Longtemps un haut lieux de la prostitution parisienne la rue de Budapest avait survécu à loi Marthe Richard avec la reconversion de ses bordels en maisons de passe, mais à l'époque où je la fréquentais sa déchéance était totale. Les maisons de passe n'étaient plus que des squats sans électricité, éclairés à la bougie, hantés par des prostituées africaines qui y officiaient sur des matelas putrides jeté à même le sol et protégé des regards par de simples draps tendus pour séparer de grandes pièces en plusieurs "chambres". J'y errais souvent recherchant des gazelles goûtant mes caresses buccales, certaines allant même jusqu’à me gratifier d’un jet marquant sans équivoque leurs appréciations de mes préludes.Ce n’était que comme cela que j'évitais que ces rencontres tarifées ne se limitent à quelques minutes si n’est quelques secondes eut égard à mes piètres performances.Un jour ou ma chasse était veine, je décidai d’entrer dans le cinéma le Havre situé en bas de la rue. C’était un cinema porno comme il en survivait encore après le grand boum des années 70. Je choisis un film sur la base de son titre, seul critère possible en l’absence de photographies. Je mentirai si je disai m’en souvenir, mais le domaine faisait preuve de créativité. Je m'aperçu plus tard que ce choix n’avait aucune espèce d'importance, on circulait visiblement librement entre les salles. Des hommes étaient amassés le long du passage de l’entrée de la salle que j’avais choisi. Je senti dans l'obscurité des mains me caresser les fesses aux passages, innocent je ne comprenait pas, c’était pourtant un film hétéro… Le film n’était pas particulièrement inspirant, je changeai de salle, mais ce n'était pas mieux, de salle en salle je revint à la première, après avoir vu au passage que de nombreux clients se marstubaient vigoureusement le sexe à l’air dans les fauteuils.Je passai alors devant un vieux rebeu qui m'avait probablement déjà vu passer, semblant dans une quête vaine. Bien plus petit que moi , il n'hésita pas à me saisir le bras et me demanda avec assurance “tu veux me sucer?”. Je ne sais pas quel déclic se fit en moi, je répondis oui d’une voix tremblotante, effaré de ma réponse. Je me retrouvai agenouillé devant lui à lui sucer son sexe qu’il avait prestement sorti de son pantalon. J’avais reçu durant mon enfance de mes parents probablement perverts des messages étranges sur la sexualité signifiant qu’il étai ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad