Je me réveillais brutalement au milieu de la nuit. Le sperme, en se liquéfiant, avait coulé sur mes draps et mon ventre était poisseux. Je me levai pour aller dans la salle de bains. J’ouvris doucement la porte de ma chambre. Au rez-de-chaussée, une lumière était allumée. Vincent ne dormait pas. Des bruits étranges me parvinrent. Je commençais silencieusement à descendre les marches. La lumière allumée était celle de la cuisine. Je me glissais sans bruit jusqu’à la porte. Ce que je vis me stupéfia. Vincent, dont je ne voyais que le dos, besognait une femme allongée sur la table de la cuisine. Je ne voyais d’elle que les jambes relevées, nouées autour des reins de son mâle. Ce ne pouvait être ma mère. Elle était loin. Soudain, avec une vivacité surprenante, Vincent se retira et obligea sa partenaire à se mettre à genou devant lui puis se masturba avec frénésie devant le visage que je reconnus aussitôt être celui de notre plus proche voisine, Anita. Non seulement ce salaud m’avait violé la bouche quelques heures avant mais maintenant il trompait ma mère dans sa propre maison en pleine nuit. Il était sans doute sur le point d’éjaculer en pleine face quand je hurlais hors de moi : -T’es vraiment qu’un gros connard !Surpris tous les deux dans leur plaisir, ils vacillèrent un instant. Anita, paniquée, se précipita pour récupérer ses vêtements. Vincent lui repris très vite la maîtrise de la situation.-Ok, je sais que tu es surpris mais Anita est comme moi. Elle manque de sexe. Paul ne l’honore plus comme il faudrait. On a trouvé un bon arrangement. Et puis, tu sais, ta mère de son côté fait pareil. Là, elle est partie s’envoyer en l’air avec un collègue de travail.-Tu dis n’importe quoi !-Mais, non. C’est ça la vie, mon coco. Anita avait remis son soutien-gorge et s’apprêtait à enfiler sa culotte quand il l’arrêta d’un geste.-Regarde comme elle est bonne, me dit-il. Avoue qu’elle donne envie de baiser, non ?J’allais m’en aller sans rien ajouter quand il me saisit fermement par le bras.-Attends ! c’est parfait qu’on se trouve là tous les trois. C’est l’occasion de s’amuser encore un peu, non ?Sans nous laisser le temps de réagir, il nous rapprocha et nous plaqua l’un contre l’autre. -Allez, embrassez-vous.Stupidement, dans le trouble et l’inexpérience, j’allais l’embrasser sur la joue mais la bouche de la femme vient à la rencontre de la mienne. Je sentis aussitôt sa langue s’insinuer entre mes lèvres. Une moiteur soudaine m’envahit, mes oreilles bourdonnaient ; j’avais l’impression d’être dans cet état à la fois euphorisant et cotonneux qui précède l’ivresse. Anita n’avait pas dit un mot, aucune protestation, aucune surprise. Elle possédait maintenant ma bouche avec gourmandise. Ils étaient vraiment faits pour s’entendre ces deux-là. Vincent dégrafa le soutien-gorge de dentelle rose et je sentis instantanément les mamelons durcis prendre contact avec mon torse. Vincent posa ses mains sur nos nuques et glissant son visage entre les nôtres, il s’invita dans notre baiser. Nos trois langues dansaient ensemble, nos salives et nos souffles se mêlaient. Une main se posa sur ma hanche droite, celle d’Anita ; une main se posa sur ma fesse gauche, celle de Vincent.-Fais-lui connaître l’extase, murmura-t-l à sa maîtresse. Il est débutant.Et ce disant, il accentua sa pression sur sa nuque pour lui indiquer de s’agenouiller devant moi. Elle ne résista pas. Sans la moindre hésitation, elle prit mon sexe à demi raide en bouche.-Il sent le foutre, déclara-t-elle avant de poursuivre son doux office.Vincent, désormais plaqué derrière moi comme je l’avais été contre lui quelques heures auparavant dans la douche, donnait toute la mesure de son sexe dressé entre mes fesses. -Ah, petit salaud, tu t’es branlé après m’avoir quitté alors ? glissa-t-il à mon oreille. Je savais que nos petits jeux finiraient par te plaire et t’exciteraient.Par-dessus mon épaule, Vincent observait Anita se délecter de ma bite mais après quelques minutes, il décida qu’il était temps de changer de position. Sur son ordre, Anita s’assit sur le rebord de la table de cuisine et ouvrit les cuisses.-Viens avec moi bouffer cette jolie petite chatte. Regarde comme c’est beau.Deux de ses doigts fouillaient l’antre luisante dont ils ressortirent tout ...

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