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Première fois dans ma ville

Publié par : alinelle le 07/12/2022

Je me suis toujours abstenue de toute apparition dans ma petite ville de 8.000 habitants. Lorsque je pars de chez moi en fille, c’est de nuit, depuis mon garage, personne ne voit rien et je file loin. Il était dit que ça ne pouvait pas durer toujours. Il y a quelques jours, une conversation chaude s’est engagée avec un homme qui habite ici, mais n’est pas d’ici. Il est en mission, « grand déplacement » comme il dit, pour un chantier, et ne connaît personne.L’idée d’une rencontre s’imposait. Mais où ? Recevoir, c’est très compliqué pour moi, le voisinage s’étonnerait. Me rendre chez lui, oui, mais je répugne à être vue en homme par un amant… et tout autant à sortir en fille là où je peux être reconnue ! Mais ce qui devait arriver arriva : j’ai fini par céder. Avec l’assurance que des places étaient disponibles à moins de 50 mètres de sa porte d’entrée.C’est un quartier résidentiel peu passant, mais je pourrais prendre tout ce récit pour décrire le déluge d’émotions, de crainte, qui m’a envahie lorsque je me suis décidée à sortir de ma voiture, pour faire à pied ces quelques pas. Il m’a semblé que le bruit de mes talons sur le trottoir allait faire venir tout le monde à la fenêtre. Me retenant de courir, mon cœur battait pourtant à tout rompre lorsqu’il m’a ouvert la porte. L’attente (une dizaine de secondes) après le coup de sonnette n’a fait qu’augmenter la pression.Cette respiration rapide fut prise pour de l’excitation… Alors que j’espérais un début de soirée tranquille, apéro, discussion, etc., j’ai eu droit à un « Dis donc, tu as envie, toi ! » suivi d’une poussée ferme contre la porte qui venait de se refermer. Aucune protestation possible grâce à la bouche qui vint s’écraser sur la mienne avec une langue possessive (et pourtant j’ai du mal à embrasser). L’adrénaline étant ce qu’elle est, mon cœur de fille a bondi en même temps que ma main droite filait sur le jeans du mec, sous lequel je devinais déjà une bosse bien dure.Je haletais quand sa bouche a eu fini de violer la mienne, et déjà mes doigts s’étaient refermés autour d’une virilité raide. Ses mains retroussaient ma jupe sur mes hanches, et l’une d’entre elles, se glissant dans mon string par l’arrière, le faisait descendre et s’insinuait à la recherche de ma chatte anale. D’un geste, je fus retournée face à la porte, les mains appuyées dessus. Je sentis des mains autoritaires peser sur mes hanches pendant qu’un gland massif se frayait un chemin. Ce fut sans pitié. Une sensation brutale d’écartèlement, puis le bonheur d’un puissant tuyau de chair prenant possession de mes reins…Les promesses de ramonage intensif murmurées à mon oreille étaient bien inutiles, les coups de reins accompagnant déjà les paroles, pour ma plus grande joie je l’avoue. Je commençais à gémir sous les assauts quand une main impérieuse a étouffé ces manifestations de plaisir : « Silence, les voisins n’aiment pas le bruit ! » C’est donc en me mordant les lèvres, puis ma propre main, que je subis ma féminitude tant aimée, et la cavalcade vers la jouissance de mon puissant étalon. Il faut avouer qu’il s’appliqua à lui-même ce qu’il m’avait imposé : un râle de gorge, à peine audible, alors qu’il déversait en moi des saccades de foutre à n’en plus finir…Ma jupe était à peine retombée sur mes cuisses, mon string remis en place, et je redescendais tout juste sur terre, les jambes tremblantes, que j’entendis sans en croire mes oreilles, alors qu’il se rajustait, « Tu m’as donné faim ! Allez viens, on sort dîner ! », une claque sur les fesses accompagnant ce qui ressemblait plus à un ordre qu’à une proposition.Terreur absolue. « Mais je ne peux absolument pas me montrer en ville en fille ! » En 30 secondes j’ai tenté de sortir tous les arguments, on va croiser quelqu’un qui me connaît, ça va se savoir, je vais avoir des problèmes au boulot, etc. J’essayais encore d’argumenter pendant qu’il me poussait dehors puis m’entraînait vers sa voiture, ce qui suscitait chez moi encore plus d’angoisse à l’idée de croiser quelqu’un. Seulement lorsque nous fûmes assis dans son auto, il ...

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