J’étais très jeune et vivais dans un tout petit village à la campagne. Mon corps était androgyne sans poils mais je commençais à ressentir des choses au niveau de mon corps. Mon sexe se dressait au moindre effleurement d’un tissu ou d'une caresse dès que je me lavais. Je ressentais du plaisir quand je le caressais mais je n'avais jamais été jusqu’à l’éjaculation. J'aimais passer du temps avec les filles de mon âge et les seuls contacts avec les garçons était de jouer au football. Elles avaient des seins déjà dessinés et énormes pour certaines, j'aimais leur visage et leur forme juvénile. Bref, leur féminité naissante allait définir mon être d’aujourd’hui.J’étais un garçon mais mon âme était féminine et mon corps androgyne avec un petit sexe m'indiquait une autre voie.Dès que je sentais des moments de chaleur m'envahir, j’aimais me mettre nu dans les bois et frotter mon sexe contre des branches recouvertes de mousse. Cela m'apaisait et il m'arrivait juste après de m'endormir comme cela dès que l’été pointait son nez. Les mois passèrent. Mon corps ne changeait pas et mon activité de me mettre nu dès les premiers rayons de soleil se poursuivait.Un après midi, je fus réveillé par une voix masculine. Est-ce que ça va bien ? tu n'es pas blessé ? non lui répondis je. Un stress m’envahit car j’étais nu. - Que fais-tu comme çà tout nu ? -je n'aime pas trop porter des habits dès qu'il fait chaud. Je ne savais pas quoi répondre en fait.Mais je le reconnus, c’était un marocain d'une trentaine d’année qui venait chaque année pour la récolte des fruits dans ma région. Çela me soulagea un peu car je savais où il travaillait et l'avais déjà croisé dans le village. Mais j’étais paralyse de honte et un peu de peur.Il me dit : Ne bouge pas je vais quand même voir si tu n'es pas blessé.Il ausculta tout mon corps et je vis qu'il regardait avec attention mon sexe.Il me dit : Mais tu as un corps de fille. Pourquoi cela résonna dans ma tête e fit autant plaisir ?Il continua en disant : Avec du maquillage sur les yeux, du rouge à lèvre et une petite robe, tu pourrais être ma fiancée. Ces mots firent l'effet d'une explosion dans mon cerveau. J’étais aussi une fille et je pouvais plaire à un homme. Cela me fit me détendre et commençais à apprécier cette situation.- C'est vrai ? répondis-je naïvement.-Oui, Regarde ce que tu provoques en moi. Une bosse énorme enflait son pantalon. Il parlait avec ...

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