Un vendredi à 10h, avec Sonia nous attendons un certain Maurice de Paris qui est de passage à Tours, certainement pour aller plus loin rejoindre sa femme. Je l'avais eu en dialogue sur le net puis au téléphone quelques jours plus tôt. Dès le dialogue, quand je lui ai dis que nous proposions à un mec bi ou homo actif une relation bi avec moi devant ma femme, mais sans participation sure de celle ci. Il me dit vite être intéressé, et m'annonce même être de toute façon « généreux ». A ces mots, je lui donne mon numéro de téléphone et lui propose d'en parler de vive voix. Quelques minutes après, Maurice appelle : _ Bonjour, c'est Maurice nous venons de discuter sur internet. _ Oui moi c'est Michel et ma femme. A ce moment Sonia dit simplement bonjour pour que notre interlocuteur entende bien que c'est un couple à qui il parle. _ J'ai parlé de ta proposition de générosité avec ma femme, se sentir pute est quelque chose qui nous excite terriblement, aussi dans ce cadre là on est OK pour être à ton service sexuellement… Un petit blanc au téléphone, je pense que mon interlocuteur est très surpris de la tournure des événements et qu'il ne s'attendait pas à cela. Puis il reprend : _ Parfait, je vous fais signe quand je passe à Tours pour que vous soyez mes petites putes tous les deux. Tu te travesti ? _ Non c'est pas mon trip et en plus je trouve que je n'ai vraiment pas le physique pour cela. _ Hé bien tu fera un effort pour moi salope que fini par lâcher Maurice. La conversation se finit sur quelques formules de politesse du même acabit, et quand je raccroche, je me tourne vers ma femme, nous ne savons pas trop qu’en penser, certes le type paraît sincère et semble, au téléphone du moins, être celui qu'il annonce, mais on se méfie, via le net il y a tellement de petits rigolos qui se bricolent la bite au téléphone ou au clavier que… Quelques jours plus tard, un coup de fil de Maurice qui nous dit passer à Tours le vendredi 15 mai dans la matinée, il nous demande si nous pouvons être disponibles dès 9h du matin, et finalement ce sera 10h. Ce Vendredi matin, après une bonne douche et nos activités habituelles du matin, je mets mes bas de contention que j'avais eu lors de mon opération des varices. Les bas sont épais et me tiennent chauds durant le trajet pour aller à l'appartement où nous recevons. Une fois sur place, comme habituellement, car il fait toujours très chaud dans cet appartement, nous nous mettons à notre aise, moi nu en ne gardant que mes bas, Sonia mettant les siens et enfilant une petite combinaison noire très transparente et en finissant l'ensemble avec un soutien-gorge noir avec de la dentelle rouge. Nous attendons peu, bientôt un appel sur mon téléphone, Maurice est garé sur la place en bas. Je lui donne le numéro de l’appartement et il monte. Pendant ce temps j'enfile un short et un polo très vite de manière à être tout de même habillé, mais la tenue fait bizarre avec les bas noirs. Le coup de sonnette retenti, Sonia ouvre la porte en s’effaçant dans la salle de bain de manière à ne pas paraître si quelqu'un passait dans le couloir, avec sa tenue de pute ça ferait jaser dans l'immeuble ! Dès que la porte d'entrée est refermée je me présente et présente ma femme, visiblement ce grand monsieur est déjà très attiré par les grosses mamelles de ma femme qui débordent du soutif. Il fait une bise à Sonia puis je le fais entrer dans la pièce principale. Là il me détaille de la tête aux pieds avec une moue réprobatrice, me sort 3 billets de 50€ qu'il me tend négligemment. J'enfourne les billets dans la poche de mon short. L'homme reste un moment debout, stoïque et muet, puis fini par dire : _ Tu portes souvent des bas ? _ Non, mais comme tu en avais fait la demande… Alors j'ai mis mes bas de contention… Tu veux boire un café, un jus de fruit ? _ Café pour moi. Je sors de la pièce pour aller dans le coin cuisine préparer un café, pendant ce temps là je vois l'homme s'avancer vers ma femme et commencer à lui peloter les seins sans autre forme de procès. Le café prêt, je reviens avec la tasse pleine que je pose sur la table basse devant le canapé lit et invite notre « client » à s 'asseoir. Il s’assied alors sur le canapé, propose à Sonia de venir s'asseoir à ses cotés, puis me dit d'un ton sec : _ A poils la pute, montre moi ton cul de pédale… Pendant que je me déshabille, il continue de peloter ma femme sans vergogne, après ses lourdes mamelles qu'il a bien tripoter, il prend maintenant