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les collegues de ma femme ( suite)

Publié par : voyeurcoquin le 17/03/2024

Désormais je suis un spectateur passif. J’ai décidé une fois pour toute de ne pas intervenir et de laisser les choses se faire puisque manifestement c’est la volonté de mon épouse. Cette décision a le don de me libérer l’esprit et c’est avec plus de sérénité que je regarde la suite de ce spectacle oh combien érotique, on peut même dire hard. Cette sérénité toute neuve ne tarde d’ailleurs pas à porter ses fruits puisque c’est avec surprise que je m’aperçois que mon pantalon est depuis peu déformé par une formidable érection. Je me promets que, moi aussi, j’allais profiter de cette si parfaite disponibilité de mon épouse et de ce déchainement sexuel.Puis comme prévu, Guy dégage son visage de cette profonde vallée. Il présente alors son index sur l’anus détrempé et l’enfonce sans difficultés apparente. Après quelques allers et retours afin de vérifier la bonne lubrification du conduit, il se met à tourner son doigt en évasant la cavité afin d’en élargir l’ouverture. Puis il introduit un second doigt en pratiquant la même manœuvre, puis un troisième. Apparemment il parait satisfait du résultat et, après quelques minutes, il juge enfin l’assouplissement suffisant. Il se relève et rapidement il se dévêt complètement. Tout de suite je suis étonné par la magnifique érection qu’il présente. Un sexe plus long que la normale, épais et qui pointe légèrement vers le haut. Mon épouse, devinant la suite ou habituée au scénario, écarte alors ses fesses de ses deux mains, attendant, soumise, l’introduction du dard brûlant. Guy approche, son sexe brandi à la main, il fléchit légèrement les jambes afin de l’amener à la bonne hauteur, positionne le gland à l’entrée du sphincter et d’un léger coup de rein le fait pénétrer sans difficulté. Alors mon épouse relâche ses fesses puis d’une lente poussée inexorable, Guy fait disparaître la colonne de chair dans ses entrailles. Elle a arrêté de respirer afin de profiter et de suivre au mieux l’intromission anale qu’elle facilite en cambrant ses reins au maximum, obligeant Gérard a tendre le cou pour ne pas perdre le contact. Cramponné aux cuisse de sa femelle, Guy ne s’arrête que lorsque son ventre se trouve plaqué contre les fesses majestueuses, les pressant avec une telle force qu’elles forment un bourrelet de chair qui déborde de chaque côté des corps. Je dois dire que cette scène me laisse pantois car, avec moi, elle s’est toujours refusée à subir une sodomie sous prétexte que ce n’était pas naturel. Je me dis qu’elle ne perdait rien pour attendre.Gérard ôte alors sa tête d’entre les cuisses de ma femme et enfonce plusieurs doigts dans la vulve dégoulinante, puis il fait faire à sa main de rapides allers-retours provoquant par la même un bruit de clapotis qui, bientôt, se conjugue aux claquements que le ventre de Guy provoquent contre le fessier si accueillant. Son phallus réapparait progressivement, sortant du corps malmené, puis puissamment se réintroduit profondément dans le conduits annal. Mon épouse a maintenant les jambes écartées, légèrement fléchies afin de faciliter la pénétration et la rendre plus complète, plus profonde. Les yeux sont toujours fermés, les deux mains cramponnées dans les cheveux de Gérard comme si elle allait perdre l’équilibre.Nous sommes deux spectateurs à admirer cette scène impudique mais tellement excitante. Tout à coup, je vois Jean-Luc se déchausser, retirer pantalon, caleçon, polo et tee-shirt. Lui aussi exhibe une érection triomphante, un sexe du même acabit que celui qui transperce ma femme, un peu moins long mais plus épais. Je le vois se précipiter auprès du trio, se placer sur le côté et saisir la main de Joss, la poser sur son sexe dressé. Docilement mon épouse s’approprie la verge et la masturbe lentement. Jean-Luc lui prend ensuite la tête à deux mains, tourne le visage vers lui et se saisit avidement de la bouche pour un baiser bref mais torride.Du vagin brutalisé de mon épouse sortent maintenant des bruits de liquide malmené, des clapotis – Flic, Floc – provoqués par la cyprine agitée par les doigts envahissants qui baignent désormais dans un liquide de plus en plus abondant. De ses lèvres entrouvertes la femme infidèle émet une plainte lascive, dont la tonalité augmente au fil du temps.Les assauts de plus en plus ardents de ses deux amants commencent à venir à bout de sa résistance. Désormais elle manque d’air, la bouche grande ouverte laisse désormais passer des sons de plus en plus inarticulés avec des mots de plus en plus crus: « C’est bon! Plus fort! Plus fort! Allez-y à fond! A fond! Vous me faites du bien! Je vous aime! Oui! Oui! Aaaaah! AAAAH! ». La jouissance approche, l’orgasme n’est plus loin. Les deux mâles le sentent venir et accélèrent encore leurs mouvements, augmentent la puissance, l’amplitude de leurs pénétrations. Les formidables coups de boutoir assénés par Guy dans l’arrière train de sa partenaire claquent sur les fesses dont l’élasticité les fait trembler comme un bloc de gélatine que l’on secoue, jusqu’à ses seins qui sont agités comme animés d’une vie propre. Mon épouse perd complètement pieds, elle se met à secouer sa tête dans tous les sens, un seul cri sort maintenant de sa bouche, un OUUIIIIII! continu qui monte en puissance et dans les aigus.. C’en est trop pour elle, elle est subitement prise d’un orgasme destructeur qui lui fait pratiquement perdre conscience. Les trois mâles doivent la soutenir de longues minutes avant qu’elle ne recouvre ses esprits, le sexe de Guy toujours profondément emboité. Doucement Gérard et Jean-Luc lâchent ma femme, Jean-Luc revient vers la table, Gérard, le visage dégoulinant, ôte alors ses vêtements, dévoilant par la même une flamboyante et majestueuse érection, un sexe hors-norme, le gland découvert laisse de son méats perler une goutte annonciatrice de plaisir.Guy n’a pas bougé, toujours abouté au cul hospitalier. Soudain il saisit Joss de ses deux bras, lui serre la taille pour souder encore mieux les deux corps et il se met en mouvement à petits pas à reculons. Ils forment ainsi une étrange créatures, les deux corps ne font qu’un, les jambes bougent dans un parfait ensemble qui les fait se rapprocher du canapé. Guy vient buter ses mollets contre le devant du siège puis il entraîne sa partenaire en arrière en réussissant l’exploit de la conserver toujours bien emmanchée et c’est ainsi qu’ils se retrouvent tous les deux assis, elle sur lui. Guy garde les jambes serrées. Mon épouse a écarté les cuisses de chaque côté. Dans le choc de la chute, Guy parvient à faire encore plus pénétrer la colonne de chair à l’intérieur du boyau, atteignant des limites jamais atteintes et, tel un piston, augmente de façon presque insupportable la pression à l’intérieur des intestins féminins. Puis Guy avance ses fesses sur le bord du canapé laissant la moitié de son postérieur en suspension dans le vide. La femme est ainsi bien arrimée et bien calée sur la verge totalement introduite, le sphincter distendu ne laisse à l’extérieur qu’une paire de couilles bien pleines qui adhérent si bien au bas ventre féminin que l’on ne sait plus dire à quel corps elles appartiennent. Le vagin, au-dessus de cet emboîtement contre-nature, apparait grand ouvert, palpitant, suintant de cyprine, attendant impatiemment le mâle désigné à couvrir cette femelle en chaleur.C’est bien sûr Gérard qui s’avance, son formidable vit à la main. Il s’agenouille de part et d’autre des jambes du garçon et entre les jambes de la fille dont il saisit les genoux et les remonte à hauteur de ses épaules. Le gland se retrouve parfaitement à hauteur dans le bon alignement, il le pose à l’entrée de la grotte brûlante et, d’un formidable coup de rein, il le projette en avant directement au fond de la vulve, abouté au col de l’utérus. Ma femme pousse un grand cri: « Haaaannnnn! ». On ne sait si c’est un cri de douleur ou de plaisir. Peut-être les deux à la fois. Ma femme se retrouve en sandwich, prise à la fois par les deux hommes dont les membres de tailles peu ordinaires sont profondément enfoncés dans les deux orifices, seulement séparés par une mince membrane.Il reste pourtant un orifice de libre. C’est à ce moment que Jean-Luc bondit sur le canapé, enjambe les corps et se place de part et d’autre du torse de mon épouse. Il brandit son braquemart devant le visage de la femme qui, en bonne femelle asservie, ouvre déjà la bouche, prête à recevoir l’offrande. Jean-Luc s’y précipite, s’engouffre dans cette cavité si complaisamment offerte et s’enfonce directement jusqu’aux amygdales. Il conserve quelques instants la position, coupant carrément la respiration de la femme embouchée. Celle-ci, au bord de l’asphyxie, au visage devenu cramoisi par le manque d’oxygène, se met à tambouriner de ses deux poings sur la poitrine de l’agresseur. Je regarde médusé cette scène qui sort vraiment de l’entendement. Jean-Luc se maintient puis consent enfin à lâcher la pression et à libérer mon épouse qui reprend petit à petit une respiration normale. Un flot de bave s’écoule de sa bouche et inonde sa poitrine. Puis elle y retourne, ouvre de nouveau sa bouche en grand, appelant par la même une nouvelle intromission, ce que ne manque pas de faire son partenaire. Cette fois, il évite de l’asphyxier, se contentant de baiser cette bouche comme ...

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