Il est 13h30, c’est une voie secondaire sur l’aire d’autoroute. Je dépasse lentement le parking près des toilettes pour me ranger un peu à l’écart à gauche, à l’ombre des chênes, sur le bord de cette route. J’avance au maximum mon siège conducteur afin de dégager une place confortable à l’arrière. Je m’y installe et me dénude complètement. Je glisse mes jambes dans des bas de soie noire et me pare de ma nuisette en dentelles noire. J’entrouvre ma portière et laisse apparaître ma cuisse gainée dans l’entrebâillement. L’endroit est calme. Me voici en attente sur cette aire d’autoroute. Mon petit sexe circoncis dépasse un peu de la nuisette. Je suis très excité d’être ainsi exposé, exhibé, offert. Quelques voitures passent lentement et s’éloignent pour reprendre leur chemin. Plus bas dans cette aire il y a le parking des poids lourds. Une fourgonnette passe très lentement et s’arrête juste devant moi. Un homme en sort avec une bouteille d’eau. Il se dirige directement vers moi, longe ma portière entrouverte et se place un peu en arrière. Il voit ma jambe gainée qui dépasse. Mon pouls accélère. Il ne bouge pas. J’attends. Puis il repart vers son véhicule et démarre. Quelques instants après un homme approche à pieds venant probablement du parking en contrebas. Il contourne ma voiture à quelques de distance en marchant très lentement et en observant mon intérieur. J’ouvre en grand ma portière et ma fréquence cardiaque s’emballe joyeusement. Il s’arrête et me regarde tranquillement. Je tourne mon visage vers lui et lui souris. Il vient jusqu’à moi. Je me recule sur le siège arrière pour lui faire une place à côté de moi. Il prend place, ferme la portière et déboutonne son pantalon. Je glisse mes mains pour faire glisser son slip et dégager son sexe et ses testicules que j’enveloppe dans le creux de ma main. Je caresse sa tige qui reste demi-molle. Il se détend et écarte bien ses cuisses pour me laisser à loisir contempler et caresser son entrejambe. Sa verge est de taille moyenne mais ces testicules sont bien gonflées. Son gland commence à se dévoiler. J’approche ma bouche et commence à en effleurer le bout avec mes lèvres en quelques petits baisers de bienvenue, ma main ne quittant pas ses couilles et deux doigts commençant à entourer le bas de sa queue. Je le masse doucement, tendrement. Mes lèvres s’ouvrent pour entourer son gland maintenant entièrement décalotté. Je lui fais savoir mon grand plaisir à le sucer en émettant quelques gémissements de bien-être. Ma langue appuie délicatement sur son frein pendant que mes lèvres parcourent son membre et pompent joyeusement cette magnifique bite. Il gémit lui aussi, se laisse complètement aller. J’adore sentir une verge gonfler et durcir dans ma bouche, par ma ...

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