Je lis régulièrement les histoires postées ici sur LDD. En pratique, je lis exclusivement les histoires estampillées "100 % vraie" par leur auteur. Je me dis souvent qu'il y a eu des plus chanceux que moi et je les envie. Et puis en y réfléchissant, je me suis posé la question : y a-t-il des expériences qui m'ont marqué et dont le récit pourrait être intéressants à partager. Petit à petit me reviennent en tête des moments vécus dont je garde de très bons souvenirs, j'en ai déjà relaté deux ici même pensant alors avoir fait le tour mais ce n'était pas le cas. Je reviens aujourd'hui pour rendre compte de ma première expérience avec un couple.Cette histoire remonte à une quinzaine d'année dans l'ouest. Mon annonce sur le site Kijiji (aujourd'hui disparu) attire l'attention d'un homme, Sylvain, qui prend contact avec moi par mail. Dans cette annonce, je me propose d'administrer la fessée à celles et ceux qui le désire. Sylvain m'indique qu'il sera en vacances quelques jours sur la côte Atlantique avec sa compagne. Il forme avec Joëlle un couple illégitime, lui dominant, elle soumise. A l'approche des dates de leur séjour, Sylvain me recontacte et après quelques échanges écrits pour nous accorder nous finissons par nous appeler pour fixer un RV à l'hôtel où ils seront. Ce sera un après-midi en semaine. Etant à mon compte et donc sans patron (sinon moi-même), je m'invente un rendez-vous justifiant ainsi mon absence durant cet après-midi.J'arrive à l'heure dite. L'hôtel est un de ces hôtels avec coursives extérieures sur deux ou trois étages desservant les chambres qui s'alignent tout du long. Je me gare sur le parking et appelle Sylvain pour lui indiquer ma présence et connaitre le numéro de la chambre à rejoindre. Téléphone à l'oreille il sort de la chambre m'indiquant que Joëlle se prépare et qu'il nous faut attendre. Je le rejoins et discutons en attendant. De temps à autre, il jette un œil dans la chambre pour voir si nous pouvons entrer. Malgré mon calme apparent, l'excitation est à son comble. Arrive enfin le moment tant attendu d'entrer dans la chambre. Il fait sombre, les rideaux ont été tirés et seules les lampes de chevet éclairent la pièce d'une lumière douce et indirecte. Au fond de la chambre, au milieu du petit espace qui mène à la salle d'eau, Joëlle se tient droite, debout. Cheveux blonds, mi-longs, attachés en une courte queue de cheval. Elle porte une robe d'été noire qui lui colle au corps mettant en valeur ses formes de femme mince. Sa robe s'arrête à mi-cuisse, elle est sans manche. Les yeux bandés d'un foulard noir, les mains derrière la nuque, les coudes relevés, Joëlle exhibe ses aisselles soigneusement épilées. Elle a les jambes légèrement écartées. Jambes fines, chaussures à talons, nous sommes en été, il fait chaud elle ne porte ni bas ni collant. Et je le verrai un peu plus tard : pas de culotte non plus. Elle est en position de soumission, sous le regard satisfait de Sylvain, son Maître. Il s'assoit sur le lit, adossé au mur et d'un geste de la main, il m'invite à prendre possession de sa soumise. Il a pris soin d'anticiper la rencontre et que rien ne manque : une cravache et du gel sont à ma disposition au bord du lit. Moi aussi prévoyant, j'ai emmené avec moi le martinet qui m'accompagne quand je sais qu'il va m'être utile.Je m'approche de Joëlle, toujours plongée dans le noir de son bandeau. Mon visage est proche du sien, elle ne me voit pas, elle ne peut que ressentir ma présence. Sylvain ne dit pas un mot. Je tourne autour d'elle pour qu'elle sente ma présence, mon souffle sur son cou. A voix basse, je lui glisse enfin quelques mots à l'oreille. Elle seule les entend. Je lui dis qu'elle est excitante, que sa tenue et la posture qu'elle tient me font bien comprendre ce qu'elle attend de moi. Mais j'ajoute qu'avant d'être possédée et y prendre plaisir elle doit être corrigée. A ces simples mots, elle incline la tête, une imperceptible ondulation parcourt son corps. Elle se reprend rapidement et revient à sa position de soumise, droite.Je suis derrière elle et lui soulève l'arrière de sa robe pour découvrir ses fesses. Elles sont d'une belle rondeur et d'un bronzage tout récent, je constate qu'en effet elle n'a pas de culotte. Je la félicite pour cette initiative avant de lui porter la première claque. Elle pousse un petit cri de surprise. Deux séquences de vingt claques, données de manière équitable sur chacune des fesses l'amènent à me présenter un postérieur bien rouge comme j'aime. Sylvain par ses sourires complices m'encourage, tout en veillant sur sa protégée. Les fesses étant maintenant bien mûres, le moment est venu de lui ôter le bandeau. Même faible, la lumière l'éblouit un instant. Elle me cherche du regard. Je lui permets de baisser les bras et lui demande de se pencher en s'appuyant sur le bord du lit, son visage tourné vers Sylvain qui n'en perd pas une miette. Elle offre ses fesses et son intimité à mon regard. Sylvain me tend la cravache que j'avais oubliée. Il me confie qu'elle apprécie le contact de l'embout de cuir sur son clitoris. J'en fais le test. Il connait bien sa soumise. A peine posée la petite lamelle de cuir sur son bouton rose qu'elle ondule et se frotte en gémissant. La cravache a un autre effet immédiat, mais sur moi maintenant, j'ai le sexe qui prend de plus ne plus de place dans mon pantalon. Mais ce n'est pas encore son heure pour entrer en scène.J'alterne maintenant caresses sur le clitoris avec la cravache et séquence de martinet sur les fesses rougies. De jolies stries sur les fesses encadrent maintenant le bel abricot épilé de Joëlle toujours penchée et appuyée sur le lit. Je pose mes accessoires, c' ...

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