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Plaisirs avec Georges

Publié par : loulou_passif le 16/10/2017

Entre Georges et moi c’était un jeu difficile à déchiffrer. Au moins pour moi. A l’époque, j’étais en couple avec Thierry et je suis plutôt monogame. Pas parce que je n’aime pas une aventure de temps à autre, mais parce que je n’aime pas l’indispensable obligation d’utiliser un préservatif. Et c’est pour ça que je suis devenu monogame, avec tout de même quelques exceptions. Cela dit, Georges me plaisait, quelques regards échangés en telle ou telle occasion pouvaient me laisser penser que lui aussi n’était pas indifférent, mais les choses en restèrent là longtemps. Thierry partait souvent pour son travail. Une fois, on était au début de l’automne, il partit pour deux mois. L’idée de passer plusieurs semaines comme un célibataire me plaisait, malgré ma difficulté à rester longtemps sans un homme dans mon lit. Georges me fit changer d’avis. Une soirée d’automne, avec une douceur dans l’air qui vous met les sens en éveille, des amis avaient organisé une soirée. Nous sommes une vingtaine, hétéros et homos assez bien mélangés. Georges est là, seul. Depuis pas mal de temps on ne lui connaît un amant attitré. Quelques regards, quelques mots échangés, rien d’autre à signaler. On est tous très détendus, bavards, insouciants. A un certain moment, je vais dans la salle de bains pour voir et peut-être refaire mon maquillage : mes préférences sexuelles se comprennent facilement, mais pour une soirée j’aime bien mettre un fil de mascara. En sortant du salon, je croise le regard de Georges : je crois que mon sourire ne laisse pas de place au doute, c’est un peu comme lui dire qu’il me plaît et que je suis dispo. Et le doute est encore moins permis quand j’arrive à la salle de bains, puisque je laisse la porte légèrement entrouverte. Je commence à me maquiller quand Georges arrive : - A force d’être tout le temps avec tes copines, tu est devenu une fille -. - Tu te trompes, je suis très souvent avec les garçons – je réponds d ‘un air faussement naïf. - Mais tu n’es jamais avec. Juste quelques mots. Alors que tu bavardes comme une fille avec Fanny ou Catherine -. - Je suis très lié à elles, c’est tout. Et puis… tu ne m’as jamais fait la cour -. - Ne dit pas de bêtises, depuis des mois je t’ai fait comprendre que j’ai envie de toi -. Il me sourit, je crois que tout mon corps laisse deviner mon désir. Il se colle derrière moi, les mains sur ma poitrine, se serre contre moi, m’embrasse sur le cou. Avec ma main droite je caresse sa tête, avec la gauche je le presse contre moi. Tout ce que je m’étais dit pour justifier ma monogamie s’évanouit : je sais que je veux être à lui. - C’est une drôle de manière de me faire la cour - lui dis-je. - Ça fait au moins six mois que je te fais la cour… -. Il n’a pas tort : quelques mots glissés par ci, par-là. Quelques regards. Mais Thierry était toujours là. - Et ce soir, finalement, tu es seul. Et ne me dit pas que tu as oublié par hasard de fermer la porte -. En effet, quand je suis sorti du salon et je l’ai regardé, j’ai tout de suite pensé à ne pas fermer la porte. Georges va fermer à clé la porte et reviens vers moi. La salle de bains n’est pas en soi un endroit très romantique, mais elle est belle et spacieuse.Je me retourne et reste appuyé contre le lavabo. Georges m’embrasse et me serre dans ses bras, nos langues se fouillent, se cherchent. Je sens son sexe déjà raide contre le mien, qui ne l’est pas moins. Je tiens sa tête, je le regarde et dans mes yeux doit voir que suis déjà à lui. Je me retourne face à la glace. Je dégrafe mon pantalon. Je sens Georges fouiller dans ses poches pendant qu’il caresse mon dos. Je baisse mon slip. Je sens son doigt entre mes fesses et la fraîcheur du gel. Il baisse son pantalon et met un préservatif pendant que j’enlève la jambe droite de mon pantalon pour pouvoir m’écarter et l’accueillir en moi. On est tellement excités, on a tellement envie d’être unis que nous n’avons pas eu besoin de préliminaires. Je pose mes mains sur le lavabo pour me cambrer. Il met sa bite entre mes fesses. Elle trouve facilement son chemin. Je sens son gland me pénétrer. Je frémis de plaisir. Un petit cri sort de ma bouche. Georges me pénétré dou ...

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