Je travaille à La Défense, et ai l’habitude d’aller faire des longueurs au moins une fois par semaine le midi à la piscine de Courbevoie située place Charras, comme beaucoup d’autres salariés qui bossent dans les tours du quartier d’affaires.J’avais plusieurs fois remarqué que dans quelques cabines pour se changer, un petit trou correspondant à un rivet manquant dans la cloison en bois permettait à un oeil averti de regarder ce qui se passait de l’autre coté (à une hauteur assez judicieuse), mais les quelques cabines présentant cette particularité étaient peu nombreuses, et l’étroitesse du trou ne permettait pas de voir grand chose (je m’y étais essayé plusieurs fois), quand un vêtement suspendu à la patère n’occultait pas complètement la vue …Les douches communes (hommes et femmes séparés tout de même), offrent aussi parfois le spectacle d’homme se savonnant intensivement à l’intérieur du maillot (ou même qui entrebâillent franchement le maillot pour un rinçage efficace), mais difficile de dire si il s’agit d’une exhibition destinée à attirer l’attention … toujours délicat de montrer son intérêt (en tout cas pour moi)Vous l'aurez compris, j'aime ce genre de jeux où l'exhibe prend une bonne part.Je tombais un jour sur une fiche de ce site d’un membre indiquant qu’il travaillait aussi à La Défense et cherchait des plans en extérieur, et se rendait régulièrement à la même piscine : voilà l’occasion que j’attendais !Un dialogue s’instaure et nous découvrons vite que nous avons les mêmes attentes (et ses photos montrent un membre de belle taille, ce que j’apprécie tout particulièrement)RdV pris pour un midi, dans le couloir d’accès à la piscine : je m’y rends, tremblant d’impatience, et il arrive effectivementNous échangeons quelques mots discrètement, marié comme moi, bi comme moi, nous nous mettons d’accord : RdV dans les toilettes qui sont localisées dans une pièce séparée des douches, les cabines n’étant pas suffisamment discrètes pour s’amuser sans risquesJe me change, me dirige vers la douche, commence à me doucher, il arrive, en fait de même, comme nous sommes seuls ...

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