Je me remets doucement de mon traitement.Pierre me rince dehors à l'aide d'un tuyau, le soleil brille et me réchauffe.L'espèce de cabanon est plus grand qu'à première vue. Je suis nu et, repensant à ma soumission acceptée, mon sexe se dresse. Pierre, le vieux pervers, me dit :— Approche-toi.Puis il s'agenouille devant moi, ouvre sa bouche et commence une fellation divine.Sa langue joue avec mon gland, il salive un maximum et sa bouche devient un écrin de velours huileux.Je prends sa tête et l'enfonce jusqu'à ce que mon sexe soit entièrement rentré.Je force sa gorge mais Pierre a l'habitude et il est capable de le laisser passer.Je sens le plaisir monter, mon sexe expulse mon sperme ; je suis toujours au fond de sa gorge. Pierre s'étouffe mais a tout reçu.Il se relève et me tapote la joue.— Viens, je te fais visiter l'endroit.On rentre par l'autre côté. Je suis toujours nu mais je suis à l'aise. Par cette entrée, je vois des tables et un bar : c'est donc un café ancien, fermé depuis quelques années.Le vieux pervers me dit :— Voilà, c'est à moi, mais il n'est plus ouvert que quelques fois par an.Il ajoute :— Pour mes amis.Ah oui, ses amis, je les avais oubliés.Je suis Pierre, qui passe sur la gauche du bar, dans un petit couloir. Au bout, l'enseigne « Toilettes » apparaît.Pierre pousse les portillons style saloon et me dit :— Voici les urinoirs.Je les découvre : il y a trois urinoirs accrochés au mur et, à côté, trois urinoirs en blanc émaillé qui descendent jusqu'au sol. De l'autre côté, deux toilettes « turques » où il faut s'accroupir, pour les femmes ou en cas de gros besoins.Le tout sent la pisse malgré les savons dans les urinoirs.— Voilà, et la porte au fond nous amène là où tu es rentré tout à l'heure.Je suis Pierre et me retrouve dans la pièce.Pablo me tend mes vêtements et je me rhabille. Il me dit :— Les amis de Pierre vont arriver prendre un verre.Pierre ajoute :— Ils sont curieux de te rencontrer !Vers 16 h, les amis de Pierre arrivent : une dizaine d'hommes entre 60 et 70 ans, et six femmes dans la même tranche d'âge, probablement les épouses de certains hommes.Pierre a allumé le bar et la musique country joue dans les enceintes.Il me présente à ses amis sans omettre de préciser que c'est mon anniversaire aujourd'hui et que j'ai 18 ans.Tout le monde me salue, puis les tables sont prises et Pablo distribue de grandes pintes de bière qui trouvent très vite acquéreurs.Assis à une table, je suis avec le plus âgé, sa femme et un homme plus jeune, dans la quarantaine. La bière coule à flot et l'ambiance est très conviviale.Ma vessie remplie, je me lève et dis que je reviens. L'homme de 70 ans me dit :— Ok, on t'attend, je remets une tournée.Un peu grisé par la bière, j'arrive aux toilettes. Voyant déjà que plusieurs urinoirs sont occupés, je me dirige vers l'urinoir libre, celui du milieu des trois accrochés.À ma gauche, un monsieur d'une soixantaine d'années ; à ma droite, un homme petit, d'une trentaine d'années. Je sors ma queue pour pisser. Le plus jeune termine et s'en va. L'homme âgé ne pisse pas. Je jette un coup d’œil rapide : son sexe est très épais et il le décalotte. Il dit :— Ah, vous êtes le nouvel ami de Pierre. Bon anniversaire, jeune homme.Son regard se porte sur ma queue qui pisse la bière ingurgitée.— Beau jet, me dit-il.Je souris, puis mon regard se reporte sur son sexe.L'homme s'en rend compte :— Tu aimes voir des bites ? Regarde-la à ton aise, j'aime être observé.J'ai fini de pisser mais je reste à contempler ce gros pénis âgé. Je lui dis :— Il est gros, votre sexe.— Si tu veux, tu peux le toucher.Ma main quitte ma bite et je prends la sienne en main. Je m'amuse à jouer avec son prépuce sur son gland épais.L'homme me laisse faire et me dit :— Ta main est agréable. Si tu continues, tu vas faire dresser ma vieille bite, mais ne t'attends pas à des miracles.En effet, son pénis durcit mais reste quand même mou. Rien à faire, j'aime les bites âgées. L'homme crache sur sa qu ...

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