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Revoir P. au musée

Publié par : wilson le 19/03/2023

Bonjour je suis Wilson, et l’histoire que je vais vous raconter est une histoire totalement vraie.IL y a une dizaine d’années j’ai eu un plan régulier avec un garçon nommé P, grand, svelte, le corps plutôt bien taillé d’un adepte de la salle de sport, châtain clair, de très beaux yeux bleus et qui devait avoir 3 ou 4 ans de plus que moi. Nous nous étions rencontrés sur un site et on avait bien accroché.Son fantasme était le suivant: après lui avoir ouvert la porte de l’immeuble je devais laisser la porte de mon appartement entrouverte, laisser un préservatif à disposition dans l’entrée et l’attendre complètement nu, à quatre pattes sur mon lit, offert.Il arrivait, se déshabillait dans l’entrée, me rejoignait dans ma chambre, stimulant son sexe d’une main afin d’enfiler le préso et, s’agenouillant derrière moi, me pénétrait sans autre forme de procès.Nos étreintes étaient rapides mais intenses et nous ont procurés beaucoup de plaisirs. Son sexe dans la moyenne question taille était peu velu et d’une circonférence tout à fait acceptable. Il entrait en douceur pour me laisser m’accoutumer, puis une fois qu’il me sentait détendu, accélérait le rythme et, agrippé à mes hanches ou mes épaules, me ramonait de façon magistrale.Nous nous sommes retrouvés une à deux fois par semaine pendant plusieurs mois, toujours au moment de la pause déjeuner, puis nous nous sommes perdus de vue.Le week-end dernier avait lieu la clôture d’une exposition d’art que je voulais voir, les toulousains étaient eux aussi très nombreux à vouloir en profiter et la file d’attente dura 2 bonnes heures.Je rongeais mon frein dans cette foule plus ou moins disciplinée qui avançait bien lentement quand une silhouette vaguement familière attira mon attention. Il n’avait pas beaucoup changé, quelques cheveux en moins et des lunettes, les signes du temps passé.Il m’aperçut lui aussi, son regard s’arrêtant sur moi, mais il n’esquissa pas un geste et je ne pu lui en vouloir car à son bras une femme que je devinais être sa compagne tenait elle même la main d’une petite fille d’environ 5 ans.Je savait qu’il avait une compagne à l’époque mais il n’était pas encore papa, le temps décidément avait passé plus vite que je ne l’aurais cru.Quoiqu’il en soit, je fut content de l’apercevoir et de lui savoir une jolie petite famille, et je retournais à mes pensées attendant d’accéder enfin à l’entée du musée.Je les vis, lui et sa famille passer les portes du musée, puis quelques dizaines de minutes plus tard ce fut enfin mont tour.Je passais les caisses et me dirigeait vers le sous-sol où se trouvent les toilettes, après plus de deux heures de queue, je mourrais d’envie de soulager un besoin pressant.Les urinoirs était condamnés par de la rubalise, j’entrais donc dans une des deux stalles et soulageait ma vessie. Alors que je sortais de la cabine, je suis tombé nez à nez avec lui. Il me paru aussi interloqué que je l’étais moi même, nous sommes donc restés face à face quelques secondes, surpris de cette rencontre impromptue après toutes ces années. Il s’effaça alors pour me laisser sortir et esquissant un très léger sourire, plutôt gêné, me gratifia d’un léger hochement de tête en guise de salut, je lui cédais donc la place et allais me laver les mains.Mille pensées venaient de se percuter dans ma tête et je du perdre la notion du temps quelques minutes car, alors qu’il ressortis de la cabine après avoir uriné, j’étais encore à me savonner les mains. Attendant son tour au lavabo il m’adressa via le miroir un sourire moins crispé que le premier. Je me rinçait pour lui laisser la place et alors que je me dégageais il s’avança et nous nous sommes frôlés. L’homme qui occupait la deuxième cabine sort à ce moment là et n’esquisse même pas un pas vers le lavabo avant de quitter les toilettes, nous fûmes alors seuls.«Salut, ça fait longtemps» me dit il.«Oui, comment vas tu?»«Bien ! le boulot... la famille...»«Oui j’ai vu, félicitations... »« Et toi ? Ca va ? Tu vas toujours sur le site ? »« Toujours ! »« Tu vois toujours des gars alors...»