Chapitre 4Robert m’appelle- Qu’est-ce que tu branles bordel, termine de t’astiquer l’oignon et ramènes toi vite !Lorsque je reviens dans la salle, la couette de mon lit est étendue par terre.William s’allonge dessus et me dit- Allez ma grosse vient vite t’assoir sur le pivot de la joie, ce qui les fait tous rire, En entendant çà, j’éclate en sanglot, je n’en peux plus de ces tortures, et pourtant dans la vie courante c’est moi qui porte la culotte dans le couple, mais j’ai toujours aimé me sentir dominée et être un peu bousculée quand je fais l’amour, mais là c’est vraiment de la torture physique et morale. Je reste figée et pleure toutes les larmes de mon corps, mais un coup de baguette en bambou me cingle le fessier et m’arrache un cri de douleur.- Alors tu les bouges tes grosses fesses ! Bordel t’aime ça prendre des coups ou quoi ? Me dit RobertJe ne réponds pas et en pleurs je vais me mettre à califourchon sur la pine de William.- La vache les mecs ! Cette garce à la chatte brûlante, c’est incroyable, elle est chaude comme la braise. S’exclame-t-il- Allez grosse chienne bouges ton gros derche, allez remue ton gros boul merde ! Me crie WilliamJe chevauche sa queue, qui ne me donne aucun plaisir, mais ainsi j’évite les coups de bambou.- Plus vite Bordel. Dit WilliamJ’accélère un peu le mouvement pour ne pas le contrarier et me faire frapper de nouveau.Robert se place face à moi et me ditSuces moi la queue et fait ça bien sinon gare à toi.Tout en chevauchant William, je suce la queue de ce con de Robert.Pédro lui vient se placer derrière moi et dit- Je vais te prendre par derrière.J’arrête de sucer Robert et crie- Non pas toi ! Je t’en prie ! Elle est vraiment trop grosse, tu vas me déchirer. Lui dis-jeRobert m’attrape par les cheveux et me dit- Ferme ta grande gueule et continue de sucer connasse, de toutes façons on va tous t’enculer.Pédro m’oblige à me pencher en avant, du coup j’arrête de sucer le connard, et me retrouve quasiment couchée sur William.Pédro crache dans sa main à deux reprises et enduit mon petit trou de balle de sa salive, il essaie de rentrer son doigt dans mon cul, mais je me contracte tellement qu’il n’y arrive pas.Je suis soulagée qu’il n’arrive pas me prendre par là avec son doigt, mais c’est de courte durée car ce salaud me claque très fort le fesses, je crie de douleur, ce qui fait que je me relâche et je sens alors que son doigt est entré et qu’il le remue pour me dilater, immédiatement je me contracte de nouveau, mais du coup ce doigt me fait mal.- Détend toi grosse cochonne, tu vas aimer, et me dit pas que le Géjé n’est jamais passé par là ? Me dit-il- Non je n’ai jamais voulue, ce trou n’est pas fait pour ça. Répondis-je- Quoi tu es vierge du trou du cul. Dit Pédro- Non ! Mon premier copain m’a sodomisé une fois et je n’ai pas aimé du tout, j’ai eu trop mal, d’ailleurs je l’ai obligé à se retirer, il n’a pas eu le temps de jouir en moi. Dis-jeJe grimace parce que son doigt qu’il tourne dans mon petit trou me fait mal.- Désolé, mais je n’ai pas de gel sinon ça irait mieux. Me dit Pédro- J’ai un tube de pommade pour la sècheresse intime dans la salle d’eau. Dis-jeJean me demande - Il est où exactement ?Je lui indique où chercher et 2 minutes après il revient avec.Pédro met directement avec le tube de la pommade sur sa queue et sur mon trou du cul, puis il m’enfonce le bout du tube dans le cul et m’injecte directement la pommade.Je sens la tête de son gros nœud contre mon trou du cul, j’ai peur qu’il me déchire avec sa grosse pine, je suis contractée un max, Pédro commence à pousser pour rentrer, mais même avec le gel il n’y arrive Pas.- Mais détend Toi Bordel de merde ! S’énerve-t-il- Laisse-moi la place, on va tous l’enculer et te faire le passage, comme ça tu auras moins de mal après. Dit Robert- Ok les mecs. Dit Pédro Robert prends la place de Pédro et sa pine vient se coller contre mon trou de balle, j’ai peur et sachant de quoi ce sadique est capable, je suis encore plus contractée qu’avant.Cette brute pousse et n’arrive pas à forcer ma pastille, après plusieurs tentatives, il prend mes tétons entre ses doigts, joue un peu avec, puis les caresses, et comme je ne suis pas insensible mes tétons sont devenus tout dur, et au moment où je commençais à me détendre, je ne m’attendais absolument pas à ce que ce sadique les pince aussi fort qu’il le peut.Je hurle de douleur, mais ce gros connard n’en a rien à faire et continue de pincer mes bouts de seins, tirer dessus comme un maboule et les tordre .Je pleure tout ce que je peux, mais sous la douleur je n’ai pas senti sa bite me pénétrer.- Hé bien tu vois ma grosse, jusqu’aux couilles je suis rentré, tu peux dire que tu l’as dans le cul salope. Me dit-ilTous les autres applaudissentLa douleur de mes tétons est toujours présente, je suis en pleurs. Le connard lâche mes seins et me prend par les hanches.- Remue ton gros cul de salope ? M’ordonne-t-il- Non ça me fait trop mal que vous me preniez tous les deux la fois. Dis-jeCe con me prend par les cheveux et me secoue.- Remue ton cul sale chienne où sinon tu vas prendre la branlée de ta vieJe commence à remuer mais les 2 queues à la fois me font mal.- Va plus vite ! Ordonne-t-ilJe m’active, et essaie d’oublier la douleur, le connard me force toujours à remuer plus vite, au bout de quelques minutes le premier à jouir est William, peu après sa bite ramollie et ressort de mon sexe, quel soulagement.Robert me cramponne toujours par les cheveux, me claque les cuisses, puis tout à coup se colle à moi comme pour s’enfoncer au plus profond de moi, puis dans un grognement d’ours déverse de grandes giclées de sa semence au fond de mes entrailles.- Putain de merde, il est super bon son cul, elle m’a foutu les patates au fond du filet cette chienne. Gueule t’il- Jean c’est ton tour, vas-y, défonce lui le cul a cette grosse pute. Dit-ilJean remplace Robert, mais même si c’est un grand costaud, sa queue n’est pas proportionnée au gabarit du mec, et puis il ne tient pas la distance, je fais trois ou quatre va et vient et je lui fais cracher la purée.- Magnifique, je ne pensais pas que tu irais aussi vite, record battu. Dis-je- Ferme ta grande gueule connasse ou je te fous une trempe. Me répond-ilWilliam qui vient de jouir dans ma chatte ne bande plus, c’est donc Pédro et sa queue d’âne qui prend le relai.J’ai beau fanfaronner, je n’en mène pas large.Pédro se met derrière moi, me rem ...

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