demander de lui présenter nos « arguments », qu’elle palpa avec curiosité. Jules et moi étions sous le coup de l’intimidation et nos « arguments » étaient assez souples au début avant de se durcir progressivement sous la douce impulsion de notre cliente directive. Arrivés dans sa chambre d’hôtel (quelques étoiles), elle nous demanda de nous déshabiller réciproquement devant elle sans dire un mot (depuis le début, Jules et moi n’avions pu échanger un mot car elle dirigeait tout avec une douce autorité). Elle me demanda de sucer Jules dont l’érection ne lui semblait pas suffisante et pour cause, celui-ci venait d’effectuer certaines performances que nous apprendrons ultérieurement.Elle se délectait de ma façon de procéder (Jules aussi) et quand je lui fis signe que la queue de Jules était de nouveau opérationnelle, elle ouvrit un livre à une page au hasard (je pense que le hasard n’y était pas pour grand-chose) et elle nous montra une image d’une femme habillée qui bénéficiait d’un cunnilingus et anulingus simultanés. Elle indiqua à Jules de s’allonger sur le dos et elle me dit de lui prodiguer un anulingus quand elle serait en place. Elle s’avança vers la bouche de Jules et j’aurais donné tous les biftons que je venais de gagner pour voir sa tronche au moment où il a vu que ce n’était pas une chatte que Nini lui présentait mais une bite bien large, bien longue et bien dure !Nini ne fut pas déçue de nos savoir-faire et elle commença à gémir dès nos premiers coups de langue. De mon côté, je n’hésitais pas à utiliser les mains que je promenais sur ses fesses et surtout dans son entrejambe, sans hésiter à venir embêter Jules en lui disputant cette bite turgescente qui coulissait entre ses lèvres expertes. J’appelle la bouche de Jules : le puits sans fond. Nini se rendait compte pourquoi : Jules lui faisait cou ...

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