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Même pas mal (part2)

Publié par : exibho le 22/08/2024

J’attendais le retour du père de ma copine et mari de la vieille avec qui je venais de prendre un pied d’enfer. Selon elle, monsieur ne la touche plus et se serait mis au revues pornos gay. Alors si c’est bien vrai je vais probablement toucher le tiercé, mais si c’est une mauvaise blague je risque gros, très gros.Je me dis qu’il valait mieux que je me renseigne un peu avant. Donc si son atelier dans les combles est un lieu de jeu solitaire pour lui, il doit bien y avoir quelques indices sur place. Ni une ni deux je prends l’escalier pour les combles où se trouve l’atelier. Que dalle, je ne trouve rien. Ce n’est pas bien grand pourtant. Le seul truc c’est un petit canapé style seventies et une petite table basse assortie. Un coin repos réflexion dans un atelier n’est pas une preuve probante. Une commode, un établi de menuisier, une chaise, une armoire, le fameux canapé et la table basse, rien ! Je m’assieds sur le canapé et c’est alors qu’un truc me sauta aux yeux. La commode… entre le plateau du dessus et le premier tiroir l’espace me sembla particulièrement grand. En principe le 1er tiroir est juste quelques centimètres au-dessous. Mais là c’est bien 12cm qu’il y a entre les deux. Pourtant tout semble bien assemblé, collé. En regardant à l’arrière de ce meuble je découvris un petit mécanisme qui libère la plaque arrière entre le dessus et le 1er tiroir, et là bingo, les magazines sont bien là, ainsi qu’un rouleau de sopalin, outil indispensable du plaisir solitaire. Le lendemain je guettais le moment de sa montée dans l’atelier. Une petite demi-heure pour sortir ces revues et s’installer confortablement me semblait un bon timing. Après cette attente interminable tant j’avais soif de sucer, je décidais de monter à pas de loup. Comme prévu, dos à la porte, il était installé, tournant les pages d’un magazine et se faisant du bien de l’autre. Une latte du plancher grinça et en une seconde sa bite disparut sous un plaid et les revues sous le canapé. L’air innocent je m’excuse de lui avoir fait peur, un peu comme si je n’avais rien vu… L’air soulagé de ma cécité, il grommela qu’il fallait frapper avant d’entrer dans son atelier. Je m’excusais encore et me plaçais à côté de lui sur le canapé.Je veux me faire pardonner, lui dis-je en plongeant ma main sous son plaid et en attrapant sa queue qui était entrain de ramollir. Sans même lui laisser le temps de réagir je commençais de le branler sous le plaid et si son visage était l’image même du niais qui comprend pas ce qui se passe, sa queue elle, était dans une tout autre configuration. Elle durcissait dans mes mains et se redressa à grande vitesse. Toujours hébété de ce qui se passait, je retirais le plaid et découvris sa belle bite courbe. Je me mis alors à genou entre ses jambes et je commençais de lui lécher la queue. Elle avait le bon gout d’une queue, pas un truc avec le parfum vanille d’un Tahiti douche. Je la pris entièrement dans la bouche et je commençais de le pomper énergiquement. J’avais bi ...

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