Robert m’appela à plusieurs reprises au cours de la semaine suivante mais nos brèves conversations demeurèrent très courtoises et sans projet à venir. J’étais un peu surpris qu’aucune rencontre coquine ne me soit proposée. C’était sans connaître le pervers qui l’habitait. En effet, un matin la sonnerie de mon téléphone retentit et je reconnu immédiatement sa voix grave. Il me suggéra de le rejoindre dès le lendemain très tôt place Denfert-Rochereau. Il éveilla ma curiosité aussi je lui demandai des explications. Il s’exécuta pour me proposer de vivre une expérience hors du commun sur son lieu de travail. Jusque là je ne trouvai rien à redire car il m’était arrivé parfois de faire des rencontres dans une boutique, une agence bancaire, un chantier ou un véhicule. Cependant l’originalité de sa requête résidait dans le fait qu’il tenait le kiosque à journaux situé à la sortie du métro. La retraite approchait alors il voulait vivre une situation extraordinaire : se faire sucer tout en vendant la presse. Il m’avait confié être commerçant mais là j’étais décontenancé. L’idée était peu banale aussi je m’interrogeai sur sa faisabilité. Il promit que tout cela était réalisable tant il y avait pensé avec nul préjudice pour ma part. Sa force de persuasion tout autant que sa folie me forcèrent à accepter. Me voilà donc le lendemain au rendez-vous à 7h00 du matin. Il avait déjà ouvert le kiosque et installé les journaux livrés peu de temps avant mon arrivée. Je découvris un habitacle exigu mais suffisant pour s’assoir dans le renfoncement sous le comptoir. Il m’invita à m’y cacher discrètement. J’entendis les vagues successives de voyageurs sortant du métro et les premières ventes débutèrent calmement. Il devait être environ 7h45 quand l’activité s’intensifia. Il fit glisser le zip de son pantalon pour me faire comprendre que j’allais devoir passer à l’action incessamment. L’équipe par ici, le parisien par là puis le figaro etc. etc. J’introduisis ma main par l’ouverture de sa braguette et palpai généreusement ses couilles, ouvris le pantalon et baissai son slip jusqu’aux genoux. Je pris son sexe dans ma main pour le caresser doucement puis en bouche tout en m’accrochant à ses cuisses et à ses fesses pour mieux l’engloutir. Je sentis son excitation enfler de plus en plus. Je voulais le maintenir le plus longtemps possible avec cette sensation alors je me retirai, chatouillai ses boules du bout des doigts. Sa bite bandait très fort telle une branche de bambou à l’horizontale. Le bout de ma langue titilla son gla ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad