Suite de Retour au camping 11 - Aprem bien chaude dans les mobil-homeLe repas du soir passé, avec Raph on est toujours aussi chaud. C’est ça qui est cool avec lui il est toujours partant pour un plan cul même tordu. Après là il n’y a rien d’original. Le gars qui m’a sauté à l’arrière de sa voiture, tard le soir il y a quelques temps, est un saisonnier. Du coup quand il a envie de baiser à la fin de son service, un petit coup de tel et il me bourre sur le parking, tard le soir. Ce soir du coup j’y vais avec Raph. Cette petite salope est bien chaude, il a réussi à filer sans se faire griller de chez lui. Il est vraiment tard, mais le gars m’a dit qu’il ne serait pas là avant 3h. A cette heure y’a vraiment plus personne debout dans le camping. Raph est vraiment chaud et me propose un truc, vu qu’il n’y a personne il me demande si on tente une sortie à poil. Moi depuis toujours j’aime les plans comme ça, ce n’est pas de l’exhibe parce que personne nous matte mais le risque de se faire prendre m’excite de ouf. Je n’hésite même pas et lui dis ok. Je vire mon short et mon t-shirt, il fait de même et on balance tout derrière la tente. A chaque fois que je suis sortie de nuit pour aller me faire enculer par mon saisonnier je l’ai fait comme si de rien n’était, je n’ai jamais croisé personne, mais ce soir on fait super gaffe du coup ! La seule chose qu’on emporte avec nous c’est un tube de lubrifiant. On longe les allées, on essaye de rester dans l’ombre, on est à l’affut du moindre bruit. On est en avance, il ne doit pas arriver avant un quart d’heure. Raph dévie vers l’aire de jeux pour les gosses, il se pose sur un truc qui bascule je ne sais pas comment ça s’appelle, un jeu planter dans le sol par un très gros ressort. Le cul bien en arrière. « Encule-moi là-dessus ! ». Petit coup de lube et je l’enfile. Humm son petit cul serré ! Il fait basculer le truc d’avant en arrière et moi je me tiens derrière. Pas besoin de bouger, il s’empale de lui-même sur ma bite. Il se balance de plus en plus vite, ses va et viens sur ma queue sont de plus en plus fort et profond. Le truc pas mal de bruit, on stop. A mon tour de me faire prendre, on grimpe en haut de la petite aire de jeux et on tente des trucs. Raph veux m’enculer sur le pont suspendu. Il me la met dans le cul alors qu’il se tient debout derrière moi, le petit pont balance au rythme de ses coup de bite. Je ne sais pas pourquoi ça m’excite de me faire fourrer sur ce truc-là. Un couple rentre alors dans le camping, merde on est pas les seuls debout. On file se réfugier dans la petite cabane avec le toboggan au bout du pont. On les guette passer, enfin je les guette puisque je suis à quatre pattes dans cette cabane pendant que Raph me la remet au fond du cul et me bourre comme une salope. Je suis obligé de lui dire de ralentir ou du moins de ne pas faire claquer mes fesses contre lui parce qu’ils ont entendu des bruits et se retourne plusieurs fois vers nous alors qu’ils s’enfoncent dans l’allée en face de nous. On peut alors sortir de notre planque (et Raph de mon cul) et on quitte l’aire de jeu. Toujours à poil, pas le choix, on se dirige vers l’entrée du camping. C’est un peu chaud parce que l’entrée c’est allumé bien comme il faut la nuit. Pas de bruit, on passe l’accueil. Mais bon une fois passé c’est le même souci, on est en pleine rue ! alors c’est une impasse et même la journée c’est calme du coup mais ça fait flipper surtout qu’au bout de la rue il y a un grand rond-point avec quelques voitures qui passent encore à cette heure. On longe les murs et on file vers le fond de l’impasse là où se trouve le petit parking ou on doit attendre notre plan cul. Juste derrière il y a quelques dunes, on ne va pas rester là à attendre surtout qu’on est bien chaud. On est de manière à voir le parking et être vu du parking. Raph ouvre le bal, à quatre pattes direct, je lui plonge ma queue tout au fond. Alors que je lui lime le cul en levrette notre plan du soir arrive. Il se gare nous vois. Je sors du cul de Raph et on descend vers sa caisse. Pas de perte de temps, il a déjà je short en bas des chevilles. Il rabat un siège, on s’assoie à l’arrière, cote à cote. Ce n’est pas la voiture la plus grande du monde mais ça va. Il relève les jambes de Raph et lui met sa queue. Je me branle en regardant. Il n’est pas super bavard mais il se fait plaisir. Il passe d’une salope à l’autre. Sa queue est tout pleine de mouille anale de Raph et il me la fourre comme ça dans le cul. Quelques va et viens et retourne dans entre les cuisses de Raph. Il sait que le parking est tranquille, il nous fait sortir. Nous deux à poil sur son capot et lui juste en t-shirt, il fait de même. Un coup dans un cul, un coup dans l’autre. On s’en fout d’être dehors, on se laisse aller à gémir comme des chiennes. Ça l’excite de nous baiser comme ça et il ne tarde pas à jouir. On se met à genoux devant lui, langues pendues, il nous gicle à la gueule. Joue contre joue, il se débrouille pour changer de bouche à chaque giclée. On avale et on se jette sur sa queue pour pomper les dernières gouttes de jus. On continu de le sucer alors qu’il commence à débander, on lui bouffe les couilles. Il se retire content de lui et remonte dans sa caisse puis s’en va. Avec Raph on ne va pas en rester là. On remonte sur la petite dune pour remettre ça, de là-haut on voit la plage, la mer est haute. I lol n’y a pas un chat, Raph veut aller y faire un tour. On file pour un bain de minuit, toujours à poil, l’eau est fraiche, très fraiche même, on ne reste pas dedans. Par contre vu qu’il n’y a personne… il le sait et se met de lui-même en levrette dans le sable. Je lui bouffe un peu le cul puis lui met ma queue. C’est vraiment kiffant de baiser comme ça dans un grand espace en extérieur. On est en plein milieu de la plage, complètement à découvert. Raph se laisse aller et gémit comme une petite lope. Gros moment de stress, un mec qui longeait les vagues et qu’on n’a absolument pas vu arriver, débarque par derrière. « Ouh un joli petit couple qui fais l’amour sur la plage ! Aller baise la bien ! ». Cette frayeur qu’il nous a fait ! Après il arrive en disant ça c’est que ça ne le gêne pas qu’on baise sur la plage. Il est à 2 mètres même pas sur notre gauche, Raph se redresse alors que je continu de l’enculer. « Par contre je ne suis pas une fille ! », gros mouvement en arrière lorsqu’il voit que c’est un mec surtout qu’il l’a toujours bien raide. « Oooh des petits pd ! Cool les gars ! ». Il s’éloigne un peu mais reste à nous mater. Pas de souci pour nous. Par contre je lime son cul depuis un moment et je ne vais pas tarder à jouir. Je lui demande où, il veut que je lui remplisse le cul. Je m’agrippe à ses hanches et le bourre de plus bel. Il se cambre comme une chienne. Je lui mets tout au fond du cul et lui balance mon jus. Je fais quelques va et vient le temps de bien me vider les couilles en lui, puis me retire. Notre mateur à sorti sa bite et s’est un peu rapprocher. Raph se relève, il me dit que c’est à lui de me remplir. Avec plaisir ! Il me veut sur le dos, sur le sable. Il me relève les jambes et les fesses puis m’enfile sa queue. Il est bien bien chaud et me baise bien fort. Il fait de moi chienne de la même manière qu’il a été la mienne. Il me met des grands coups de queue bien au fond du cul. Autant c’était bon de baiser en plein air, mais se faire baiser c’est encore mieux. N’importe qui pourrai débarquer, la preuve avec notre branleur, mais je m’en fous royalement. Tout ce que je veux c’est qu’il m’encule encore et encore. Il ressort de mon cul, me met en levrette et me bourre pour se finir, ce qu’il ne tarde pas à faire. La bite bien au fond il me remplit à son tour. Il se retire et s’allonge sur le sable. Notre mateur branleur est juste derrière. Il s’astique toujours, je tourne la tête pour le voir, je remus mon cul grand ouvert devant lui pour lui faire comprendre qu’il peut y aller. Il ne lui en fa ...

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