J'étais en couple voilà depuis quelques temps avec une nana. J'avais 21 ans. L'appart, le chat, les études (on s'est rencontrés sur les bancs de la fac) et le Mcjob à côté. J'étais bien dans mon couple, et en toute sincérité, je l'aimais sincèrement. Mais voilà.. depuis toujours ce désir, cette envie impossible à chasser de son esprit : un corps a corps avec un homme. J'ai toujours su que j'étais attiré par les mecs, minot déjà j'avais ce désir. Mais quand on est ne serait-ce qu'un peu ambivalent, on choisit le côté plus facile et donc la vue d'hétéro: pourquoi tenter l'autre côté sachant toute la pénibilité et la stigmatisation que cela peut engendrer? La peur du rejet, de l'inconnu, du tabou?J'ai contenu ce désir aussi fortement et longtemps que j'ai pu. Mais trop longtemps tue, ce refoulement commençait sérieusement à me peter à la gueule. Branlettes à gogo sur du porno gay. J'affinais ainsi mes goûts, mes préférences, et comprenait de mieux en mieux les fantasmes que je souhaitais réaliser. Et puis un jour, je me lançais…Novice et clairement peu au fait des moyens de rencontres, c'est finalement sur viva street que je me suis attardé. Ouais c'est nul… A l'époque il y avait une rubrique « rencontres gay » sur la base d'un système de petites annonces. C'était parfait pour ce moi timide et réservé de l'époque. Je pouvais explorer le terrain, les envies des autres hommes, la manière de rédiger son annonce,. L'outil parfait pour exprimer mes envies, tout en maintenant l'anonymat, et avec la pudeur qui me caractérisait. C'est ridicule, je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas osé dire que je cherchais une première fois. Du coup, mon annonce exprimait seulement mon envie d'un plan soft, sucer un mec. Et sodo pourquoi pas. Je voulais évidement expérimenter les deux dans la foulée tant qu'a faire. Mais la encore, je n'osais assumer clairement vouloir me faire prendre….je poste donc mon annonce,UNE BOUTEILLE À LA MER.J'ai reçu un paquet de réponses. Mais je crois n'avoir pas franchi le pas avant un bon mois. Trouver du courage pour se lancer certes. Mais surtout trouver le bon partenaire. Ce qui m'a d'abord interloqué dans ce « système », c'était le peu d'efforts que fournissaient les gars dans leur manière de m'accoster. Genre un paquet de mails moisis, avec deux mots écrits en abrégés :_slt! Jh act bien ChoOu alors les mecs qui te font un interrogatoire sans faire l'effort de répondre à leurs propres questions en amont:_salut, envie de quoi? quel quartier ? Tu reçois ? Photos ?Franchement encore aujourd'hui je trouve ce genre de profils peu engageants. Petite aparté les gars : ayez la courtoisie si vous demandez des photos, ou si vous posez des questions, d'en envoyer en premier, et d'y répondre d'abord….Bref, j'ai finalement échangé un Skype avec un mec qui ne s'était absolument pas démarqué du lot… moment de faiblesse peut-être? Ou c'est ma bite qui décidait à la place de mon esprit trop indécis? Peu importe, en tout cas ça avançait..Le dial se passe plutôt bien et il me convainc que nous mettions nos cams pour voir à quoi on ressemble. J'en tremblais presque mais acceptais. Plus habitué que moi, le vilain n'a allumé sa cam qu'après la mienne…m'étais fait avoir. Mais bon, à priori je lui ai plu puisqu'il a allumé la sienne quelques secondes après. Un quadra, plutôt costaud, châtain. De très beaux yeux bleus, et un sourire très charmeur. J'ai tout de suite compris que ça serait lui. J'en avais très envie. Je lui expliquait ne pas être mesuré de recevoir chez moi car en couple. Il me rassure et me propose de vernir chez lui. Il habitait à l'autre bout de la ville, et gentleman se propose de venir me chercher en voiture. Délicate attention qui fait mouche. On consent à se voir l'après midi même. Il passe me chercher. Je ne peux plus reculer, je vais enfin le faire. J'ai mon palpitant, une vrai pucelle. J'étais pas aussi assumé et débridé sans qu'aujourd'hui à cette époque. Très fleur bleu même.Le trajet est plutôt silencieux. On change quelques formules de politesses et des banalités. Il se permet de temps à autres de poser sa malin sur ma cuisse et de me caresser. Ça