« Je suis gay, donc... »« Moi j’ai arrêté il y a longtemps »« Et ça te manque pas ? »Il hésita un peu avant de répondre « j’ai ma femme, on est mariés maintenant. »« Oui je comprends mais c’est pas pareil... »« Non c’est vrai, ce que je faisais avec des gars, avec toi... c’était bien ! »« C’est vrai que c’était bien… Tu ne le fais pas avec elle ? »« Non ! Je lui ai jamais proposé... et je crois pas qu’elle aimerait... et puis ça me ferait bizarre de la prendre comme je prenais les gars... »Cette discussion m’a un peu émoustillé et puis je n’ai pas eu de rencontre depuis plusieurs semaines, et je sens une certaine excitation en lui aussi, Il ne cesse de jeter un oeil vers l’entrée des toilettes pour s’assurer que personne ne vient, sa femme et sa fille sont là pas loin et pourtant il ne part pas, et je devine, j’aperçois plutôt, que dans son pantalon, l’évocation de ses aventures passées commence à lui faire de l’effet. Ce n’est pas une franche érection mais tout de même une bosse qu’il n’avait pas dans la file d’attente tout à l’heure,Je suis très content de le revoir et je ne dirais pas non à un petit extra avec lui, je décide donc de tenter le coup.« Ca te fait de l’effet de repenser au passé on dirait. » Et ce faisant,d’un regard appuyé je désigne son entre-jambe.« T’es con.. »« Ne ment pas ! Ta queue ne ment pas elle ! » Et je lui colle la main sur la braguette ! Effectivement il y a de l’action, je sens un soubresaut sous ma main mais très vite il se dégage .« Fais gaffe ! O n pourrait nous surprendre ! »Je retire ma main tendu dans le vide.« Oui on pourrait… mais ne me dit pas que t’en a pas envie. »Il pousse un long soupir « C’est vrai que ça me manque de prendre un gars… mais là je peux pas... si on nous voit... »« Dans la cabine on nous verra pas et on fera pas de bruit, aller ! t’en meurs d’envie ! » Et je lui recolle la mais au paquet, il ne se dégage pas mais continue à jeter des regards apeurés vers l’entrée des toilettes tandis que je lui masse l’entre-jambe.« Aller, viens ! »Et d’un coup il craque et me pousse vers la cabine handicapée.On s’y engouffre et il verrouille derrière nous. Je le sent excité mais tendu aussi, crispé.J’ôte mon manteau que j’abandonne au sol puis baisse mon pantalon et j’attaque sa ceinture et sa braguette,Il se laisse faire d’abord puis d’un coup porte sa main sur mon entre jambe et commence à me caresser à travers mon boxer, tandis que je libère son sexe de son pantalon et de son slip, Il porte toujours des slips et moi qui adore les hommes en slip je suis aux anges.Je caresse ses couilles toujours aussi peu velues et masturbe son sexe dont l’érection est plus franche désormais. Son gland, pas encore décalotté, commence à poindre.Il me demande si j’ai des préservatifs, oui heureusement ! J’en ai toujours dans la pochette de mon sac à dos.Je me penche pour les attraper et me retrouve nez à nez avec son sexe désormais bien dressé. Je l’ai déjà branlé, caressé et pris dans le cul un nombre incalculable de fois mais je n’y ai jamais goûté, c’est l’occasion ou jamais ! Je récupère le préservatif dans mon sac mais au lieu de lui tendre, je m’assied sur la cuvette et l’attire vers moi.Il est un peu surpris mais se laisse faire, Je l’agrippe par les fesses et l’attire plus près. J’enfouis mon visage dans son pubis et en respire l’odeur tandis que mes mains pétrisse ses fesses, toujours aussi fermes et douces puisque peu poilues.De ma main droite je laisse à regret le contact délicieux de ses fesses et saisi son membre pour le porter à ma bouche. Ma langue repousse le prépuce pour finir de découvrir son gland.Un goût salé, de muqueuse mêlé d’urine m’explose en bouche alors que ma succion me fait saliver et que ma salive se charge des mâles effluves de sa queue.Ma Main droite retourne sur ses fesses et imprime un mouvement de va et vient qui fait coulisser sa hampe dans ma bouche.Lorsque son gland tape dans mes amygdales il pousse un râle de plaisir et ses mains se posent de chaque côté de ma tête, l’enserrent et impriment à leur tour un rythme soutenu.Sa queue est tout à fait dure sous la pression de mes lèvres désormais et mes joues se creusent de l’aspiration que je lui prodigue. Ses râles, bien que discrets, se multiplient et je recrache son manche pour gober ses couilles lourdes de promesses.Il me murmure son approbation de cette nouvelle caresse, mais très vite je le reprend en bouche et en profite pour insinuer un doigt dans son petit trou,« Oh putaainnnn !!!!! » sera sa seule réaction, avec la contraction dangereuse de son bassin, à l’intromission de mon doigt dans son intimité, et il s’enfonce plus profondément encore dans ma gorge.De lui titiller la rondelle me rappelle que la mienne réclame son dû .Je ramasse le préservatif que j’avais laissé tomber, recrache à regret sa délicieuse bite et lui tend l’emballage, il s’en sai ...

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