Un de mes copains me prête son bateau pour aller faire un tour en rade de Brest à la voile. Afin de ne pas être seul en mer, par mesure de sécurité, j’ai trouvé un coéquipier sur LDD…Arrivé sur le ponton, j’attends mon acolyte, en vain. Un petit jeune blondinet me regarde avec un air interrogateur. J’ai déjà repéré son joli cul, sa chevelure longue qui flotte au vent et son teint bien bronzé. Je sens qu’une bosse se forme au niveau de ma braguette et j’ai bien l’impression qu’il y jette régulièrement des regards.Au bout d’un moment, il entame la conversation : « Ce n’est pas votre bateau. Vous avez vraiment envie de faire un tour en mer aujourd’hui ? ». Je lui réponds que les conditions sont optimales pour prendre plaisir : un vent constant avec une mer peu formée et un ciel clément. J’ajoute : « On n’a pas ça tous les jours ! ». Là, il me répond qu’il est entièrement d’accord et que lui aussi sortirait bien avec le bateau de son père mais que seul, ça ne l’intéresse pas.Nous décidons donc de naviguer à deux, sur son embarcation qui est plus confortable. J’emporte mes munitions (une glaciaire pleine de bonnes choses) et nous larguons les amarres. Il connait bien son navire et je me sens en sécurité en sa compagnie. Ma bosse ne dégonfle pas et je l’admire durant les manœuvres auxquelles je participe suivant ses directives. Nous avons décidé de sortir de la rade et de traverser le goulet pour ensuite contourner les différentes pointes de la presqu’île de Crozon avant de mouiller dans la baie de Douarnenez. Il s’est mis pieds nus, a enlevé son tee-shirt et je vois ses petits tétons qui se sont dressés comme son mât pelvien : à force d’y regarder, je suis persuadé qu’il n’a pas de sous-vêtement sous son short moulant. Il m’invite à me mettre aussi à l’aise que lui et me demande de nous badigeonner de crème solaire pendant qu’il est affairé sur la barre.Je commence par son pied gauche et je remonte le long de sa jambe jusqu’à la limite de son short. A ce moment, ma bouche se situe face à sa bosse et nous nous regardons, l’air de dire : j’ai remarqué pour toi aussi ! J’effectue la même démarche sur sa jambe droite et de la même façon, nos regards se croisent. Je passe alors derrière lui pour lui enduire le ventre et le torse. Bien sûr, je m’amuse à insister au niveau de ses tétons et je lui fais bien sentir mon souffle dans son cou tout comme la raideur qui pointe au milieu de mon short. Je me positionne désormais devant lui pour lui tartiner le dos ; nos bouches sont très proches l’une de l’autre et mes mains descendent de plus en plus bas dans son dos tandis que nos regards sont fixés l’un dans l’autre.Nous sommes assez au large pour ne pas risquer de talonner un rocher et aucune embarcation n’est en vue. Il se lâche et avance ses lèvres vers les miennes tout en maintenant son regard de braise dans le mien. Il lâche la barre d’une main et place l’autre sur mes fesses en m’attirant à lui et sa langue pénètre ma bouche au travers de mes lèvres. Le paysage est magnifique mais je ne regarde que ses yeux (bleus foncés, d’une incroyable profondeur). Notre baiser est un exquis mélange de ferveur et de douceur. Nos langues se marient à merveille et virevoltent l’une avec l’autre, l’une contre l’autre. Mes mains parcourent son dos et elles pénètrent dans son short par l’arrière. Je caresse alors cette peau des plus douces qui soient et quand je veux descendre ce vêtement qui nous entrave, je sens une résistance : sa verge tendue bloque le devant de l’élastique. Je passe alors une main devant pour me positionner en libérateur et j’en profite pour me saisir de cette trique et je la branle délicatement. Je sens au niveau de sa langue que mon initiative lui fait de l’effet et je continue en toute conscience de lui procurer du plaisir, de l’envie. Ma main qui se délecte de la douceur de ses fesses vient caresser désormais son cou et sa tignasse dorée qui ondule dans le vent.Son excitation monte et sa verge coulisse dans ma main au gré de ses mouvements de bassin. Il quitte mes fesses de sa main pour me caresser la nuque tandis que notre baiser est de plus en plus sensuel. Tous deux marins, nous n’imaginons pas abandonner plus longtemps notre vigilance et nous reprenons l’observation de notre environnement tout en contrôlant la barre. Un virement de bord s’impose et nous l’exécutons en toute complicité. Nous décidons de mouiller (terme technique de navigation qui signifie se mettre à l’ancrage) dans une petite anse, à l’abri. C’est l’heure de l’apéro !Je suis sur le point de sortir la glaciaire mais Yvan m’indique que je suis toujours habillé, que je ne suis pas protégé par la crème solaire et il m’invite à entrer dans la cabine. Celle-ci est spacieuse et la couchette semble confortable : il m’y pousse et je tombe, allongé. Il commence alors à me déshabiller avec beaucoup de volupté. Nos deux sexes sont plus durs qu’une barre d’inox marin. Il retire en premier mes chaussures avant de remonter vers mon short tout en caressant ma peau de ses lèvres et de ses mains. Il est si délicat ! Sa tête est désormais à portée de mes mains et je lui caresse ses cheveux si longs, si doux. Je prends plaisir à faire passer ses cheveux entre mes doigts. Alors qu’il retire mon short, il pose ses lèvres, au travers mon boxer, sur ma verge turgescente. Il fait tomber mon sous-vêtement et avale directement mon chibre en bouche tout en décalottant mon gland entre sa langue et son palais.Sa bouche est confortable et il sait sucer ! Je reste sans bouger tant il est doué. Il fait coulisser ses lèvres le long de ma hampe et lorsqu’il libère mon pieu de son exquise emprise, c’est sa langue qui vient tournoyer autour de mon gland. Des f ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad