Cette semaine, ce vendredi 12 septembre, pendant l’heure du midi, entre 2 averses et sous le soleil ce qui est relativement rare depuis quelques jours, je décidai de rallonger ma pause déjeuner pour aller faire un peu de « lèche vitrine » comme on dit, Je me suis arrêté devant la vitrine d’une petite boutique de lingerie coquine à quelques rues de mon travail. Comme vous savez, étant directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune, et je gère mon temps de travail comme je veux, j’aime être désirable et j’adore de la belle lingerie. Je recherchais quelque chose de sexy, genre robe manches longues dos transparent, porte-jarretelles et autres en vue de nos prochaines escapades sexuelles avec mon homme Louis. Après avoir regardé longuement la vitrine, j’étais attirée par de belles choses. Je décidais de pousser la porte. Une clochette retentit.Après quelques secondes dans le magasin, bonjour Madame, en quoi puis-je vous être utile ? Je me retourne vivement étonnée de voir un homme dans cette boutique. Et quel homme ! un beau spécimen de la gent masculine, grand, bien habillé, sans barbe ni moustache, poli et courtois. Tout ce que j’aime. Que pouvait bien penser cet homme qui me dévisageait comme cela dans une boutique de lingerie plus sensuelle qu’usuelle.- Je regarde et si je trouve mon bonheur, j’irais les essayer. - Pas de problème, madame, c’est avec moi pour faire les essayages. Oui se sera avec moi je suis le créateur de pas mal de pièces de lingerie. Si vous voulez bien jetez un coup d’œil aux présentoirs nous pourrions voir ensemble ce qui vous correspond le mieux. Le vendeur respira un grand coup, discrètement, et me montra le chemin jusqu’au premier présentoir.- Voulez-vous prendre un café ou un thé en faisant votre choix ?- Oui avec plaisir monsieur, un petit café.- Je préfère que vous m’appeliez Pierre si ça ne vous dérange pas, je me sentirais mieux.- Très bien Pierre, appelez-moi aussi MarieAprès quelques minutes pendant que je regardais certaines très belles pièces de lingerie, Le vendeur revient :- Voilà votre café ! Maintenant que vous avez vu les créations, je vois même que vous en avez fait une première sélection j’aimerai discuter avec vous pour connaître vos goûts.Nous avons discuté pendant un bon moment de mes goûts, de mes envies et de ma personnalité. Je me sentais bien, la discussion était tellement agréable et le vendeur très à l’écoute mais aussi très agréable en flatteries. Mais peu importe, cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel plaisir à parler avec un homme, sans tabous, et sans conséquences. Pierre lui aussi se sentait bien. Il ne se lassait pas de me regarder, il avait du mal à se concentrer de temps en temps sur la conversation avec ma bouche si près de lui. Il arbora un petit sourire d’envie lorsque je lui ai dit que j’étais libertine et que je cherchais quelques chose d’original pour une future soirée.- Bien, nous allons commencer les essayages puis nous verrons ensemble ce qui vous ira le mieux ! Passez dans la cabine pour vous déshabiller, à l’abris des regards, au fond du magasin, je vous apporte d’abord votre sélection.Je me rends dans la cabine, et me retrouve dans une pièce tout aussi belle que confortable avec de grands miroirs, les murs et les fauteuils recouverts d’un cuir rouge. Je commence à me déshabiller et à me mettre à nue. Comme c’est agréable de voir son corps dans le miroir. Pierre qui était derrière la porte me rendait à la fois nerveuse pour une fois, un peu moi sure de moi mais aussi excitée de la façon comment cela se passe avec lui. Un coup fût frappé à la porte. C’est le seul mot qui a pu sortir de sa bouche. Il fallait que je me calme et je savais qu’il avait dû en voir plus d’une femme en tenue légère professionnellement!- Je vous apporte le premier. Essayez-le et sortez que l’on puisse discuter de ce qui va ou pas.J’entrouvre la porte nue, et oui je ne porte jamais de sous-vêtement, et là je remarque son regard d’envie en me voyant. Ces yeux étaient grand ouvert d’admiration de mon corps- Merci je vais essayer.J’enfile le 1er essayage, et devant le miroir je ne peux m’empêcher de m’admirer avec, et qui, je trouvais, me rendait hyper sexy.- Voilà je sorsLe premier ensemble était un bustier noir en dentelle assorti de bas et de jarretières qui ajoutaient une telle dimension érotique que Pierre a failli s’étrangler en me voyant sortir. Je me suis sentie désirable sous le regard admiratif de Pierre. Dans cette tenue je me sentais libre, sans tabou. Je m’approchai doucement de Pierre et fis un petit tour sur moi-même.- Qu’en pensez-vous ? Je me sens bien dedans.Pierre avala sa salive. Si je continuais à se trémousser sous son nez de cette façon je suis certaine qu’ il ne répondait plus de rien. J’avais remarqué son sexe légèrement gonflé et cela ne pouvait pas passer inaperçu dans son jean. Pour l’exciter encore plus je continuais mon petit jeu de séduction. Cette situation de donna l’envie d’aller plus loin. J’avais envie de lui, envie de lui plaire et de l’exciter.Je me fixais à quelques centimètres de lui et j’humidifia mes lèvres espérant le rendre fou. N’en pouvant plus, il m’a pris dans ses bras de manière un peu rude mais tellement érotique. Il l’embrassa comme seul un inconnu peu le faire. Comme s’il l’avait attendue depuis longtemps. Ses mains couraient partout son corps sous la dentelle des caresses, beaucoup de caresses, ce qui m’excitait encore plus.Après ce baiser langoureux, Pierre se dirigea vers la porte d’entrée de sa boutique, ferma la porte à clés, et retourna la pancarte pour dire que la boutique était fermée. Il coupa l’éclairage pour créer une ambiance sexy et revient me retrouver au fond de la boutique. Pendant cette courte interruption, je n’ai pas pu m’empêcher de passer ma main sur mon sexe, qui bien évidemment, était déjà humide des chauds baisers reçus. A son retour, il était fou il ne savait plus où poser ses mains. Pour lui, chaque parti de mon corps était d’une telle perfection comme il disait, et mes seins qui devinaient fermes et tendus de désir à travers le bustier. Quel bonheur ! J’étais aussi en transe, ...

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