Deux jours après mes exploits dans le ciné du côté de Pigalle, je contacte Enki, j’espère que ce maquereau va pouvoir organiser un plan, j’ai le feu au cul. On doit se retrouver le lendemain à l’Atomic place Clichy, le cinéma de mes débuts. J’arrive vers 14h, pas grand monde dans la salle, je descends aux toilettes, un arabe fume une clope en bas des escaliers, je ne le calcule pas et entre dans la cabine du fond et tire la porte en la laissant entrebâillée. J’ai le pantalon baissé, la chemise ouverte, je me caresse les fesses. Je suis de dos, le jette un coup d’œil par-dessus mon épaule, l’arabe est là regardant par l’entrebâillement de la porte en se massant la bite à travers son pantalon. L’air de rien, j’enlève ma chemise, m’accroche à la canalisation des chiottes, jambes écartées, bien cambré j’attends en oscillant lentement de la croupe, rapidement il entre, me caresse le cul, ses doigts cherchent ma rondelle et m’ouvre sans douceur puis me pénètre, sa queue longue et fine me transperce littéralement. Il me tient fermement par les hanches et me pilonne violement, ce qui m’arrache des gémissements de douleur puis il m’attrape par le cou, me force à me cambrer et continue son œuvre jusqu’ à ce qu’il jouisse. Sans un mot il se rhabille et se tire. J'adore la reconnaissance des mecs, enfin je ne viens pas pour chercher du romantisme n’est-ce pas ? Je remonte dans la salle et m’installe au premier rang, à peine assis, j’entends quelqu’un se lever, ça m’amuse, le mec vient s’asseoir à côté de moi aussitôt commence à me faire du genou, comme je ne résiste pas il s’enhardi, sa main glisse entre mes cuisses et remonte jusqu’à ma queue et commence à la masser, évidement je bande alors il s’arrête sort sa queue : “suce” dit-il je m’exécute immédiatement, c’est une belle bite que je sens grossir dans ma bouche je la suce goulument, je sens le mec se tendre, il m’appuie sur la tête, s’enfonce dans ma gorge et explose, son jus coule dans ma bouche chaud et amer un délice, j’avale tout, je lèche les derniers goutes et me relève en soupirant je suis vraiment excité. Je redescends aux toilettes, personne dans les couloirs ni en bas, j'attends en face des cabines, je suis sûr que des types vont arriver, ils m’ont vu descendre. J’entends des pas, un gars, la cinquantaine, arrive et me regarde, il n’a pas l’air surpris, j’ai bien l’aire d’une petite fiote qui cherche de la bite. Il rentre dans une cabine, tire un peu la porte puis se retourne vers moi la queue à la main : “ vient là, pétasse et suce” dit-il. Je voulais faire des manières mais quand les mecs sont autoritaires, j’obéis, c’est tout. Je m’approche, me mets à genoux et suce, il est bien dur. Je sens qu’il apprécie mais il me fait relever et me plaque contre le mur : “ enlève ta chemise “ dit-il en dégrafant mon pantalon et le baissant jusqu’aux chevilles. Il enlève sa ceinture et m’attache les bras au-dessus de la tête à une canalisation. Il entreprend de me caresser le torse puis ses mains rugueuses s’arrête sur mes tétons, il les pinces doucement et de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il m’arrache des gémissements. La porte qui était entrebâillée s’ouvre un peu plus quatre types nous observent, parmi eux, Enki. Mon mec continue à me travailler les seins puis descend le long de mon ventre, il me saisit les couilles fermement et les tire vers le bas tout en me giflant la bite très fort, les larmes me montent aux yeux. Il voit ça, sourit, ces yeux brillent bizarrement ; Il me retourne face contre le mur et commence à me fesser, fort, très fort. Il s’arrête, pas par pitié mais parce qu'il a mal aux mains. Il me tire vers lui me caresse le cul et me pénètre doucement en me plaquant bien contre le mur, les coups de reins deviennent de plus en plus violant, il stoppe d’un coup, me détache et me met à genoux m’enfourne son mandrin dans la bouche et avec la même violence me défonce la gorge. Il se retire, me tire la tête en arrière et me couvre de sperme. Bien entendu il se tire sans un mot. Je me relève, Enki entre dans la cabine : “ Bien l’exhibition, mais ce n’est pas fini, viens voir mes amis”. Nous nous dirigeons vers les trois vieux à l’air bien vicieux, bien pervers. Ils m’entourent et me paluchent, l’un d’eux me plaque contre lui et me roule une pelle. Enki intervient, “ elle vous plait ma petite pute ? “ Bien je vous propose d’aller chez Paul comme prévu, vous serez plus tranquille pour abuser de cette fiotte.” Nous sortons tous ensemble. Devant le ciné Enki dit : ” je vais chercher la voiture, attendez-moi là “ dit-il au trois vieux “toi viens avec moi." Je le suis et il m’explique le plan. On va chez l’un des trois qui a un local aménagé pour les délires sexuel de ces messieurs. Ça va être sado maso et comme il ont vu que tu aimais, ça va être chaud je pense me dit-il avec un petit sourire. On récupère les trois types, je me retrouve derrière entre deux bien excités. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve à poil mes fringues ont réintégrés le sac à mon avis, je ne suis pas près de me rhabiller. Un me travaille les tétons et l’autre s’occupe de me dilater la rondelle lentement mais surement, je bande pour leur plus grand plaisir. Nous arrivons devant un pavillon de banlieue. Un des mecs me met un collier avec une laisse, “tu fais ce que je te dis”. Il me fait descendre de la voiture. “ va ouvrir le portail et rentre la poubelle, tu refermeras quand la voiture sera rentrée. Je m'exécute, je vais ouvrir le portail rentre la poubelle et j’attends devant le portail que la voiture rentre sous les yeux ébahis de quelques passants. L’un d’eux vient me chercher et me tient en laisse “mains dans le dos et baisse les yeux devant nous” dit-il sans rire “ Va attendre devant la porte du garage.” Je suis devant le garage, on voit très bien ce qui se passe dehors, le portail ne masque rien. Il y a deux noirs qui regardent très intrigués ce mec à poil avec un collier et une laisse. Je leur proposerai bien de venir se joindre à nous mais je ne pense pas que ce soit prévu dans le plan. La porte s’ouvre, Paul, le proprio, attrape la laisse, me tire vers lui, il a vu les deux blacks “ça t’aurai plus ces deux noirs, salope, t’inquiète pas on a mieux à t’offrir” dit-il en se marrant. Nous entrons, il referme la porte, nous sommes dans une grande pièce entièrement capitonnée, la porte aussi. Une croix de Saint André sur un mur, des chaines avec bracelets qui pendent du plafond avec l’équivalent au sol, il y dans un coin une grosse bobine de chantier, j’ai une idée de l’utilisation. Un siège gynécologique, une table avec tout un assortiment de godes, plugs et autres sex-toys, dans un autre coin, un carcan en bois installé très bas. Et d’autre ustensiles qu’on détailleras plus tard. Paul me tire vers le carcan et m’y installe, un trou pour le cou et deux pour les mains, comme il est bas je pense que je suis à hauteur pour sucer qui se présente puis il me fait écarter les jambes et me fixe les chevilles au sol. Rien que de penser à la suite je bande, ce qui n’échappe à personne : “je vous avait dit que cette tafiole est faite pour ça” dit Enki tout content de valoriser sa pute. Un autre, qu’on appellera Marc, s’approche avec deux pinces à seins équipé de deux gros poids, il me les fixe aux tétons ce qui m’arrache un petit cri. Paul revient avec un plug gonflable, il me badigeonne le cul de gel et me pose le plug sans délicatesse et commence à le gonfler, sensation étrange mais pas désagréable j’ai vraiment la sensation de me dilater. Le troisième, Michel, se campe devant moi et me fourre sa queue dans la bouche, il ne bande pas, je n’aime pas avoir une queue au repos dans la bouche donc je m’applique à réveiller se sexe ramollo et j’y arrive assez bien puisque Michel s’arrête et dit : ”Toi, tu me ferais jouir vite, et il ne faut pas !” Il me pose un bâillon, une grosse boule rouge avec une sangle qu’il fixe au carcan ce qui a pour effet de me tirer la tête en arrière. Paul, gonfle le plug un peu plus, ça me fait bander plus dur, j’adore cette sensation, Marc et Michel s’approche avec des martinets très longs, les premiers coups s’abattent sur mon dos mes reins, les lanières s’enroulent et me cinglent les seins, le bas ventre, lèchent ma bite, je bande, à chaque coup je sens ma queue qui se tend. Enki filme la scène. Paul commence à retirer le plug sans le dégonfler et demande à Enki de filmer ça. Les coups de martinets s’amplifient, je tremble de tout mon corp, le plug commence à sortir les tremblements s’intensifient, je ne contrôle plus rien. D’un seul coup il sort. “ venez voir ça, comme il est dilaté on va se régaler, c’est vraiment une salope à défoncer” et doucement il remet le plug en place, sans difficulté. Il me détache les chevilles, ouvre le carcan, je me redresse avec soulagement, je porte toujours le bâillon et les poids sont toujours en place et me martyrisent les seins. Paul attrape la laisse et m’emmène jusqu’à la porte, il ouvre “ Tu cours ouvrir le portail et tu sors l’autre poubelle tu refermes le portail et tu cours pour revenir” dit-il sèchement. Je m’exécute, c’est bizarre et douloureux de courir avec le plug et les poids, j’ouvre je sors la poubelle, un homme d’une soixantaine d’année s’approche en souriant “ ils t’ont bien ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad