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Régulier quel plaisir!

Publié par : exibho le 11/11/2024
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Quelques années après ma première expérience de fellation entre mecs, j’allais retrouver cette agréable sensation lorsque tu le fais éjaculer dans ta bouche et que tu prends plaisir à la déguster puis lui laver la queue avec ta langue gourmande.J’étais à l’époque étudiant, et je ne dirais pas dans quel domaine, mais je logeais sur mon lieu d’étude et j’y avais donc une chambre que je partageais avec un autre étudiant.Nous avions tout deux une copine et des relations aussi régulières que l’on peut avoir à cet âge-là. Alors que les filles partagent presque tout de leurs aventures et jeux sexuels, c’est plutôt assez rare pour les mecs.Mais après 1 an à partager la même chambre 5 jours sur 7, on peut dire qu’une certaine intimité nous liait. Souvent le soir, couché dans nos lit respectif, nous bavardions d’un peu tout. Rarement de nos copines, mais ce soir-là, elles étaient le sujet principal de notre conversation.Pour résumer, il se plaignait de n’avoir pu baiser le week-end dernier, sa nana ayant ses règles. De mon côté je lui expliquais que dans la majorité des cas, en l’excitant bien avant, les sécrétions vaginales « couvrent » le flux et que ça nous a jamais empêché de baiser même durant cette période. De fil en aiguille, la conversation devenait de plus en plus chaude avec des détails sur elles de plus en plus précis. La taille de leurs seins, ce qu’elles aiment, si elles mouillent beaucoup et si elles ont des goûts particuliers.La mienne par exemple aimait les scénarios de la jeune ingénue qui résiste un peu et d’autant plus lorsqu’il s’agissait de la sodomiser et qui finalement se laisse totalement aller assumant « sa débauche » de se faire prendre par derrière.La sienne aimait avoir une chatte odorante pour l’offrir à lécher. Acceptait un doigt dans son cul, mais refusait la sodomie.Il y avait un point ou les deux se rejoignaient, elles comme tant d’autres d’ailleurs. Elles n’aimaient pas trop sucer et surtout pas question d’avaler, ni même de recevoir en bouche. Elles arrivaient toutes deux à se retirer quelques secondes avant la giclée. Et comme tout mec qui se respecte et qui a eu à connaitre cette situation, c’est quelque chose de frustrant au possible. S’en est presque castrateur ! D’ailleurs une travailleuse du sexe, disait toujours –Mesdames, sucez vos maris ou ils iront se faire sucer ailleurs ! Que de sage paroles sur ce sujet…Nous étions donc tous les deux d’accord pour dire que l’on était frustré de si peu de pipe et qui plus est, des pipes avortés. On avait envie de bouches avides de nos sexes, prêtent à avaler notre semence comme la récompense ultime de nos corps. Le saint Graal du sexe, la fontaine de jouvence de la femme avide de sexe et prête à consommer, avaler, se faire un masque de beauté de ce jus divin qui sort de nos queues.Inutile de dire qu’à ce point de la conversation, je caressais ma queue tendue et dure tant j’étais excité. Mon voisin de chambrée me demanda si je faisais la même chose que lui, à savoir se branler. Je lui répondit -Oui je me branle, et j’aimerais trop que ma meuf soit là pour la lui faire pomper. Idem fût sa seule réponse. Puis il me dit un truc qui allait complètement changer la donne de cette soirée confidence.- T’a déjà gouté ton sperme ?Ma réponse était oui, j’ai, comme beaucoup, passé mon doit sur ma bite et gouté quelques gouttes de ma production personnelle. Et toi ? j’eu à nouveau droit à un -Idem. La 2eme question allait être plus précise et directe.