Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles... voici la dernière en date.Journal d’Isabelle n°27jeudi 5 janvier 2023PETIT COUP RAPIDEC'était l'autre jour, j'avais travaillé toute la matinée sur un ouvrage de 1884 concernant la prostitution masculine à Paris. Évidemment, les termes employés datent d'une époque où la sexualité était socialement binaire. Et les hommes efféminés étaient assez mal vus par l'ensemble de la société. Heureusement, ça a tout de même un peu évolué.Je m’étais habillée différemment, en fait, pas de jupe mais juste une robe qui ne descend qu’aux genoux, des mi-bas noirs laissant le reste de mes cuisses, nues. Des escarpins rouges, mon châle et comme en permanence, mon petit collier de soumise au cou.C’était en cours d’après-midi, une petite famille est entrée dans mon café librairie, un garçonnet, sa mère et... monsieur.Tout d’abord un peu surpris, ils ont été charmants en me souriant gentiment.— Bonjour, que désirez-vous, ai-je dit.L’homme m’a répondu avec une voix suave :— Pour moi un café et pour lui un jus de fruit. Tu prends quoi chérie ? s’est-il adressé à sa compagne.— Un thé.J’ai préparé le café et le thé, que j’ai servi en premier.J’allais chercher le jus de fruit pour le bambin, quand monsieur m’a demandé :— Où sont les toilettes, s’il vous plaît ?— Venez, je vais vous montrer.Il m’a suivi dans la seconde pièce, car le frigo est dans une dépendance.Je m’apprêtais à ouvrir la porte qui mène au jardin, là où se trouvent les toilettes que je destine à la clientèle. Quand il m’a d’un coup bloqué contre la porte en soulevant ma robe. Il me caressait les fesses en me roulant un patin goulu.Il m’a fait signe de faire silence avec son doigt en travers de mes lèvres. Il en a profité pour mettre son index dans ma bouche, je l’ai léché. Puis il a ouvert sa braguette et appuyé sur mes épaules pour me faire mettre à genoux.Il bandait déjà c ...

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