me fout des frissons partout. Mais je suis incapable de lui rendre le moindre témoignage d'intérêt/de désir en retour. La voiture se gare, nous arrivons. Juste en face de nous un lycée.. Quelle ne fut pas ma surprise quand il me révèle finalement être CPE de ce même bahut et habiter au dernier étage d'un petit bâtiment de quatre étages dans son enceinte. Un peu gêné de remette les pieds dans une école. Et panique de me faire surprendre ou démasquer par une bande d'ados peu évolués sur le plan cérébral. Retour à la raison, c'est les vacances scolaires et pour moi. C' est d'ailleurs c ravi a facilité que nous casions ce rendez-vous dans nos agendas respectifs. Je relative donc et pense pendant que nous montrons les escaliers que l'originalité de l'endroit avait quelque chose d'excitant. Sa profession aussi m'excitait pas mal pour ke coup. Moi qui avait fait les quatre cents coups quand j'étais ado me voyait en pleine réalisation d'un vieux fantasme récurrent mais jamais réalisé : que le p'tit voyou que j'étais se fasse coincer par un membre du corps enseignant et qu'il profite de moi en abusant de son autorité. Bon tout ça c'était dans ma tête, il n'était nul question de ça lors de cette rencontre. Ni jeu de rôle, ni rien de trop brusque. Il met la clef, ouvre la porte et m'invite à entrer.ON Y EST PRESQUE, ENFIN ÇA VA ARRIVER.L'appart est plutôt spacieux, de belles baies vitrées laissent passer le Soleil. Tout est bien rangé, c'est propre. L'environnement aide à se sentir un peu plus à l'aise. Il me propose de m'asseoir dans le canapé. Il s'assied à côté de moi sur ma gauche et colle sa jambe corne la mienne. Nous échangeons quelques banalités supplémentaires. Je suis très tendu. Il me caresse la cuisse à pèsent. Il n'engage pas d'actions supplémentaires pour intensifier le contact. Le silence... je ne sais déjà plus ce qu'on était en train de se raconter…Nous partagions en fait, la même obsession et le reste ne comptait pas : on va baiser. Il me fixe droit dans les yeux, la main continuant à se balader sur ma jambe. J'ose poser la mienne sur la sienne. Je n'ose la diriger vers lui. Toujours ce silence, toujours cette pudeur réciproque. Il me sourit, et je comprends alors instantanément que sa réserve est juste stratagème plutôt intelligent pour ne pas me brusquer, et s'assurer également de mon consentement définitif. Avec le recul, je ne sais pas trop si c'était de la bienveillance, ou s'il redoutait juste de se faire finalement rembarré. C'est donc à moi d'entreprendre la prochaine manoeuvre. Je me sens penaud.ALLEZ PUTAIN, LANCE TOI!!!Je pose la main sur son torse et l'embrasse. Tout ce qui allait se passer à partir de maintenant sera analysé et décortiqué en temps réel. Mais je ne dirais pas que ces pensées sont parasites, ni même qu'elles m'aient privée/s d'apprécier pleinement ce moment. Au contraire, elles m'apportaient la satisfaction de pouvoir enfin cocher ces putains de cases de ma to do list. Toutes ces choses sur lesquelles je fantasmais depuis des années, en m'inventant milles scénarios, milles situations, et je dois l'admettre, avec au moins milles partenaires différents, mais c'est commun à tout monde je pense d'intellectualiser une nouvelle expérience en même temps qu'on la vit. Peut-être à des degrés différents certes. Quelle ironie de découvrir qu'avoir une bite dans le cul peut tout à fait être un moment propice à la réflexion. Mais ne soyez pas trop pressés, je développerai ça dans le prochain paragraphe.Premier baiser échangé avec un homme. J'ai l'impression de fondre. C'est tellement bon. C'est très tendre. Les langues s'entremêlent parfois. Sa barbe de trois jours frotte contre ma peau. Ça irrite un peu trop par moment mais ce me procure en parallèle une excitation nouvelle et tellement intense. Il possédait tous les attributs masculins qui faisaient mouche depuis toujours chez moi.C'est une évidence, Ce mec incarne mon idéal.POURQUOI J'AI PAS FRANCHI LE PAS PLUS TÔT SÉRIEUX?! C'EST TROP BON !!Envie irrépressible de lui caresser le ventre, et son torse poilu. J'ose. J'adore. Je lui fait ôter ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad