--- Antoine était un ami de longue date, c’était plus particulièrement mon partenaire au jeu de cartes de la contrée. Nous allions une fois par semaine dans un cercle où nous affrontions en tournois d’autres équipes------ Il était un peu plus jeune d’une année, j’avais cinquante ans à cette époque--- --- J’étais divorcé, j’avais une amie avec laquelle nous nous rencontrions les week end, Antoine vivait chez sa mère------ Je l’avais connu sans petite amie, je l’avais mis dans les pattes d’une femme mais de ce qu’il m’avait raconté, cela avait été un fiasco, il n’avait reçu aucune éducation sexuelle, il était toujours puceau. --- Ses phantasmes consistaient à aller dans un bar bader la jeune patronne qui se moquait éperdument de lui et s’en servait comme d’un commissionnaire, je dirais même comme d’un pigeon de service.--- Sa naïveté, sa gentillesse, l’empêchaient de voir le moindre mal, il était un peu innocent------ Ses plaisirs s’étaient de surprendre un triangle de tissu sous les jupes des femmes, il allait ensuite se masturber aux toilettes en repensant à ce morceau de dentelle dérobé.--- Voilà c’était a peu près toute la sexualité d’Antoine------ Donc, après les cartes nous avions pris comme habitude qu’il me ramène chez moi, je lui proposais de boire un ou deux verres de vin rouge, il me demandait de regarder sur Internet les exploits de la Juventus, son équipe de football préférée------ J’étais assis derrière lui sur le canapé, il trônait sur le siège de bureau pivotant, commentait le jeu de son équipe lorsque les vapeurs du vin opérant je commençais à nourrir des phantasmes, je me caressais en imaginant que Antoine pourrait bien me sucer ou que je le sucerai volontiers, j’espérais d’autant qu’il me pénètre------ J’avais sorti mon sexe pour que cela soit plus invraisemblable comme situation, un coussin n’était pas loin, s’il se retournait brusquement, je pensais mettre le coussin sur ma queue.--- En fait je ne savais pas top que penser, que faire, j’étais excité par la situation------ Je ne voulais pas briser notre amitié, je ne connaissais pas les réactions d’Antoine mais j’ose imaginer qu’il serait surpris, peut être choqué, je devais trouver un stratagème------ Sachant qu’il n’avait pas Internet ni aucune connaissance en informatique, toujours en continuant de me caresser au risque de me faire surprendre je lui proposais de regarder les téléchargements de vidéos pornographiques que j’avais, j’avais visé juste, il était emballé par cette idée------ J’ouvrais un dossier dans lequel les vidéos concernées étaient au départ des couples hétéros, puis très vite, des travestis et enfin des gays, je savais déjà où je voulais arriver…--- Il voulait me laisser la place sur le siège mais je lui dis que je pouvais rester debout près de lui, je lui resservais un verre, il était hilare, l’alcool faisait son effet------ Dès le visionnage des premières vidéos, j’observais que le tissu du jean d’Antoine était tendu, la braguette s’en trouvait déformée et malgré l’épaisseur de ce tissu je voyais assez nettement la verge d’Antoine, du moins je l’imaginais et j’en avais la gorge serrée------ Cela devenait intenable, infernal, je commençais à calculer comment caresser cette bosse qui n’avait plus de place dans le pantalon, j’avais l’impression qu’elle m’appelait à l’aide car elle n’avait plus de place et voulait qu’on la libère------ Sans plus réfléchir je me jetais sur la bouche d’Antoine et de ma langue bien dure je pénétrais de force sa bouche, celle ci résistait un peu, petit à petit elle s’ouvrit un peu plus grande et enfin je pu sentir la langue d’Antoine venir se nouer à la mienne, il était hésitant mais je sentais son désir, il commençait à me répondre et nos bouches gourmandes commencèrent à se souder------ Je profitais de ces moments intenses pour caresser la bosse que j’avais vu grossir, sans mal je descendais la fermeture à glissière du jean, je baissais le caleçon d’Antoine et sa queue fusa telle un pantin sorti d’une boîte------ Je n’avais jamais réussi à voir sa bite, il était assez pudique mais je n ‘étais pas déçu, elle était magnifique, assez épaisse et d’une taille correcte, la convoitise me laissait imaginer me faire défoncer par ce magnifique attribut------ Je m’accroupissais entre ses cuisses descendais son pantalon et le caleçon à mi-chevilles, je me jetais sur cet engin et prenais son gland à pleine bouche------ Quelle bonne queue, j’étais content, j’avais tant envie de sa bite depuis longtemps et tout c’était bien passé, ça y est je suçais la bite de mon ami------ Sa bite était bouillante ou alors c’était moi, je ne sais plus, peut-être le vin------ Je faisais des vas et viens sur sa bite, j’essayais de refaire ma copine quand elle me suçait, je ne voulais pas laisser un mauvais souvenir à mon ami, je prenais ses grosses bourses et les soupes ...

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