- T’a déjà sucé un mec ?Je ne voulais pas lui dire que quelques années avant j’avais sucé. Alors je me répondis simplement – Non mais je vois pas de problème à ce genre de pratique. Ok, on se fait un 69 me dit-il ? J’ai trop envie de me faire sucer. Alors si tu me suce, je te suce aussi et on avale.12 secondes plus tard, j’étais dans son lit avec sa queue dans ma bouche et il avait ma queue dans la sienne. Ce fût un 69 des plus intense ou l’on se bouffait littéralement la queue massant chacun les couilles de l’autres pour être sûr de faire sortir toute la sève qu’elles contenaient.Il se fendit d’un long râle rauque et inonda ma bouche de son sperme, ce qui déclencha en moi la même réaction éjaculant à mon tour dans sa bouche. Pour lui comme pour moi, pas une goutte gâchée. Je terminai en pressant sa tige pour en extraire les ultimes gouttes et je lui lavai la queue avec ma langue.Haleine sperme, je retournais dans mon lit, très content de ce qui venait de se passer. Il me dit -J’aime pas trop le gout, mais sucer et branler en se faisait sucer, c’était cool, et tu suces bien mieux que ma meuf. Tout en ne dévoilant pas le méga plaisir que j’avais pris a avaler son jus, je lui dit – Ouais c’était cool, tu suces bien aussi et j’ai bien aimé ton éjac, donc je te suce quand tu veux.J’en veux bien encore une si tu es d’accord et je te suce un peu et je te branle mais je t’avale pas, ça marche ? Je t’ai dit que je te sucrais quand tu veux, alors tu sors ta queue 10 fois par jour si tu veux et je te pompe au jus 10x. Honnêtement j’aime bien ça, même si j’aime aussi lécher une chatte ou la baiser, mais j’aime sucer une queue qui me gicle en bouche.Je crois qu’à ce moment-là je n’avais pas encore pris conscience que j’étais bisexuel.Nous avons encore passé 2 ans dans cette petite chambre et je ne compte pas le nombre de fois où je l’ai pompé et avalé. Il venait constamment mettre sa queue devant ma bouche, et comme je lui avais promis je le suçais à chaque fois. Je suis même allé chez lui un week-end. Je suis arrivé juste au moment où il venait de finir de baiser sa nana. Elle enfila son soutif et partit aussitôt, à la bourre pour un rendez-vous qu’elle avait. La porte à peine fermée, il sortit sa queue en me disant -Y’a moins de 10mn elle était dans sa chatte, tenté ?Tu m’étonne que je fusse tenté. Je commença de le sucer tout en retirant mes vêtements. Sa queue était à la fois humide et odorante. Enduite de résidus et parfum de chatte et de sperme, je redoublais d’effort pour laver cette bite sur toute sa longueur et la faire gicler à nouveau, ce qui au vu de l’effort effectué, ne tarda pas à arriver. Il voyait que j’aimais ça et me dit j’aime aussi me faire lécher le cul, mais elle ne me le fait jamais. Tu es tenté de me le faire ? Ok tu me branle et au dernier moment tu te retournes et je te gicle sur la rondelle et ensuite je te lèche.Il me suça un peu, me branla, puis se retourna et je fini de me branler sur son cul que je nettoyai aussi avec ma langue.Cette chambrette d’étudiant en a vu de toutes les couleurs. Quand ce n’est pas lui qui était demandeur de pipe, c’est moi qui allait mettre ma main dans son slip, lui arrachant quasiment ses fringues pour lui pomper la queue. Il venait de finir de pisser que je ne lui laissait pas le temps de la ranger ou de secouer la dernière goutte et je me mettais à le sucer. C’est aussi à cette période-là que j’ai compris que les gouts, les odeurs les liquides m’excitaient beaucoup. Mais j’allais découvrir d’autres choses.Cela faisait plusieurs mois que je le suçais tous les jours et même plusieurs fois par jour. Je ne sais toujours pas comment, mais celui qui était responsable de notre formation a appris ou compris, peut-importe, qu’il se passait un truc.Cinquantenaire bedonnant, ce chef était divorcé depuis une quinzaine d’année et personne ne l’avait rencontré avec une autre femme depuis. On pouvait donc en déduire que sa seule amie depuis longtemps, était la veuve 5 doigts, autrement dit sa main pour les lambins du bulbe. En fin de journée, alors que mon coloc était en congé, il arriva dans la chambre distante de quelques mètres de son bureau.Il commença par me féliciter pour mon travail et du fait que j’étais un bon élément. Puis il balança une tonne de banalité diverse et pas forcément en rapport avec notre activité. J’avais la très nette impression qu’il voulait dire un truc, mais qu’il tournait autour du pot sans trop savoir comment aborder un sujet qu’il devait juger « sensible ». Vous vous entendez bien avec t ...

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