Avant de continuer mon récit, je tiens à vous remercier toutes et tous pour vos commentaires et vos encouragements et d'avoir noté mon récit. Merci beaucoup et je vous souhaite de faire de belles rencontres.Je viens de rencontrer pour la première fois cet homme depuis si longtemps convoité... Ce garçon avec qui j'ai longuement échangé sur le net de nos fantasmes communs. Ce soir, enfinnous sommes nus, côtes à côtes, chacun à l’extrémité d'un canapé. Je viens de couper court notre conversation autour d'un whisky en prenant la verge de mon compagnon dans ma main.Son sexe est doux, et toujours flasque, notre petite conversation avait réussi à fortement détendre l’atmosphère. Cependant, j'ai l'intention, à présent, de rehausser le niveau sans plus tarder. Mon hôte semble apprécier ma décision et se laisse faire. Finissant son verre, il profite de la vue sur son sexe que je caresse avec délicatesse et aussi, avec beaucoup de curiosité. Je me rapproche, toujours assis, vers le centre du canapé sans lâcher sa merveilleuse verge un instant.Sous mon doigté, la souplesse de son membre semble se se raffermir, durcir, pour venir se pétrifier. Mon chevalier servant, la tête renversée, les yeux fermés, lache prise.Dans le même temps, mon sexe commence à perdre aussi de sa flaccidité et ma pudeur semble s'être dissipée avec mon érection naissante. Je me plaît à regarder très attentivement son sexe. Si par des photos, il me semblait bien le connaître, de le voir s'ériger entre mes doigts lentement, gonflé par mes caresses, je trouve sa verge vraiment très belle, très douce et bien moins impressionnante par sa taille qu'en image, beaucoup plus romantique et si fragile.Instinctivement nos corps se rapproche encore. Quand, si prêt, nos jambes s'effleurent, nos chaleurs corporelles se mélangent. Son sexe entre mes doigts, décalotté, a, comme moi, fini par être bien conséquent. De ce surplus de sensation je n'ai qu'une envie embrasser son étendard qui pointe vers mon visage. Il m'appelle. Il m'attire...Je n'ai plus qu'à me plier doucement vers l'avant et abaisser un peu de la tête pour emmener son gland au bord de mes lèvres.Au contact de cette chaude douceur, j’entrouvre la bouche et du la pointe de ma langue, je lèche l'extrémité de son gland et en savoure la douceur chaude de sa surface. Je retrouve ce bonheur connu il y a beaucoup trop longtemps où, quelques mois plus tôt, entre deux portières de voiture, en cette fin de triste matinée de novembre, j'avalais fébrilement le sexe d'un bel inconnu. Cette sensation de douceur tellement magique que, si je n'y avais jamais goûté, je n'aurai cru possible à savourer chez un homme. Cette boule souple et rigide en même temps qui sous la langue glisse sans obstacle et dont la chaleur donne cette impression qu'elle fait partie de soit.Cette tiédeur incomparable sur ma langue décuple mon désir. Je sais mon sexe, bien raide à son tour, sans doute plutôt bien humide, cependant hors d'atteinte pour mon partenaire. néanmoins ce n'est pas trop un problème pour moi. Je prend tellement de plaisir avec le plus large de mes orifices, à goûter son phallus, que le reste me semble si lointain.Ses doigts dans mes cheveux accompagnées de petits râles ne sont pas sans effet sur mes caresses buccales. Je commence à découvrir ses points faibles. Le plus fascinant est qu'ils sont si faciles à trouver car, pour ainsi dire, j'ai les mêmes. Lécher son gland, puis rapidement du bout de la langue la région de son frein, de son méat augmentent les râles et se ...

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