Promotion ( 1 ) Il c’est passé quelques semaines depuis la promotion de Martine.Elle adapte ses horaires à la demande, et rentre souvent tard le soir.Cela ne l’empêche pas d’être chaude au lit, elle est devenue nymphomane !Son directeur lui a même attribué une prime habillement, et du coups elle a renouvelé sa garde robe et ses sous vêtements.De mon côté, je mène ma petite vie, cherchant des moules à bouffer ou des bites à sucer, je ne suis pas difficile, il me faut juste l’excitation ! !! Ce Vendredi soir, Martine rentre du travail à 19 h 00, elle est toute excitée !Elle m’annonce que le W-E prochain, elle part en séminaire avec le Directeur Régional, trois jours de Vendredi à Lundi, cela se passera à TROUVILLE !Mis au pied du mur, je ne peux qu’approuver. « Tu me tiendras au courant de tes journées et aventures si il y a ? « « Bien sûr, je sais bien, que cela t’excite ! Tu pourras te branler en pensant à moi ! En plus, il y aura les responsables d’agences du 76 et 27. Cela va être sympa ! « « Tu auras de la bite à disposition ! « « Oh, je ne suis pas une salope, pour qui tu prends ta femme ? « Nous partons tout les deux pour une franche rigolade, je l’enlace et lui prends la bouche, elle est vorace et me dévore comme une affamée. Ma main se dirige vers ses fesse bien rebondies. Sous sa jupe légère, je trouve facilement le chemin de ses cuisses, sa culotte est enfoncée entre les deux dans sa raie. Elle est chaude et se tortille ! Sa langue est folle, elle aspire ma langue comme comme si elle voulait la bouffer ! Je passe ma main sur son bas ventre maintenant, je la glisse vers son pubis, un petit ticket de métro orne le dessus de son clitoris. Celui-ci est dressé et dépasse comme une languette de rangers. Rien qu’à l’effleurage, Martine gémit et se démène comme une folle !Mon doigt pénètre dans son vagin, bien sûr il glisse tout seul car elle a déjà bien mouillé. Toute haletante, elle s’appuie sur le dossier du fauteuil et se met en position,Je lui dégrafe sa jupe, baisse sa culotte, lui enlève. Elle est là en attente de ma bite, son plug dans le cul, elle ne le quitte plus depuis sa promotion. Je lui retire, elle soupire.Son anus est bien dilaté maintenant ! J’ai plus envie de l’enculer que de la baiser, c’est ce qu’elle mérite cette salope, et comme elle aime, autant en profiter ! Je baisse mon pantalon de jogging, je n’ai pas de slip, mon sexe est tendu, je le mouille avec ma salive, je suce deux doigts et branle sa chatte anale. Son trou s’agrandit, elle grogne, j’enfonce ma bite en elle sans précaution et je la bourrique comme elle le mérite! Son cul bien en main, mes couilles claquent sur ses fesses, j’en bave de plaisir. Elle, elle gueule de jouissance, agrippée au fauteuil pour ne pas aller de l’avant. « Tiens, tu seras graissée pour ton séminaire ma coche ! « « Oh oui François ! Encules moi, défonces moi cocu ! «Le faite d’être devant la baie vitrée du salon, à la vue des passants m’excite !Avec ses encouragements, je redouble de vigueur et d’intensité, j’attrape ses cheveux longs et lui tire sa tête en arrière, sa bouche est grande ouverte et sa salive coule, elle continue à rugir de plaisir, mon pilonnage s’achève par un jet de foutre au fond de son conduit ! Je me retire, la retourne, la fait se mettre à genoux et lui présente mon sexe. Sans parler, elle l’avale goulûment et me le nettoie avec application.Je suis fière de ma femme, elle est prête pour son séminaire ! La semaine passe vite, Martine ne termine pas trop tard, et comme pour me remercier, elle me permet de pratiquer un bon « 69 « Jeudi soir. Vendredi, elle ne travaille pas le matin, et part à 14 H00 avec un sac de voyage. Avant de partir, elle me prévient qu’elle ne pourrait pas me téléphoner tous les soirs, mais qu’elle m’enverrait un petit SMS. La voilà donc partie à son séminaire, j’espère que cela lui servira pour le travail, j’en doute !Vendredi soir, pas de nouvelles, je m’en doutais bien, une sorte de prise en mains, si l’ on peut dire !Samedi, obligatoirement je suis seul à la maison. Il fait beau, j’en profite pour me faire dorer au soleil nu. Derrière les paravents, personne ne peut me voir, sauf peut être Monique le voisine si elle monte au premier étage. Du coup, cela me fait bander et je me caresse le sexe ! A 19 H00 toujours pas de nouvelle, je prends une douche, puis l’apéro deux bonnes doses et je décide d’aller au Zénith de Rouen. Je gars la voiture au bord du bois et bientôt un jeune passe plusieurs fois, c’est le signal, il m’attends à l’orée du bois, je le suis, rapidement il touche mes couilles et sort ma bite ! Il ...

... Entre para leer el final de esta historia erótica | inscripcion 100% gratuita