En ce temps là, je me baladais en travestie Un beau rayon de soleil et j’ai envie de soulager des mâles.Après quelques recherches, je tombe sur un ami qui demande de nouveau des photos de moi et aussi des films pour se branler le soir chez lui.Pour le satisfaire je décide d’aller en faire. J’enfile une tenue de petite salope, positionne ma perruque ; j’ai vraiment l’air d’une pute.Bien sûr je vais me garer dans un coin que je trouve assez discret : une aire de pic nique.L’appareil posé sur la table, dirigé vers moi, je commence un strip-tease, posant devant l’objectif qui filme. Je fais glisser ma minijupe en jean au sol, rapidement suivi par mon chemisier et expose en toute impudeur mes dessous et mes bas résilles noirs. Je me cambre, me penche, et même glisse mes mains sur mes cuisses, sur et entre mes fesses. Puis rapidement je me mets un collier de chienne.Je suis là, au milieu des arbres, pratiquement nue ne pensant qu'à mes photos, sans même imaginer que je pourrais être aperçue de la route pourtant pas bien loin. J'écarte un peu plus mon string pour libérer totalement ma raie et pour que mon petit trou du cul soit bien visible en bonne petite salope que je suis. Je me mets sur les genoux pour entamer une très courte balade à quatre pattes avec collier et laisse. Tournant le dos à l'appareil, j’avance lentement en écartant de temps en temps mes fesses pour offrir une vue imprenable sur mon petit trou. J'avoue que le plaisir que je prends est énorme et qu'il me fait tout oublier. Quelques mètres plus loin je fais demi-tour pour vérifier si tout a bien été filmé. Et là, grosse surprise, j’aperçois un homme, qui m'observe, pratiquement invisible derrière un arbre. Il a une main posée devant lui à hauteur de son sexe. Je m’empresse de me relever, ramassant au passage mes vêtements éparpillés, mon sac et mon appareil photo pour m’enfoncer dans le premier sentier venu pour m'habiller et me remettre de ma frayeur. Depuis quand est-il là ? Cul nu, à quatre pattes, je devait être bandante à jouer ma salope toute seule. Ma frayeur passée, je me sens surtout vulnérable. Je ne peux m’empêcher de penser à cet homme. Que va t-il faire maintenant? M’avait-il vu me garer et suivi discrètement, matant à loisir mon exhibe. Heureusement je ne m'étais pas encore godé comme j'avais prévu de le faire. Vite, il me faut retourner à mon véhicule. De toutes façons, il doit repartir, tant pis, si je tombe sur lui après tout il n'a pas l'air agressif. Alors que je ne suis plus qu'à quelques mètres de celui ci, je me retourne et aperçois l'homme : Il n’a pas bougé, si ce n’est qu’il s’est déplacé un peu pour se montrer d’avantage. Je m'arrête et ne peux m’empêcher de regarder plus attentivement dans sa direction. Il est jeune, mince, en treillis et semble avoir aimé la scène ! Il tient maintenant son pénis tendu dans sa main et se caresse lentement en regardant dans ma direction. Mon coté salope revient immédiatement et le fait d’imaginer cet homme, cet inconnu, en train de me mater en se branlant me rappelle que je suis en femelle, que je peux servir à cet homme dont j'aperçois la bite bie ...

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