Entre Lyon et Chambéry comme un manteau de velours noir, percé seulement par les halos orangés des lampadaires faiblards. Après la sortie 8, ce coin discret – avant Bourgoin – Pas de caméras intrusives, juste le ronron des moteurs lointains et cette chaleur thermique qui montait des corps en rut. Moi, Léo, 38 ans, passif insatiable aux courbes souples et à la peau tatouée de désirs refoulés, j'avais posé mon cul sur un banc usé vers 21h30, jean baissé à mi-cuisses, mon trou déjà luisant d'anticipation. J'attendais, cœur battant, l'appel anonyme d'un mâle pour me remplir, mes doigts traînant paresseusement sur mon sexe demi-dur, prêt à m'offrir sans un mot.Le bus déboula d'abord comme un fantôme massif, freinant dans un sifflement hydraulique sur le parking routier adjacent. C'était un car de ligne nocturne, Chambéry-Lyon, vide à cette heure tardive, son chauffeur – appelons-le Karim, la quarantaine athlétique, barbe poivre et sel et yeux de braise – descendant pour une pause express. Il repéra ma silhouette d'un coup d'œil, son regard glissant sur mes cuisses écartées comme un prédateur flairant la proie. Bi assumé, il l'était : marié à une blonde aux seins lourds, mais ses virées solitaires le menaient souvent vers des culs comme le mien, chauds et dociles, ou vers des chattes humides qui le faisaient bander double. "T'es là pour ça ?", grogna-t-il en s'approchant, sa voix rauque éraflant l'air froid, déjà en train de dégrafer sa braguette d'uniforme. Sa bite jaillit, BM épaisse et veinée, courbée vers le haut comme une lame prête à trancher le silence. Je hochai la tête, muet, me redressant pour l'accueillir, mes lèvres s'entrouvrant sur un sourire complice.Karim ne perdit pas de temps ; il m'attrapa par les cheveux, me plaquant contre le flanc du bus, son engin frottant ma joue barbue. "Suce d'abord, salope", ordonna-t-il, et j'obéis, ma bouche chaude engloutissant son gland salé, langue tournoyant autour de la couronne gonflée tandis que ses hanches poussaient en avant, forçant la hampe jusqu'à ma gorge. Le goût musqué de sa sueur routière m'envahit, mélange de tabac froid et d'excitation brute, et je pompai avidement, mes joues creusées, des filets de salive coulant sur mon menton. Karim grogna, une main sur ma nuque, l'autre glissant sous mon t-shirt pour pincer mes tétons durcis. "Putain, t'es doué... Imagine si ma femme te voyait comme ça." Ses mots, chargés de vice bi, firent durcir mon propre sexe, pressé contre le métal froid du bus. Je levai les yeux, croisant son regard fiévreux, et il rit bas : "Elle kifferait, la coquine. Elle adore me regarder prendre du mâle."C'est alors que je la vis, elle. Une silhouette furtive, garée à l'écart dans une vieille Peugeot cabossée, à une vingtaine de mètres.Appelons-la Sophie, la trentaine épanouie, jupe relevée sur des cuisses pâles, ses cheveux châtains cascadant en désordre. Elle n'était pas venue pour jouer ; juste pour mater, comme une voyeuse nocturne en quête de frissons volés. Ses yeux, brillants sous la lueur d'un réverbère, étaient rivés sur nous à travers la vitre teintée du bus – celle du siège passager avant, légèrement entrouverte pour capter les sons. Elle ne s'approcha pas ; non, elle se contentait de regarder, une main glissée sous sa culotte, l'autre agrippant le volant pour se stabiliser. Ses doigts dansaient déjà, lents et circulaires sur son clito gonflé, son souffle embuant la vitre tandis qu'elle nous dévorait du regard. Moi, avalant la queue de Karim ; lui, dominant la scène avec une assurance de mâle en chaleur. Elle mordit sa lèvre, un frisson visible la traversant, mais elle resta là, distante, se doigtant en rythme avec nos halètements étouffés.Karim, sentant mon regard dévier, tourna la tête et la repéra à son tour. Un sourire carnassier étira ses lèvres. "Regarde-moi ça... Une chienne en chaleur qui nous mate. Continue à sucer, Léo, montre-lui comment on fait." Il m'attira plus près, ses poussées s'accélérant, claquant contre mon palais, tandis que je jetais des coups d'œil obliques vers elle. Sophie accéléra, ses doigts plongeant maintenant en elle, deux, puis trois, son bassin se soulevant contre le siège en cuir usé. À travers la vitre, je voyais ses seins se soulever sous son chemisier déboutonné, un téton rose dressé comme une invitation muette. Elle ne nous rejoindrait pas – c'était son kiff, ce voyeurisme pur, se caresser en spectatrice de notre ballet bi. Karim, excité par son regard invisible, me releva d'un geste brusque. "À ton t ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad

