Assise nue sur mon tabouret, tenue en laisse par ‘’elle’’ je m’attendais à être offerte voire probablement louée pour ce qu’on appelle aujourd’hui des passes, mais contre toute attente, aucun homme ne s’est proposé de me consommer. ‘’elle’’ de temps en temps, me caressait mes seins en insistant sur mes tétons qu’elle pétrissait en les étirant pour les maintenir pointés et durcis.Une bonne heure passa ainsi, de temps en temps, un homme se levait et venait me tripotait en insistant sur mes seins…et parfois en plongeant sa main entre mes fesses pour palper ma chatte avec ses doigts qui essayaient de rentrer et il repartait s’asseoir. Je ne comprenais rien à ce manège bizarre, rassurée aussi de ne pas leur être donnée en pâture les uns à la suite des autres, dans une tournante sans fin, car ils étaient bien une vingtaine dans la salle. Bien que je le fantasmais…Madou entra, il me contempla d’un air satisfait et fit un signe à ‘’elle’’ qui tira sur la laisse et je dus la suivre, un coup de badine m’invitant à y mettre plus d’entrain.Nous entrâmes dans la pièce et je dus me mettre à genoux. Elle délivra mes mains et toujours en me tenant en laisse, m’ordonna :« D’une main tu masses les couilles, de l’autre tu branles la bite et tu suces en même temps en allant à fond ! ».Madou présenta sa bite, j’hésitais et deux coups de badine me cinglèrent les fesses, je fis ce qu’elle me demandait.Je suçais autant et du mieux que je le pouvais, en malaxant ses grosses couilles qu’elle me faisait sucer sur son ordres, et je branlais doucement sa colonne ; parfois un ordre fusait « A fond ! », alors je poussais ma bouche jusqu'à toucher son pubis avec mes lèvres, Madou me maintenait ma tête pour m’empêcher de me retirer et ensuite je devais continuer…Puis il fusa un ordre « avale ! »…Sa jouissance me remplie la bouche que je dû avaler et « lèche pour nettoyer, salope ! ». Ce que je fis.Il quitta ensuite la pièce.Je restais à genoux, ‘’elle’’ me mit une giclée de lubrifiant dans ma bouche, un autre homme entra, il commença à me triturer mes seins, ‘’elle’’ lui dit : « allez, fait vite ! » il baissa son pantalon et ‘’ elle’’ toujours en me tenant en laisse, m’ordonna : « suce comme tout à l’heure et que je n’ai pas à te le redire, salope ! »Je pris sa bite et me mis au travail et s’adressant à l’homme : « dépêches toi ! » lui lança ‘’elle’’. Le type jouit de suite et plusieurs fois, j’eus du mal à avaler et j’échappais un peu de jus qui coula sur mon cou.Le type, quitta la pièce, ‘’elle’’ entra en colère me reprochant de n’avoir pas su tout avaler, et me tenant par mon collier, les coups de badines se mirent à pleuvoir, je criais et pleurais… « Recommence pas, sale pute ! »Un autre homme entra, et je dus me remettre au travail sur sa queue, qui cracha rapidement, j’avalais tout.Je compris que cette séance m’étais destinée à m’accoutumer à avaler le plus de sperme possible et effectivement je commençais à aimer cela ; sentir la queue d’un mâle se contracter dans ma bouche, sentir les soubresauts des contractions de son ventre, et enfin la jouissance chaude dont les gouts variaient selon les indiv ...

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