possession de sa chatte lisse qu'il fouille comme si il était chez lui. Je me retrouve nu, debout devant ma femme vautrée sur le canapé en train de se faire prendre la moule par les doigts gourmands d'un monsieur qui nous prend pour des putes, c'est très excitant finalement, même si j'ai le sentiment d’avoir l'air abruti avec les bas. Ma femme commence aussi à peloter la grosse bosse dans le pantalon de Maurice, puis elle lui dit : _ Mets toi à l'aise… L'homme se relève et se déshabille son tour posant tranquillement ses affaire sur le fauteuil devant le secrétaire au fond de la pièce. Une fois nu, il revient s'asseoir auprès de ma femme et reprend ses caresses obscènes. _ Attend Maurice, mon mari va venir te sucer, tu me diras si il suce bien ou pas, dit alors ma femme. Je prends un oreiller dans la petite penderie qui est dans la pièce, le pose par terre entre les cuisses de l'homme, et me place à genoux sur l'oreiller entre ses cuisses. Je prends son sexe de belle taille dans la main droite, et l'enfourne en bouche. Je suce mon « client » et le branle en même temps, il pose des questions à ma femme tout en lui fouillant la chatte de ses doigts inquisiteurs : _ Vous faites souvent les putes ? _ Mais c'est toi qui nous as proposé de l'argent pour nous baiser que je sache, non ? _ Je voulais dire, vous recevez souvent des mecs ? _ Comme toi ! Non tu es le premier… Répond fine mouche Sonia pour couper court à la discussion qui lui semble glisser vers un sujet sans intérêt. Pour ma part je pompe toujours à genoux sur le coussin, je malaxe les couilles de l'homme en même temps et le branle mais pas trop fort pour ne pas le faire jouir trop vite. L'homme se laisse aller aux plaisirs que je lui procure en le suçant, il doigte et malaxe maintenant machinalement, puis il revient tout de même sur le sujet en disant : _ Oui, ça m éclate que vous soyez mes deux putes pour moi tout seul... C'est terriblement excitant finalement de se faire traiter de pute ! D'ailleurs, après son départ, nous en parlerons avec ma compagne qui me dira la même chose, elle mouillait de se sentir pute… Pour l'heure, je pompe toujours assidûment cette bite qui prend un beau volume quand j'entends ma femme demander : _ Alors, il suce bien mon enculé de mari ? _ Ouais ! Pas mal du tout...on voit qu'il a du métier ! J'entends aussi ma salope de femme gémir doucement, je sais qu'à ce moment là le plaisir monte doucement. Puis elle dit au bout de quelques minutes : _ Attends, tu vas commencer par l'enculer cette lopette de mari… Puis, s'adressant à moi comme si j'étais son valet de pied, elle poursuit : attrape un préservatif pour que notre client puisse t'enculer. Je me relève, ramasse le cousin, et me retourne pour m'affairer sur la petite table basse et prendre une capote dans la petite trousse. Je retire le préservatif de l'emballage et tend l'ustensile à madame. _ Mets toi debout, ordonne-t-elle d'un ton naturel à notre invité qui s'exécute dans l'instant. Ma femme, toujours assise elle, visiblement experte, tend la capote entre quatre doigts et enfile le membre viril dans la protection de latex. Puis elle se lève, replace la serviette qui est sur l’assise du canapé et me dit : _ A toi de te mettre en position, chéri… Je me mets à genoux sur le bord du canapé pendant que j'entends ma femme attraper le lubrifiant et qu'elle vient bientôt m'en enduire l'anus. L'homme se place derrière moi, écartes mes fesses, pointe sûrement mon trou du cul et s'enfonce en moi d'un coup. Ni trop sec ni trop lent, visiblement il a l'habitude d'enculer des hommes. Je le sens bien au fond de mon anus, il va et vient et très vite il commence à ahaner et à me limer le cul de plus en plus vigoureusement. Il en profite pour peloter ma femme puis lui rouler une pelle tout en continuant ses grands va-et-vient en moi, me poussant à chaque coup de boutoir la tête toujours plus loin dans le dossier du canapé. Sonia prend plaisir à caresser les jolies fesses rondes de l'homme tout en jouant avec la langue de son « client » et en offrant ses lourdes mamelles à la main droite et experte de Maurice qui pétrit d'une mamelle à l'autre en fin connaisseur. La petite sauterie dure bien un bon quart d'heure, je me fais limer le cul et joui plusieurs fois sur cette vigoureuse queue si bien maniée. Sonia se fait doigter la chatte quand ce ne sont pas ses nichons qui se font triturer dans tous les sens, notre «&n ...

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