Cette dernière séance de musique précédait les vacances scolaires et le conservatoire fermait durant cette période. Philippe et moi avions décidé de nous retrouver chez moi pour une nouvelle leçon.A peine arrivait-il que je refermai la porte derrière lui et l’embrassais fougueusement. Sa langue était assez large et souple. Elle ondulait dans ma bouche en s’acoquinant avec la mienne. C’était des plus agréablement excitant et je sentais ma verge se gonfler de bien-être. J’avais choisi de ne pas porter de sous-vêtement et m’étais habillé d’un short et d’un tee-shirt échancrés. Philippe avait un polo rose pâle et son short moulant qui lui allait si bien. Je ne mis pas longtemps avant de lui ôter le polo et le short tout en continuant à l’embrasser langoureusement. Ses mains me caressaient tout le dos et même les fesses et son pouce se promenait délicieusement dans ma raie.Au bout d’un moment, j’eu idée de modifier nos plaisirs et je quittai ses lèvres pour m’accroupir face à son sexe dont j’avais préalablement estimé la raideur à l’aide d’une main baladeuse. Je fus surpris par sa petite culotte rose en dentelle. C’était très joli et aussi très excitant ! Je me suis dit que je n’allais pas lui offrir une surprise aussi agréable quand il constaterait que je ne portais rien sous mon short mais il le savait déjà puisqu’il avait déjà visité ma raie en passant sous mon short.J’ai commencé par lui adresser de gentils petits baisers au travers de la dentelle au niveau de sa verge qui criait au secours et demandait à être libérée. J’ai saisi le haut de sa culotte avec les dents et l’ai descendue en m’aidant de mes deux mains derrière lui, agrippées à son élastique. Sa tige s’est dressée contre mon menton et je l’ai immédiatement prise en bouche et directement en gorge profonde. Il a couiné instantanément et a posé ses deux mains sur ma chevelure en écartant les doigts et en me caressant délicatement. J’étais libre de tout mouvement et j’ai laissé coulisser lentement son chibre entre mes lèvres jusqu’à ce que son gland retrouve la lumière du jour. Je ne l’avais pas totalement décalotté et je le repris en bouche pour y parvenir cette fois. J’ai alors recouvert son gland de ma langue curieuse et me suis régalé de cette gouttelette de précum qui perlait sur son méat. Ma langue s’est mise à honorer ce pieu en jouant une sarabande comme elle le faisait quelques instants auparavant avec la langue de Philippe, au creux de nos cavités buccales. Philippe ondulait du bassin et poussait des petits cris de plaisir.Je sentais son pénis se tendre et se relâcher par à-coups et je devinais que son périnée était en phase. J’ai donc placé mon index sur sa rosette et j’ai constaté qu’effectivement celle-ci vibrait en phase avec les mouvements du périnée. J’en ai donc joué pour introduire une première phalange dans son rectum alors que l’anus se relâchait. A la décontraction suivante, j’enfonçai une deuxième phalange puis une troisième. Philippe couinait de plus en plus et il avançait et reculait son bassin pour mieux profiter du coulissement de mon doigt dans son tréfonds de façon synchrone avec l’avancée de son chibre vers le fond de ma gorge.Cette gymnastique jouissive dura quelques minutes et les couinements de Philippe se transformaient progressivement en râles. Il me demanda de le prendre : « prends-moi, prends-moi ». Je me plaçai derrière lui, le faisais se pencher en avant en appuyant doucement sur sa nuque et en lui caressant les cheveux en écartant bien les doigts pour percevoir cette douce sensation du contact de sa chevelure sur la tendre et réceptive peau qui recouvre l’intérieur de mes phalanges. Mes doigts se sont dirigés vers son menton et ses lèvres. Il a sucé mes doigts comme s’il s’ ...

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