Ça y est, l'été était bien installé, un ciel bleu sans nuage depuis plusieurs jours et des températures qui donnaient envie d'en avoir le moins possible sur le corps. Histoire de profiter du climat, et de faire expérimenter de nouvelles choses à Sophie je lui donnais rdv dans un parc assez près des bureaux, mais pas trop non plus, pour être sûr de ne rencontrer personne de connu. J'avais amené une couverture que j'installai sur l'herbe du parterre central. Le terrain idéal pour jouer avec Sophie et la faire s'exhiber innocemment, écarter ses jambes, relever sa jupe, sucer des cerises devant un groupe de bacheliers que j'avais repéré et non loin duquel j'avais installé mes affaires. Ça y est, Sophie arrivait, vêtue d'un chemisier rose pâle à pression et d'une minijupe plissée en jean qui bougeait à ravir au rythme de ses pas. J'invitais Sophie à s'asseoir sur ma droite, assez décalée pour qu'elle soit bien dans l'axe du groupe que j'avais choisi. Après quelques minutes de discussions en apparence neutre mais pleines de sous-entendus pendant que nous mangions une salade de crudités je lui présentais la meute de mâles aux hormones en ébullition et ce que j'avais l'intention de lui faire faire. Malheureusement, à peine le 1er écart de cuisse exécuté comme je lui avais demandé, une famille avec 2 enfants s'installa entre le groupe de jeunes hommes et nous, bien trop près à mon goût pour pouvoir continuer et lui redemander d'exhiber son entrecuisse aux yeux baladeurs qui pourraient la reluquer de loin ou tout autre flashing encore plus osé. Affaires rangées, couverture repliée, direction un coin en bordure de parc, où on trouve une série de bancs derrière un gros bosquet et séparés entre eux par 2 rangées de buissons qui avec les années sont devenus de véritables haies d'un bon mètre cinquante. A se demander si l'urbaniste qui a dessiné le plan du parc n'avait pas en tête de faire de petites alcôves isolées, à l'abri des regards...en tout cas c'est exactement le résultat que cela donnait. En passant je remarque que nous sommes les seuls à venir nous installer dans ce coin, et je mène Sophie jusqu'au banc le plus reculé même si il est à quelques mètres d'un accès secondaire au parc, un portillon à première vue peu utilisée. J'avais déjà remarqué qu'elle n'avait pas de soutif, et avant de l'inviter à s'asseoir sur le banc je lui dis:"Stop, je veux que tu retires ta culotte maintenant et que tu la ranges dans mon sac, là, sur la couverture. Je te la rendrais plus tard""Ici? Bon d'accord" me répondit-elle en déposant son sac à main sur les graviers de l'allée à côté de ses sandales compensées.Tout en regardant le long de l'allée que personne n'arrivait Sophie releva sa jupe , me regarda en se tournant dos à moi et se pencha jambes tendues pour faire glisser non pas sa culotte mais son string jusqu'à ses chevilles, avant de soulever un à un ses pieds pour le récupérer puis le déposer dans ma main en me disant "Prends en soin, c'est mon string porte bonheur". Une fois assis sur le banc j'attaque les choses sérieuses. Je glisse ma main sur sa jambe et remonte directement jusqu'à sa chatte qu'elle m'offre en écartant ses cuisses. Chaude, humide, et ouverte, c'est cette intimité vicieuse qui me fascine chez elle et m'incite à être un maître à la hauteur de ses espérances et bien plus."Je crois que c'est l'heure du dessert pour toi, j'ai toujours une bonne sucette à te faire déguster, viens goûter" "Mais si jamais quelqu'un passe?""Toi tu es là pour être ma petite salope obéissante, ton maître s'occupe du reste, arrête de réfléchir et délecte toi"Et c'est ce qu'elle fit avec application et gourmandise, lapant, suçant, léchant tantôt mon gland, tantôt mes couilles, tantôt la hampe de ma verge aussi raide qu'elle puisse être."Mmmhhh" si je pouvais je te garderais attachée à mon bassin pour sentir ta bouche autour de ma bite toute la journée, je suis sûr que jamais je ne me lasserais de cette sensation. J'avais lâché ses cheveux et relevé l'arrière de sa jupe pour continuer de jouer avec sa vulve, la travailler et la préparer à prendre ma bite dans le cul, l'immoral acte qu'elle affectionnait tant. Pendant que mon gland se faisait inonder de salive puis nettoyer par ses lèvres gourmandes, mes doigts eux s'employaient à courir d'un orifice à l'autre pour jouer toutes les combinaisons possibles à réaliser avec 5 doigts et 2 orifices. L'heure avançait et j'avais encore une idée en tête avant que nous repartions travailler."Prends ton sac et suis moi là-derrière "J'avais attrapé sa main et l'attirait derrière le banc et la petite haie attenante. Là, entre un grand mur en pierre et ce petit muret végétal je la plaquais contre le tronc d'un saule, les mains tenues au dessus de sa tête. De l'autre main j'arrachais les pressions de son chemisier et gobais t'es seins et ses tétons jusqu'à les mordiller pour sentir leur suc aphrodisiaque."Avant de rentrer je vais te faire sentir ma queue sous ta jupe et tu vas pouvo ...

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