Quand je suis arrivé, la porte était ouverte, comme il me l’avais dit dans son texto. J’ai avancé jusqu’au fond du couloir et j’ai trouvé, à droite, la salle de bain comme indiquée. J’y ai fait une halte, le temps de me changer et de me maquiller, puis une fois métamorphosée en salope, j’ai de de nouveau emprunté le couloir pour rejoindre la deuxième porte sur la gauche, à laquelle j’ai toqué doucement, comme convenu. Une voix sourde m’a invité à entrer et à refermer derrière moi. J’ai pénétré dans un bureau dont 3 murs sur 4 étaient masqués par des bibliothèques disparaissant sous un fourbis de livres, de magasines et de dossiers pleins à exploser. Au centre trônait la table de travail, sur laquelle l’écran d’ordinateur et son clavier disparaissaient derrière les piles de papiers et de bouquins. Installé dans le fauteuil, face à la porte, un homme sec, au crâne dégarni et à la mine sévère accentuée par ses lunettes cerclées de métal était occupé à taper sur le clavier. S’interrompant à peine le temps de me jeter un regard, il m’a lancé : « A, c’est toi, salope, j’ai failli attendre ! Viens sous le bureau, vite ! »Je me suis hâtée d’obéir et de me glisser à quatre pattes sous l’épaisse tablette de bois, m’installant entre ses jambes, bien calé entre le bloc tiroir à ma gauche et la tour du PC qui ronronnait sur ma droite. Une de ses mains a quitté le clavier le temps d’abaisser la glissière de son pantalon et d’en extirper son sexe déjà à demi bandé. Il n’avait pas menti sur la marchandise : il était long et épais, comme sur les photos de son profil. Revenant à l’activité qui focalisait son attention, il a marmonné à mon intention : « Allez suceuse, vas-y, fais ton boulot ! » Alors sans plus attendre, j’ai arrondi mes lèvres autour de son gland en aspirant doucement pour faire glisser sa queue dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer avec gourmandise, la sentant gonfler et durcir pour prendre ses pleines dimensions contre ma langue agile qui en agaçait le bout tandis que j’allais et venais le long de la verge désormais bien raide. Après quelques instants, j’étais prêt à en prendre plus, et j’ai englouti sa bite au fond de ma gorge, mon nez vint s’écraser le long de sa boucle de ceinture. Je sentais son dard puissant se cambrer et pulser, à l’étroit dans mon gosier. Posant une main derrière ma tête, il a gémis doucement : « C’est bien, comme ça, salope, continue... » A l’invitation ferme de ses doigts crispés dans mes cheveux, je l’ai avalé entièrement une dizaine de fois, jusqu’à tirer au cœur, au bord de la nausée et le souffle court. Relâchant son étreinte sur ma nuque, il m’a laissé respiré un moment. Un flot de bave épaisse avait ruisselé d’entre mes lèvres sur sa queue quand je l’avais libérée, aussi, il entrepris de baisser son pantalon et son caleçon pour les mettre à l’abri de la matière visqueuse qui dégoulinait jusque sur ses bourses bien pleines. « Lèche mes couilles, salope, nettoie tes cochonneries ! » Sans un mot, j’ai fait glisser ma langue sur ses boules, les aspirant goulûment pour en retirer toute trace de salive. Puis j’ai recommencé à pomper sa queue, allant et venant en rythme de son gland à la base. Je l’ai sucé comme ça longuement, lui arrachant des petits râles de plaisir qui se mêlaient au cliquetis des touches du clavier sous ses doigts. Parfois, une de ses mains se détachait quelques instants pour venir se poser sur ma nuque et m’inviter à aller un peu plus vite ou un peu plus profond. Ou à la base de son sexe, pour le retirer de ma bouche et m’inciter à m’occuper de ses bourses. Cette longue fellation silencieuse, le contact régulier de son gland avec le fond de ma gorge et la légère sensation d’étouffement qui l’accompagnait, le contexte, tout cela m’excitait au plus haut point, et tandis que mes lèvres montaient et descendaient le long de sa verge, mes doigts s’attardaient sur mes tétons, les pinçaient et les caressaient. Mes gémissements étouffés venaient se mêler au bruit humide de succion, croissants au fur et à mesure que je sentais à sa plus forte raideur l’excitation du sexe que je suçais monter. Bientôt, sa main s’est abattu sur ma tête, me maintenant le nez contre son bas ventre tandis que sa queue pulsante giclait au fond de ma gorge, m’étouffant presque. Il m’a enfin relâché, et je l’ai recraché dans un flot de bave et de foutre mêlés dégoulinant entre mon menton et ses couilles. « Nettoie tout et continue à sucer comme une bonne pute », m’a-t-il lancé sans quitter l’écran des yeux. Docilement, j’ai léché et avalé le sperme mélangé à ma salive, puis j’ai repris entre mes lèvres sa queue mo ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad