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LE TAPIN... ENFIN

Publié par : isabelleghn le 11/01/2023

Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici une des dernières en date.Note : la prostitution en France est légale... par contre, être client de ce commerce ou en "profiter" est illégal... cherchez l'erreur ! (NdA)Journal d’Isabelle n°28samedi 7 janvier 2023LE TAPINC’était fin décembre, Monsieur Henri, un homme qui est venu plusieurs fois déjà pour un café-pipe... et plus, m’avait alors proposé que je fasse le tapin sur une aire de repos, et que je serve les routiers en mal de petit plaisir.Je lui avais dit que j’avais un peu peur de ça, mais que ça m’excitait aussi pas mal. Et que s’il surveillait de pas trop loin, je voulais bien satisfaire son voyeurisme.Et là, hier, en fin d’après-midi, Monsieur Henri est revenu de ses vacances.— Salut Isabelle... alors ? Je veux que ce soit ce soir que tu fasses la pute. J’ai très envie de te voir te faire baiser par des routiers.— Ce soir ?J’étais vraiment indécise, parce que je ne m’y attendais pas. Je m’étais prévue une petite soirée cocooning...— Oui, ce soir, Isabelle... j’aimerais que tu m’obéisses.Il avait pris un air sérieux, un air qui ne souffre pas la rébellion.Mon caractère de soumise étant ce qu’il est, j’ai baissé la tête.— Oui Monsieur.— Bien, va te changer pour être un peu plus salope.J’ai souri, il avait raison, ma jupe longue me plaisait, mais elle manquait un peu de “sexy”.Je suis monté dans ma chambre, suivi par Monsieur.J’ai mis ma guêpière blanche que je venais de laver, évidemment avec des bas blancs, mes bottines noires, une jupe noire très courte et toujours mon petit collier de soumise.— Attends Isabelle, j’ai vu ce gros collier-là. Je veux te le mettre, comme ça, ils sauront tout de suite à quel genre de chienne ils ont à faire.C’est un très large collier de soumission, en cuir avec des anneaux.J’ai retiré mon petit collier et j’ai offert mon cou. Il a bien serré la fermeture.— Tu as un cadenas ?— Euuuh, oui Monsieur.Il a ainsi interdit qu’il soit retiré sans sa permission.— Allez... on y va !***Sur le parking, sur la route de Chalon, il y avait déjà trois camions, et pas des petits.— Allez, sors, et va te mettre-là. Je reste ici, ne t’inquiète pas, je regarde et si ça se passe mal... tu vois ça ?Il m’a montré une batte de baseball qu’il avait sur le siège arrière. J’ai souri en pensant à la gueule qu’un mec pourrait avoir après en avoir gouté. Je suis donc descendue, rassurée, et j’ai été me poster là où il m’avait ordonné de me mettre. Dos à cet arbre, une jambe pliée en arrière. La pose était, je crois, assez dans le genre... suggestive.Ça n’a pas été très long d’attendre, parce que j’étais à quelques mètres de la cabine d’un camion qui était là. Et je voyais bien le chauffeur.Il me fit signe de venir. J’obéis.— C’est combien ? me demanda-t-il.C’est con, mais on n’avait pas abordé ce sujet avec Monsieur Henri. J’ai dû alors réfléchir fissa. Je me suis rappelée de ce que me disait ma copine Frances... elle m’avait dit qu’elle demande trente euros pour une pipe.— 30 euros la pipe... 50 mon p’tit trou.— Et pour les deux ?— Euuuuh... j’ai eu l’air un peu conne, 70 ! ai-je dis d’un coup.— Monte.J’ai regardé le mec, et j’ai dit :— Mon chou, mon p’tit cadeau d’abord.Le type a souri.— Bien sûr, mais j’espère que t’es une bonne suceuse.— Personne ne s’est encore plaint.Il m’a filé le blé que j’ai coincé dans ma guêpière et je suis montée.— Allez, fais ta pute !Il s’était poussé de l’autre côté, sur le bout de la banquette. Je me suis mise à genoux ...

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