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Un été chaud pour un job étudiant (3ème partie)

Publié par : tomj le 25/09/2021

La suite après un long moment sans écrire. Milieu des années 80 alors que j’allais avoir 23 ans, je passais l’été dans le sud de la France pour travailler comme saisonnier sur une plage privée. Je logeais chez un cousin de ma mère, tonton Paul, la trentaine, beau gosse et chaud lapin. Je travaillais déjà depuis un peu plus de deux semaines et déjà j’avais baisé avec le patron, sa femme et leur fils de 17 ans. De ce côté-là comme du côté des pourboires, j’étais pleinement satisfait et en plus je passais l’été au soleil. Ce soir là, après le boulot, je rentrai chez tonton Paul comme d’habitude, un peu échauffé et frustré car pour une fois pas de sexe avec l’un ou l’autre. Il y avait bien eu quelques clientes et clients qui m’avaient fait du rentre dedans dans la journée et un ou deux me plaisaient bien mais le deal était que je ne touchais pas à la clientèle. Je pouvais baiser avec les patrons et leurs fils mais c’était quand ils en avaient envie, et surtout pas les clients. J’arrivais donc chez tonton avec l’idée en tête de m’envoyer en l’air avec lui s’il était en forme et disponible car il ramenait souvent des copines ou des copains. Au pire, il me restait la solution de me branler pour me soulager devant un film de cul et tonton en avait une belle collection. L’appartement était silencieux et je posai mon casque dans l’entrée. J’étais en tee-shirt et short très court. En entrant dans le salon, le store était baissé et il faisait assez sombre. Tonton Paul était allongé sur le canapé, complètement à poil et les yeux fermés. Sa belle queue reposait le long de sa cuisse. L’appel était trop fort et la mienne de queue commençait à durcir sérieusement. Je me suis rapproché tout doucement du canapé, me mis à genoux et j’ai dirigé mon visage vers son bas-ventre légèrement poilu. J’ai commencé à caresser sa cuisse et j’ai sorti la langue pour la passer sur la bite de tonton, tout le long jusqu’au gland sur lequel j’ai commencé à insister. A l’entendre commencer à gémir, je me doutais que ça lui plaisait. J’en profitai pour palper de ma main libre mon propre membre qui non seulement bandait mais commençait à mouiller. La queue de tonton Paul avait un goût un peu fort, comme si elle avait déjà bien servi dans la journée et cela m’excitait terriblement. L’affaire semblait bien partie lorsque j’entendis derrière moi quelqu’un dire :- Eh bien, je m’absente deux minutes et tu te fais déjà sucer par un petit jeune mon salaud ! Je fus tellement surpris que je lâchai la bite de tonton pour voir qui était la personne derrière moi. Là, waouh, le mec que je voyais était un vrai fantasme de virilité à lui tout seul. Il devait avoir dans la quarantaine, pas forcément très beau, un peu grisonnant avec une barbe de trois ou quatre jours, pas très grand mais trapu et costaud, des cuisses épaisses, musclées, des pecs larges bien dessinés avec des tétons pointus comme je n’en avais jamais vus, un petit ventre, mais à peine marqué. Il était bien poilu, les mains à la taille et portait pour seul vêtement un jockstrap américain Bike assez usé. Il me fixait de ses yeux perçants avec un léger sourire un peu ironique. Ce genre de mâle, ultra viril et qui dégageait une telle sensualité, je n’en avais vus que dans les magazines que j’achetais en douce à l’époque comme Jean-Paul ou plus encore Hommes. Là, il était devant moi, en chair et en os et avec un de ces paquets, énorme bosse au niveau de la poche du jockstrap que je fixai en avalant difficilement ma salive. A cette époque, je ne pense pas qu’on en trouvait en France et mon oncle m’expliqua plus tard qu’Yves avait un séjour à la fin des années 70 aux Etats-Unis et qu’il avait rapporté toute une panoplie de sous-vêtements plus sexy les uns que les autres. Maintenant certains étaient bien usés mais ça les rendaient à mes yeux encore plus excitants à l’idée de tout ce qu’ils avaient vécu. J’étais impressionné, mais aussi excité et c’était réel, pas sur le papier qui alimentait mes nombreuses branlettes quotidiennes. Je comprenais aussi pourquoi la bite de tonton avait un goût un peu particulier ce soir. - Et alors, Paul, tu nous fais pas les présentations ? - Yves, je te présente mon neveu Eric, je ne pensais pas qu’il allait rentrer si tôt ou qu’il était si tard. - Enchanté Eric, je vois que tu n’es pas très timide, en tout cas avec ton oncle, et il se rapprocha de moi pour me serrer la main. Mais, je ne voudrais pas vous interrompre, vous étiez en pleine action, ne vous gênez pas pour moi, continuez ! Il me fallu quelques secondes pour reprendre mes esprits, mais la situation était torride avec ce type, un mâle dans toute sa puissance et son autorité qui me demandait de continuer à lécher la queue de mon oncle. Impossible de refuser. Tonton Paul semblait amusé de la situation et se laissait faire. Je repris donc mon activité de lèche et de succion sur son membre qui maintenant prenait de belles dimensions. Yves s’était approché de lui et après l’avoir embrassé à pleine bouche lui présenta son paquet devant le visage. Mon oncle s’empressa de plonger se narines et sa bouche dedans tout en empoignant les fesses d’Yves, ce qui accentua le durcissement de sa queue dans ma bouche. Je pompais tonton Paul du mieux que je pouvais et je sentais sa mouille couler sur ma langue. - Il a l’air de bien se débrouiller ton neveu ! J’ai envie du même traitement moi aussi. Je n’attendais que cela. Je lâchais la bite dure de tonton tandis qu’Yves se rapprocha de moi et colla d’autorité mon visage contre la bosse énorme de son jockstrap. Wow, cette odeur de mec me fit comme un choc électrique. Le tissu était bien usé et il y avait même quelques trous, il était humide du mélange de salive de tonton, de mouille et sans doute quelques gouttes de pisse. J’avais clairement envie de lui faire plaisir, de me soumettre à cette puissance virile. Je commençai à lécher le tissu, à passer ma langue partout à sentir les formes gonfler. Ses couilles me semblaient gigantesque par rapport à celle de tonton ou celles de Michel, mon patron ou même de Franck son fils que je trouvais pourtant déjà bien grosses. Je voulais prendre mon temps, profiter de ce plaisir, des parfums virils que dégageait ce paquet. Pendant ce temps Yves et tonton se roulaient des pelles et tonton massait les globes poilus des fesses d’Yves avec aussi le plus grand plaisir. Je sentais la bite d’Yves grossir et durcir. Je la dégageai du tissu maintenant bien mouillé pour découvrir une queue énorme ; je n’avais jamais vu une bite aussi large. Celle de tonton était assez longue mais bien plus fine comme la mienne. Je me demandais si j’allais pouvoir la prendre en bouche tellement ...

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