Il laissa le caddie à l’entrée des cabines, et entra dans la plus grande. Il tira le rideau et Mathilde attendit, circonspecte, un signe, quelque chose qui lui donnerait le feu vert, l’autorisation de le suivre. Mais rien. Il était rentré sans un regard et ça excitait Mathilde encore plus. Et si elle s’était trompée, si, en fait, il s’en foutait d’elle, ne l’avait même pas captée, alors qu’elle n’en pouvait plus d’excitation à le suivre comme ça.Tant pis, elle a trop envie de ce corps, de sentir son souffle, son sexe, son sourire sur elle. Elle verra bien et s’il ne veut pas, et bien elle trouvera autre chose.Mathilde laissa le caddie dans le rayon et se dirigea doucement vers la cabine.Elle a peur, elle est excitée, et plus elle appréhende et plus elle est excitée.Elle écarte un peu le rideau pour voir à l’intérieur et Yves est assis sur le banc, nu à part un boxer qui cache juste son sexe, et il la regarde en se caressant doucement le torse et les cuisses. Il est beau se dit-elle, et il lui sourit.Elle admire cet homme qui lui est offert, comme un dessert plein de caramel et de chantilly.Elle entre alors et referme bien le rideau, même si là, elle s’en fiche complètement d’être surpris, l’excitation est trop grande.C’est une cabine d’handicapé et de famille nombreuses, c’est la plus grande, alors il y a la place, et c’est bien.Mathilde se met devant Yves, qui se caresse toujours tendrement et sensuellement, et elle commence à se caresser les cuisses en le regardant dans les yeux et en regardant ses mains sur son corps. Elle aime sentir le toucher de ses bas sous ses doigts et le regard de Yves la rend folle de désir. Elle s’accroupit. Elle monte et descend ses mains sur ses cuisses, ses genoux, ses tibias, ses mollets, ses escarpins, tout doucement. Yves voit alors la petite culotte blanche de Mathilde, qu’il devine toute mouillée et sa langue passe entre ses lèvres de droite à gauche et de gauche à droite, belle invitation se dit-elle en continuant de se caresser.Elle passe ses mains sur ses fesses et ses seins, qu’elle serre fort parce qu’ils lui font mal tellement ils pointent dur.Yves glisse sa main dans son boxer et sort doucement son sexe. Avec les deux doigts de sa main droite, Il en enserre la base.Il tire vers le bas et là, elle comprit : « Elle est belle !!! », dit-elle dans un souffle rauque.Le sexe de Yves est droit, turgescent, et il palpite ce qui excite encore plus Mathilde.Il se point vers Mathilde dans une invitation à la dévorer, lécher, titiller avec sa langue.N’y tenant plus, Mathilde s’approcha du banc où était assis Yves, se mit à genou entre ses cuisses, et s’approcha au plus près de ce sexe qui la faisait frémir.Elle caressait les cuisses de l’homme en serrant bien fort, elle appréciait cette musculature puissante sous ses doigts, la dureté de ses jambes équivalait à celle de son sexe.Elle approcha la bouche de l’intimité de Yves. Il sentait bon, il sentait l’homme, pas trop fort, légèrement musqué, une odeur que ses narines aspiraient dans un souffle court et rapide, lié à l’excitation qui approchait l’extrême supportable.Elle sortit la langue et toucha le bout du gland pour gouter à la petite perle qui était sortie quand Yves avait attrapé son sexe. Elle avait le goût du miel, en un peu moins sucré, un goût envoutant et Mathilde enveloppa alors tout le gland avec sa langue.Elle ne pou ...

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