Je viens de revoir un pote de régiment. Comme beaucoup d'anciens, les souvenirs de la caserne remontent à la surface. En fait c'est un fantasme qui me revient souvent. Jeune sous-officier et beau garçon ; blond bien foutu et bronzé j'étais 100 % hétéro et avait un certain succès auprès des filles.Dans ma caserne il y avait des soldats issus des tirailleurs algériens.2 d'entre eux étaient des caporaux-chef et avaient la réputation d'être pointeurs. J'ai très vite pu le constater par moi même car ils ne manquaient jamais une occasion de venir me serrer la main et ce faisant, ils en profitaient pour me caresser la paume de la main avec un doigt. Drague discrète et qui me gênait beaucoup. Parfois le soir je croisais Mohamed qui venait prendre sa douche dans mon bâtiment et je pouvais constater qu'il n'avait rien sous son survêtement vu la bosse que cela faisait sous la ceinture le long de sa cuisse...Cela a duré quelques mois et les allusions pour coucher avec moi, étaient devenues carrément ouvertes, puis devant mon refus ils ont abandonné.Des années plus tard et bien loin de cette caserne j'y repense souvent et je fantasme : si j'avais dit « oui » moi qui n'avait observé que de loin. …Et si …Ce jour là, excité j’achète de la vaseline et enduis mon petit cul vierge. Après quelques aller-retours de doigts dans celui ci je constate que cela ne fait pas mal et j'ose enfin me lancer.Comme tous les jours, je traverse la cour et arrive en face de moi le c/c Mohamed.« salut sergent » et comme d'habitude il me caresse la paume de main.« salut, je suis d'astreinte ce Week-end et j'ai des jus de fruits dans ma chambre … si tu veux, viens prendre ta douche à 19h et je t'invite à venir en boire  »Stupéfaction ! Mohamed n'en revient pas, est ce que je me moque de lui,ou …!?J'ai eu la chance d'avoir une piaule juste en face du bloc sanitaire.« sois pile à l’heure où je serais parti au mess »Évidement à 19h pile on frappe à la porte de ma chambre. J'ouvre de suite et Mohamed est là. Comme toujours il est en survêtement avec une belle bosse là où il faut.Quant à moi, je n'ai sur moi qu'une serviette sur les reins et lui tourne résolument le dos pour aller vers mon bureau où se trouve les bouteilles.« ferme bien la porte STP » dis je doucementAussitôt la porte fermée, il ne perd pas de temps en bavardage et je sens ses mains sur mes hanches. La seconde qui suit ma serviette se retrouve à terre. Je ne proteste pas et Mohamed me prenant par les épaules m'oblige à me pencher à la hauteur de sa bite. Pas de blabla !Très vite il la sort et presse ma bouche contre celle-ci. Timidement je me mets à goûter cette belle queue offerte. Mohamed en profite pour explorer mes fesses et insérer un doigt dans mon petit cul vierge. Satisfait de le savoir humide, il me retourne toujours sans un mot, me courbe devant lui et positionne sa bite contre ma rondelle.Aussitôt, avec appréhension, je me relève un peu et lui dis « je suis encore puceau de ce coté ». Il pousse alors sa grosse bite très lentement me pénétrant en douceur. Une fois au fond, il s'arrête puis commence son va et vient tout heureux de m'avoir dépucelé. Il est au bord de la jouissance et me retourne, me fait mettre à genoux.« ouvre ta bouche tu vas goûter à mon jus et tu vas aimer ! »Oublié le jus d'orange et c'est moi, qui, après avoir été bien baisé, goûte au jus de corps d'homme.Une fois avoir empli ma bouche de son sperme, que je trouve bon, il me lance triomphant« tu vois tout ce temps de perdu … je vais prendre ma douche … je reviens demain à 8h »Samedi 8h ;la porte s'ouvre, Mohamed entre et se déshabille de suite puis me couchant va profiter de moi une partie de la matinée mais cette fois un peu plus hard. Satisfait ayant de nouveau entièrement vider ses couilles il se rhabille et lance en sortant « ce soir je vi ...

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