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SENSIBLE SOUFFRANCE

Publié par : isabelleghn le 31/12/2022

Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles... voici un des derniers en date.Journal d’Isabelle n°4samedi 12 novembre 2022 SENSIBLE SOUFFRANCETout d’abord, je me suis habillée assez salope pour ce dîner où j’avais invité deux amis pour ce que j’appelle un “dîner littéraire”, ce n’est qu’un mot, histoire de donner une apparence. Donc une jupe ras-les-fesses, évidemment sans slip, à quoi bon s’emmerder avec cet objet inutile. Ma guêpière blanche et de longues chaussettes colorées rattachées par des jarretelles, et enfin juste une petite veste ouverte en laine, histoire de ne pas prendre froid, même si j’étais assez chaude.Je n’avais pas encore reçu mes escarpins, alors j’ai mis mes sandales d’esclave.— Salut Marc, tu as fait bonne route ? demandais-je en l’embrassant sur ses lèvres goûtues.Marc est un homme d’une cinquantaine d’années, il est assez svelte, totalement glabre avec de beaux cheveux mi-longs et déjà blanc.— Antoine est arrivé ? — Non, je l’attends... on va l’attendre. Tu veux boire quelque chose ?Mon premier invité réfléchit quelques instants et me demande une vierge rouge.C’est une boisson de mon invention, un dérivé du Bloody Mary, mais sans alcool.Marc s’assoit tranquillement dans un de mes fauteuils crapaud, croise les jambes et me regarde faire avec un léger sourire tellement mignon.— Et quel livre vas-tu nous présenter ce soir ? me demanda-t-il.— “La flagellation”, de Jean de Villiot, paru au tout début du siècle dernier.— Intéressant, fit Marc avec son si large sourire que j’aime tant.C’est à ce moment-là qu’Antoine arriva.C’est un homme plus âgé que moi et Marc avec ses plus de soixante-dix ans. Il est plutôt de petite taille et bien galbé. Son ancienne profession de professeur en fait un pédagogue parfait... à l’ancienne.— Bonjour Isabelle, alors, tu ne dis plus bonjour à Tonton Antoine ?J’ai rougi, j’avoue, et j’ai cédé tout de suite à sa gentille remontrance en allant le poutouner presque filialement. En plus, lorsqu’il me prénomme ainsi, je ne sais pourquoi, mais ça me donne toujours des frissons.— Tu me fais toujours rougir, Antoine.— Je sais bien, poulette, c’est bien pour ça que je ne me gêne pas. Alors ? Quel est livre dont tu vas nous faire les honneurs ?— “La flagellation” ! lance Marc à haute voix.— Amusant, commente Antoine pas du tout étonné de ce choix en s’asseyant dans un autre fauteuil.— Je te sers quelque chose, Antoine ?— Tiens, sers-moi de ça, dit-il en sortant de son cabas une bouteille de Porto.Je prends la bouteille, en le repoutounant pour le remercier. Évidemment, le chéri en profite pour flatter mon fessier de quelques tapes, appuyées mais amicales.Je lui sers un bon verre, ainsi qu’à moi et je m’installe par terre, juste aux pieds d’Antoine, tout contre son fauteuil.Il me caresse le crâne et regarde Marc.— Alors ? Crois-tu que ce livre puisse nous inspirer l’usage de cette charmante créature ?Je lève les yeux vers lui, en silence, dans l’espoir sans doute de vibrer toujours en les satisfaisant.— Je ne peux que l’espérer, cher Antoine, nous savons fort bien qu’Isabelle est de nature perverse et avec si peu de tabous pour la fermer à nos désirs.— J’ai en effet quelques souvenirs, souri Antoine. Allons, ma biche, excite donc nos parties avec tes lectures inavouables.Je leur lus quelques passages du fameux ouvrage, dont celui-ci :-------“— Allons au lit, dit-il, toute cette conversation sur le fouet m’a fort ému et j’ai hâte que nous nous divertissions un peu.Tous deux se dévêtirent et en quelques minutes furent en toilette de nuit. Fairfax dit alors à Polly : — Maintenant, je voudrais vous donner le fouet. Laissez-moi voir jusqu’où vous pourrez l’endurer. Je m’arrêterai quand vous me le direz.La jeune femme fit la grimace et parut fort troublée. Elle n’éprouvait nul besoin d’être fouettée et, d’un autre côté, ne voulait pas froisser Fairfax en lui infligeant un refus brutal. Il semblait vouloir plaisanter et elle le savait très généreux avec les femmes. Après un moment de réflexion, elle lui dit : — Je veux bien recevoir le fouet, mais je n’aimerais pas avoir de marques. Cela reste plusieurs jours et ce n’est pas beau.— Je ne vous marquerai pas, je ferai seulement rougir la peau.— Alors, c’est très bien et vous pouvez me fouetter.”-------Ayant lu ce passage, Antoine était fort irrité de ne pas encore m’avoir fait subir le sort de cette jeune femme.— Il me faut satisfaire à mes désirs, je le veux Isabelle !J’étais heureuse, enfin, j’avais réussi à faire naître leur envie de se servir de moi.Marc prit l’initiative d’accrocher mes poignets aux crochets vissés dans les poutres de la librairie où nous étions pour dîner. Mais Antoine jugea que je n’étais pas suffisamment offerte. On me retira donc la veste en laine et la guêpière pour laisser le dos nu ainsi que mon ventre ...

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