Après une journée de travail passée devant l’ordinateur, j’apprécie d’aller décompresser en allant me promener dans les bois, non loin de mon travail, avant de passer une nouvelle petite heure dans la voiture. C’est ce que je choisis de faire ce jour là. C’est l’hiver et même s’il ne fait pas très froid, il fait frais et le soleil commence à décliner.Pour décompresser, rien de mieux qu’une petite promenade sur un lieu de rencontre. Lorsque j’arrive, il y a quelques voitures de garées. Comme à chaque fois que je viens, je commence par faire un petit tour en m’éloignant du lieu, en suivant ce qui est maintenant une route à l’abandon, depuis la construction d’un contournement. Le soleil décline vite je ne me promène donc pas longtemps. Personne ne m’a suivi. Je fais demi tour et emprunte le dernier sentier du lieu de rencontre.J’ai déjà fait des rencontres isolées, rien de bien transcendant jusqu’à présent. Une fois j’avais rencontré deux hommes qui s’appréciaient non loin du sentier. J’étais plus surpris qu’eux. Je les avaient observés de loin. Un se penchait devant l’autre et le suçait. A cette distance on ne voit pas grand chose. J’ai du les freiner car il ne restèrent pas longtemps et repartirent. J’espère ne pas les avoir dérangés...Ça s’est reproduit une autre fois et là je n’avais pas osé les observer trop longtemps de craintes de les déranger. Mais, finalement, à s’apprécier aussi près du sentier, n’était ce pas une invitation ou de l’exhibition ? Cette interprétation m’excitait.Cette excitation de l’acte exhibée m’amena à revenir dans cette optique. Mais après deux ou trois venues, je n’avais rencontré que des hommes isolés. Une autre fois je n’étais pas très disposé et je m’étais contenté de les observer, de loin. Je ne semblais pas les déranger, j’ai donc apprécié à distance, en me caressant. C’était excitant. Mais ils se sont contenté de se sucer mutuellement, derrière un arbre. Il y en qu’un sur les deux qui semble avoir trouvé satisfaction. Ce dernier est repartit aussitôt terminé. Le second m’a rejoint et là, sur le sentier même il me caresse. J’ouvre le pantalon puis il me le baisse pour prendre mon sexe en bouche. Ça ne dure pas longtemps et il me fait jouir, en me branlant et suçant alternativement. Il ne semble pas apprécier le sperme, et je reste sur un plaisir inachevé d’autant que personne ne nous a surpris comme je l’espérais.Voilà ou j’en étais ce soir là d’hivers. J’espérais rencontrer deux voir plus d’hommes. J’espérais en voir un se faire prendre tandis qu’il sucerait d’autres, à tour de rôle. Je m’approcherais et avec des regards encouragent et excités, ils m’inviteraient a les rejoindre. Je les regarderais prendre le passif, à tour de rôle, je me ferais sucer pendant qu’un autre ...

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