Comme il me l'avait expliqué, le portail est ouvert et je rentre ma voiture. J'ai à peine le temps de frapper à la porte que celle-ci s'ouvre. Je reconnais immédiatement le visage souriant et ouvert mais il est encore plus beau que ce que m'avait montré sa photo. Jan a entr'ouvert sa porte et j'ai vite compris pourquoi. Il n'est vêtu que d'un léger tee-shirt et d'un slip qui donne envie de regarder, de toucher... bref ! d'en voir davantage. Après quelques petits échanges insignifiants, il m'invite à m'asseoir sur une banquette d'angle et vient s'asseoir près de moi, en posant une main sur ma cuisse.- Tu as trouvé facilement ?- Oui. Je suis passé par M... et j'ai failli me perdre.- Mais tu t'es retrouvé, c'est le principal... Veux-tu un café ?- Oui, merci, je veux bien. "Il va préparer deux cafés, vient les apporter à la petite table face à nous. En se rasseyant, il pose à nouveau sa main à ma cuisse, un peu plus haut que la fois précédente. Il a des mains d'artiste, nerveuses et fines à la fois, des mains faites pour les caresses les plus sensuelles... Notre café terminé, il se lève.- On va passer à côté si tu veux. On est là pour ça. " Il me désigne une porte ouverte sur une pièce dans la pénombre. Un lit y trône, un drap de bain étalé à son pied. Jan ôte son tee-shirt. J'ai vite ôté mon jean et ma chemisette et, ensemble, nous quittons chacun notre slip ( la prochaine fois, il faudra que je le déshabille, lentement ! ). Il m'apparaît nu, là, devant moi, son sexe encore à peine éveillé. Il est grand, musclé, il est beau. Superbe.- Assieds-toi sur le lit. "Ce n'est pas un ordre, c'est une invitation et je m'y rends avec plaisir. Je suis à peine assis sur la serviette de bain qu'il se met à genoux devant moi. Cette fois, c'est moi qui lui lance une invitation, silencieuse celle-là, en ouvrant les cuisses, mes jambes pendant le long du bout du lit. Il approche sa tête de mon bas-ventre, de la main il saisit mon sexe dressé, le décalotte comme pour s'en assurer le bon fonctionnement. Et lentement il pose ses lèvres sur mon gland, puis sa bouche se fait douce en emprisonnant ma queue qu'il suce avec une avidité de vrai gourmand et une délicatesse de vrai gourmet. Je me tortille en gémissant sous ses coups de langue, mon sexe frémit sous les assauts de cette sensualité, j'ai faim de lui, de sa bouche d ...

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