Jacques est passé me rendre visite ce soir, tout triste ; sa copine vient de le plaquer, et il est désabusé. Assis sur le divan, nous discutons de choses et d'autres, et dégustant du bon bourbon, quand il me dit : "Je vais me rentrer, il se fait tard."- Tu veux rentrer après ce que l'on a bu ? Je ne te laisse pas repartir comme ça, tu vas dormir ici. Demain c'est samedi, tu ne bosses pas.- Tu as raison, mais tu n'as qu'un lit...- Ça te dérange de dormir avec un vieux pote ? Tu as peur que je te viole ? - Ahahah ! Pas du tout ! Mais imagine que je me trompe dans la nuit, et que je te prenne pour Cécilia. - Je n'avais pas pensé à ça, mais maintenant que tu me le dis.... Je n'ai jamais touché un mec, mais toi, tu es mon ami, et, à la réflexion...- A la réflexion ?- Avec toi ça ne me dérangerait pas vraiment de tenter l'expérience ; je t'aime bien tu sais, et ton contact ne me déplairait pas. - Mais entre le contact et le sexe, il y a de la marge !- Ben écoute, je n'y avais jamais pensé, mais à présent que l'on en parle... C'est la seule partie de toi que je ne connais pas encore, depuis tout ce temps, et ce serait l'occasion ! Et depuis le temps que l'on se connait, que l'on se fait la bise, on ne s'est jamais embrassé ! Jamais l'idée nous est venue. - C'est vrai. Et après tout, pourquoi pas ? Je t'aime bien aussi, et l'idée de ton contact ne me dégoûte pas. - Et si on se regardait une vidéo soft de lesbiennes, de gays, voire de ladyboys, il y en a de magnifiques ? - Ce n'est pas une mauvaise idée, tu as ça ? - De ladyboys, oui, mais les autres on peut chercher sur le net.- Mets-nous donc tes ladyboys, puis nous verrons.- Ok. Et nous voilà tous deux côte à côte devant l'écran.- Il ne fait pas très chaud chez toi ! C'est vrai, le froid est arrivé d'un seul coup, et je n'ai pas encore mis le chauffage, serrons-nous, nous nous réchaufferons mutuellement.- Oooh ! Mais tu es un petit coquin, toi ! Je te vois venir !- Mais si tu n'en as pas envie...- Mais si ! Je te fais marcher ! Et nous voilà tous deux, serrés l'un contre l'autre, devant l'image de 2 ladyboys qui commencent à se câliner. - Bon sang ! C'est vrai qu'ils sont beaux !- Je te l'avais dit ! Le film avance, ils commencent à se dénuder, se caresser, puis l'un entame une fellation.- C'est vrai que ça fait envie ! Ils me font bander ! Effectivement, je vois sa braguette gonflée... Je pose une main sur sa cuisse, et dit :- Quelle jolie promesse ! Et dire que depuis que je te connais, je ne l'ai jamais vu ! Mais j'aimerais un baiser à présent, je vais fermer les yeux, et t'offrir mes lèvres, viendras-tu les goûter ? Il n'a pas hésité ; d'après de petits bisous légers, puis un petit bout de langue s'est glissé entre mes lèvres, et finalement, est entrée goulûment. Puis il dit :- Tu embrasses rudement bien, dis donc ! Mieux que Cécilia !- Entre mecs, on se comprend !- Et tu penses que ce serait pareil pour tout ?- Peut-être, qui sait ? On ne peut savoir sans essayer...- Et oui, tout à fait ! Tu me fais essayer ton lit ?- Avec grand plaisir ! J'éteins l'ordi, et nous allons dans la chambre. Je laisse le couloir allumé pour avoir une lumière indirecte dans la chambre, et nous nous déshabillons, mais sans même en avoir parlé, nous gardons nos boxers, puis on se couche ; l'un près de l'autre tout d'abord, puis je me rapproche de lui, qui est couché sur le dos, et je l'embrasse passionnément. "Hum, me dit-il après, j'aime beaucoup, puis te sentir contre moi est tout, sauf déplaisant.".