C'était une belle soirée chaude du début de l'été, une veille de week-end. Par défi un peu, par curiosité beaucoup, et parce que j'aime le 3ème sexe, j'avais décidé d'aller me promener dans un lieu de rencontres réputé du bois de Boulogne. Quelques capotes dans une poche, une fiole de poppers dans l'autre, je filai donc dans la nuit sous le clair de lune. A proximité de mon objectif, une effervescence particulière et le balai des voitures qui tournaient à vitesse réduite indiquaient une activité pas ordinaire. Je coupais le son de l'autoradio et ouvrait grand les vitres de la voiture, histoire de mettre tous mes sens en éveil et de bien m'impregner de l'atmosphère. Au bout de l'allée qui était fermée par une barrière, se situait un grand parking. Ça et là des petits groupes de travestis conversaient avec des hommes, tandis que d'autres rôdaient en solo. Je me rinçais l'oeil de ce spectacle en entrant sur l'aire de stationnement, roulant au pas pour ne rien louper du spectacle et pour ne pas non plus paraître suspect aux yeux de cette population nocturne. Une quinzaine de voitures étaient stationnés plus ou moins éloignées les unes des autres. Je remontais la rangée, toujours à allure réduite, quand arrivé presque au bout, une scène inattendue s'offrait à moi dans la lumière des phares. Là, juste devant moi, un travesti vêtu d'un simple manteau noir recouvrant une lingerie toute de soies et de dentelles et perché sur de hauts talons se tenait accroupi entre deux bagnoles devant trois types en arc de cercle. Je me garais discrètement face à eux, éteignant les phares pour ne pas les déranger, et j'observais dans la pénombre que seule éclairait la lune. Il ne faisait aucun doute que là sous mes yeux, un travesti était en train de sucer trois mecs, braguettes ouvertes et pantalons sur les genoux. La bouche gourmande passait de queue en queue et les lascards avaient l'air d'apprécier. Je me delectais de ce spectacle surréaliste qui commençait à m'exciter très fort, au point de sentir une bosse se former au niveau de mon pantalon. Je deboutonnais la braguette afin de dégager mon sexe emprisonné et d'entreprendre une lente carresse au rythme des mouvements de tête de ma Tgirl et à la cadence de ses prises en bouche. Ceci dura bien une demi-heure avant que les compères ne se rhabillent et que leur divine suceuse ne se relève pour s'évanouir dans la nature. Je restais là quelques instants en silence, histoire de me persuader qu'il s'agissait bien de la réalité, puis le spectacle érotique étant terminé, je me décidais à descendre de la voiture pour aller marcher un peu et voir ce qui se passait dans le secret de la clairière derrière la rangée d'arbres délimitant le parking. Timidement je m'avançais vers cet inconnu, croisant d'autres hommes qui ne paraissaient pas plus à l'aise que ...

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