J'avais contacté Tony sur un site de rencontre. Il m'avait donné rdv chez lui le mercredi suivant. Quand j'en ai parlé à Bernard, mon plan cul régulier, il m'a répondu que lui aussi était dispo ce jour-là et que si j'étais intéressé on pouvait plutôt s'organiser un plan à 3 chez lui. Il n’en fallait pas plus que j’acquiesce. Rendez vous était pris, 10h chez Bernard. En arrivant le mercredi matin, Bernard m’ouvre la porte. Il est en t-shirt et en caleçon. Je devine les formes de son chibre a travers le tissus. - Tu es le premier, me dit il- Parfait, je vais pouvoir passer par la douche. Je me déshabille dans le salon, me dirige comme à chaque fois que j’ai un plan avec lui, vers sa salle de bain en prenant bien soin de lui caresser la queue à travers son caleçon en passant. Dans la douche je suis déjà en transe. J’ai beau être versa, aujourd’hui je veux de la queue, et je compte bien me servir. Depuis la salle de bain, j’entend des voix. Tony est arrivé, nous allons pouvoir commencer. Je sors de la douche, me sèche, et me dirige, complétement nu, vers la chambre d’où les vois émanent. Ils sont déjà nus l’un et l’autre. Bernard est sur le bord du lit, Tony se tient debout devant lui. Un téléphone sonne. « Merde c’est le téléphone du boulot », s’exclame Bernard. « Commencez sans moi je vous rejoins ». Je ne me fais pas prier, je prends sa place sur le bord du lit, et je me retrouve face à la queue de Tony. Sur le moment, je ne la trouve pas très impressionnante. Sans hésitation, je la prends dans la bouche. Je lui suce le gland, aspire sa queue, je la sens durcir dans ma bouche. Et plus elle devient dure, plus je prends conscience de sa taille. Ça commence Vraiment à me plaire. Bernard raccroche et nous rejoint. « Ah ben vous avez commencé sans moi ! ». Je lui fais signe de venir se placer à côté de Tony. Bernard le sait, aujourd’hui la pute, c’est moi, et je ne suis pas encore sûr que j’aurais assez de deux queues pour me satisfaire. Il ne se fait pas prier, il s’installe à côté de Tony, l’embrasse à plein bouche, et me met sa queue dans ma main pendant que ma bouche s’occupe de celle de Tony. Je sens Bernard qui durcit. Je la connais sa queue, je sais que quand il est dure elle est énorme. C’est à cause de lui que j’ai pris du plaisir à être passif, moi qui, dans le passé, était plutôt actif dominant. Mais à force de persévérance, il a su ouvrir mon cul, petit à petit, délicatement, et il a réussi à mouler mon trou à sa queue. Si Sa bite à lui rentrait, je n’avais pas de soucis à me faire pour celle des autres. Je suis toujours en train de m’occuper des queues de mes 2 amis. J’alterne entre les deux, puis je me décide à les enfourner en même temps dans ma bouche. Je les caresse avec ma langue, je leur frotte mutuellement le gland. « On ne me l’avait jamais fait ça ! » s’exclame Tony. Mon pauvre, tu n’as aucune idée de ce que je pourrais te faire découvrir. Bernard me fait signe de m’allonger sur le dos pour pouvoir me sucer la queue. Je m’exécute et laisse pendre ma tête de l’autre côté du lit. Là, la tête en bas et la bouche bien ouverte, Tony vient caler sa queue jusque dans le fond de ma gorge. Je sens son gland me taquiner la glotte. Il rentre et sors son énormément queue de ma gorge. Pendant ce temps, Bernard me suce la queue et s’affaire à me lubrifier mon trou de salope. Tony me tient la gorge comme s’il s’agissait d’une paire de hanche, et me baise la gorge comme si c’était un cul. J’adore ça. Ma bouche, mon cul, ma queue, toutes mes zones érogènes sont sollicitées. Bernard me redresse les jambes et je sens sa queue caresser l’entrer de mon trou. Je sens d’abord son gland qui entre, puis son énorme tige s’insère en moi. J’ai toujours la bite de Tony dans le fond de ma gorge, des filets de bave s’échappent de ma bouche à chaque fois qu’il ressort pour y re-rentrer de plus belle. Ça y’est le moment est venu, j’ai 2 queues en moi. Bernard me pilonne le cul, alors que Tony fait de même dans ma gorge, je gémis de plaisir, je n’en peux plus, je manque de m’étouffer. La vue que j’ai pendant que Bernard me défonce est magnifique. Je vois les couilles de Tony. Je sers son cul entre mes mains, lui continue de me baiser la gorge. Bernard se retire, et je me mets à 4 pattes, le cul bien tendu en face de Tony. Je sens sa queue qui me pénètre. J’adore, il ne prend pas de gants et me l’enfonce direct jusqu’au bout. Bernard se couche perpendiculairement à moi pour que je m’occupe de sa queue. Tony me bourre, je comme une salope, et sans ménagement. J’ai la bite de Bernard dans la bouche, je lui suce, le lèche, passe ma langue autour de son gland pour mieux l’enfoncer dans la bouche. Tony est derrière, j’entends ses coups de hanche, ses couilles qui claquent sur mon cul. J’en peux plus, je crie de plaisir, « baise moi, putain, baise-moi comme une pute ! ».Tony ralentit, il ne va pas tarder à jouir me dit-il, et il veut tenir encore un peu. « Pas de problème, j’en ai une autre à disposition ». Tony n’a même pas le temps de retirer sa qu ...

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