- Il en est de même pour moi. J'aime être contre toi, surtout que tu n'as pas de poils.- Oui, je m'entretiens, et tu en as peu, c'est agréable aussi !- Tu sais quoi ? J'aimerais que tu viennes sur moi, lui dis-je, j'ai envie de sentir le poids de ton corps sur moi. Veux-tu ? Il ne se le fait pas dire deux fois. Il vient et m'embrasse. Je fais courir mes mains sur son dos et ses reins, puis je m'aventure ensuite sur ses fesses, fermes et joliment rebondies, mais très vite, je les glisse sous la mince étoffe.- Hum ! J'aime ! C'est bon ça ! Tu as les mains douces et caressantes !- Merci ! J'espère que tu apprécieras autant sur ta bite, car j'ai très envie de faire sa connaissance.- Mais moi aussi ! Tu m'as donné envie de la découvrir aussi !- Et bien ok. Redescend et fais ce qu'il te plait. Et là, à ma grande surprise, il se lâche. Se penchant sur moi il m'embrasse avec passion, tout en caressant mon torse, et en glissant une de ses jambes sur le miennes. Puis, petit à petit ses caresses descendent jusqu'à mon ventre, puis effleurent mon boxer.... avant de se glisser délicatement à l'intérieur. Et là, le contact de sa main sur mon membre me ravit, me fait un bien fou ! Je glisse alors mon bras sous son torse, et glisse à nouveau ma main sous son slip pour palper à nouveau ses fesses douces et lisses. Entre-temps il a saisit mon membre et le branle doucement, provoquant un début d'érection. Je lui dis :- J'adore ma bite dans ta main, c'est trop bon ! Et tu sens que tu me fais bander ?- Oh oui ! Et c'est bon de la sentir réactive ! Mais j'aime aussi que tu me palpes les fesses, c'est très bon ! De ma main libre je descends mon boxer sur mes cuisses ; il prend la relève et l'ôte. J'écarte alors les jambes, il saisit et masse doucement mes couilles. - Hum ! J'adore tes couilles !- Et moi j'adore que tu me les caresses ainsi ! Mais j'ai aussi envie de découvrir les tiennes, mais dans cette position, ce n'est guère possible. Veux-tu que je me retourne ? - Ah oui ! Tête bêche ? Super ! Je pourrais ainsi te voir de plus près ! Je me suis donc retourné et aussitôt empressé de palper la mince étoffe qui dissimulait encore les trésors de mon ami. Mais poussé par l'envie, je n'ai pas tarder à glisser ma main à l'intérieur, et j'ai alors entendu un gémissement de plaisir. J'ai adoré ce premier contact avec son intimité, et sa peau épilée si douce. Puis j'ai baissé et enfin ôté ce dernier rempart. Dans la pénombre de distinguait cette belle hampe qui devenait de plus en plus raide. J'ai posé ma tête sur sa cuisse, dont j'ai trouvé la peau très douce pour avoir une vue intégrale. J'ai saisi ses couilles, si douces sans poils, puis je les ai massées doucement ; il a à nouveau gémi. J'ai enfin repris son membre en le branlant doucement. Entre deux je percevais son beau gland lisse et brillant, et j'ai alors pensé qu'il ressemblait à un joli bonbon qui devait être bon à sucer. J'ai lentement approché mon visage de cette hampe désormais bien tendue et droit comme un I. Son odeur doucereuse m'a vraiment fait envie. J'ai commencé à déposer un baiser puis j'ai glissé les lèvres le long de ce pieu de chair tendre et chaude, me hasardant jusqu'au gland. Je l'ai senti si doux sur mes lèvres que j'ai commencé à le lécher. N'y tenant plus je l'ai pris entre mes lèvres... Bon sang ! Que j'ai aimé ce tout premier contact avec ce doux bonbon dans ma bouche gourmande ! Son propriétaire aussi, d'ailleurs, ses gémissements ont largement remplacé les mots ! Mais de son cô ...

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