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Les collegues de ma femme (suite)

Publié par : voyeurcoquin le 05/03/2024

Je n’eus pas trop le temps d’y réfléchir, déjà elle était dans mes bras et nous suivions langoureusement le rythme lent de la danse. C’était un vrai bonheur de danser avec mon épouse, de humer son parfum enivrant dans le creux de son épaule, d’avoir ses deux merveilleux globes mammaires écrasés contre la poitrine, les mains au creux de sa taille qui devinaient la courbure toute proche d’une croupe callipyge. On aurait pu rester des heures à danser avec elle. Mais là ce n’était pas possible, nous avions des invités.Dès les dernières mesures de la chanson, nous nous séparâmes et je la raccompagnais à son siège. Mais elle n’eut pas le temps d’y prendre place, déjà Gérard avait jailli de son fauteuil et s’offrait à me remplacer alors que débutait la chanson suivante: « Je t’aime, moi non plus » avec Jane Birkin et Serge Gainsbourg., chanson oh combien chaude et pleine de sous-entendus très explicites.J’entendis simplement mon épouse marmonner quelque chose comme: « Et voilà, c’est parti! ». Mais n’étant pas certain d’avoir bien compris, je ne prêtais pas trop d’attention à ces quelques mots.Afin de respecter l’ambiance que commandait cette musique alanguie, je vins au lampadaire afin d’en baisser la luminosité et plonger la pièce dans une semi pénombre qui nous permettait toutefois de distinguer les choses.Le couple se trouvait de l’autre côté de la table, pile devant moi.Je remarquais que Guy et Jean-Luc étaient devenus soudainement bien silencieux et qu’ils étaient occupés à fixer Joss et Gérard comme s’ils s’attendaient à quelque chose. Ils étaient tous les deux tournés vers eux, la bouche entrouverte, fixant et espérant je ne sais quoi.(Pour décrire les scènes qui vont suivre j’utilise sciemment le présent, qui est un temps qui permet de donner plus de relief , plus de force à l’action).D’après ce que je peux distinguer, Gérard tient mon épouse étroitement enlacée. D’une main il a rejeté ses cheveux derrière son épaule et ses lèvres reposent sur son cou, sa bouche accomplit un lent mouvement de caresse allant du creux de l’épaule jusqu’à derrière l’oreille en y déposant de petits baisers. Ce genre de baisers qu’elle a coutume d’apprécier puisque ce sont ces mêmes baisers que j’aime lui donner lorsque je lui fais l’amour et ces mêmes baisers qui la font spécialement fondre et l’amener si vite à l’orgasme. Mais là, ce n’est pas moi l’acteur principal, c’est un étranger et bizarrement elle se laisse faire, elle reste sans réaction. Moi non plus d’ailleurs, sans réaction tellement je suis surpris par la privauté de Gérard et l’impassibilité de mon épouse. En même temps je suis assez curieux de voir jusqu’où elle va accepter ce comportement que je juge déplacé de son partenaire.La danse est très lente, le couple bouge à peine, les corps s’incrustent de façon provocante et c’est avec stupéfaction et effroi que je m’aperçois après une lente rotation que Gérard a tout simplement empaumé les deux fesses de Joss et qu’il les malaxe avec délice. Mon épouse? Aucune réaction, toujours aussi placide, elle se laisse peloter, tripoter. Moi? Complètement paralysé! Complètement dépassé par les évènements. Il faudrait pourtant que je réagisse, que je demande à Gérard de se calmer, à mon épouse d’adopter un comportement un peu plus décent! Mais pourquoi elle ne dit rien! Son manque de réaction ne me pousse pas à intervenir et c’est ainsi que j’attends la suite des évènements mais avec une boule dans l’estomac tant la situation me rend malade de jalousie.Et la suite ne va pas arranger les choses. En continuant à danser mon épouse a légèrement écarté ses cuisses permettant à Gérard d’incruster une de ses jambes entre elles. Il l’avance alors au maximum ce qui a pour effet d’appuyer sur le mont de vénus de la femme qu’il sert dans ses bras et de remonter sa jupe au ras des fesses, le vêtement restant toutefois bloqué par l’excroissance du fessier. Ce mouvement du tissu découvre deux larges bandes de chair blanche au-dessus des bas et laisse apparaître les stries rouges des jarretelles. Mon épouse réagit aussitôt à cette sollicitation car on peut s’apercevoir que son bassin est désormais animé d’un lent mouvement de balancier. En fait, elle se masturbe littéralement sur la cuisse de son partenaire. Puis les lèvres de Gérard quittent le cou, glissent le long de la joue et s’emparent de la bouche de sa cavalière. Les bouches s’ouvrent, les langues se mêlent et les salives se mélangent. Cette fois les choses ont le mérite d’être claires, ces deux là accomplissent véritablement un acte d’amour, sans se cacher des autres, mais surtout sans se cacher de moi, l’époux trompé, le cocu de la farce! Et je ne dis toujours rien, paralysé, glacé d’horreur et de jalousie!Je vois Guy, assis dans le canapé à ma droite, qui devient de plus en plus nerveux, il me lance depuis quelques instants des regards interrogateurs teintés d’inquiétude. Soudain, sans doute rassuré par mon impassibilité apparente, il surgit de son siège et se précipite vers le couple enlacé. Il se colle littéralement dans le dos de mon épouse, ses mains s’insinuent entre les deux corps et je vois distinctement qu’elles viennent conquérir les deux seins qu’il se met à pétrir, triturer avec délectation. Mon épouse ne réagit pas plus face à cette intrusion qu’elle n’avait réagi auparavant. Elle est dorénavant proprement écrasée entre les deux corps des mâles en rut qui sont trop heureux de disposer à leur guise d’une si belle femelle, disponible et abandonnée, qui les autorise à toutes les privautés.Je continue à ne rien dire et à souffrir en silence, me préparant à boire le calice jusqu’à la lie.Tout à coup, les mains de Guy abandonnent les seins et s’activent sur le torse de mon épouse. Je comprends immédiatement qu’en fait il déboutonne le chemisier. Dans le même temps, les mains de Gérard s’activent, elles, dans le bas de son dos. Il déboutonne la jupe et j’entends nettement le crissement de la fermeture éclair.Ils sont en train de la dévêtir. Ma femme se laisse déshabiller pas deux hommes, dans le domicile conjugal et devant son mari, deux hommes qui manifestement n’ont ...

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