Je fis une nouvelle visite à mon insatiable "goulue", visite qui était pleine de promesses. Elle m'accueillit avec le sourire et les bras ouverts, et pendant que nous échangions de longs et tendres baisers, nos mains allaient instinctivement prodiguer forces caresses. Avant de commencer nos ébats, elle me proposa de faire un café. Je la suivis dans sa cuisine et, me collant derrière elle, je saisis à pleines mains ses deux nichons que je caressais longuement, ce qui sembla lui faire un effet agréable. Depuis que je la connais j'ai toujours été attiré par ses formes plantureuses, et notamment son opulente poitrine mais que je trouvais oh combien ensorcelante. Je sentais ses pointes se durcir de plaisir sous mes doigts, alors que dans le même temps elle ondulait sa croupe contre ma braguette en me disant hypocritement "arrête, il faut que tu gardes de l'énergie pour tout à l'heure". Café pris sur le canapé du salon, elle m'entraina ensuite dans sa chambre où nous reprîmes nos embrassades langoureuses, nos attouchements coquins et à nous débarrasser de nos vêtements inutiles pour ce que nous avions à faire. Elle s'allongea sur le lit, cuisses bien écartées dans l'attente de son mâle qui, déjà bandait dur depuis un moment, et dont cette vue ne pouvait qu'accentuer son état. "Viens mon chéri, viens vite me baiser, j'ai trop envie". Comment ne pas obéir à une telle injonction ? Je me précipitais pour la monter sans retard, et la pris dans la position la plus classique qui soit. Tout en s'embrassant avec des langues très animées, je la pénétrais bien en profondeur, sa chatte étant déjà bien lubrifiée par le désir, et mes va et viens déclenchèrent bien ses premiers gémissements qui allèrent crescendo. Plus je la limais et plus haut elle levait les jambes. Au début c'était "Oh continue mon chéri, qu'est-ce que c'est bon" ou "encore mon amour, ne t'arrête pas". Pourtant c'est elle qui prit la soudaine initiative de vouloir changer de position et de vouloir monter son étalon. Installée ainsi sur moi, elle commença à me chevaucher, c'est elle qui donnait la cadence. J'avais sous mes yeux ses seins qui ballotaient sous mes yeux, ce qui n'était pas fait pour calmer mes ardeurs. Ils m'hypnotisaient littéralement, je pouvais les prendre là encore à pleines mains, les caresser longuement, titiller ses pointes bien dures, et occasionnellement les téter goulument. Par moment elle se penchait en avant sur moi et je pouvais sentir la peau douce de ses nénés caresser mon buste, nous pouvions aussi nous embrasser à pleine bouche et nos langues n'étaient pas inactives, bien loin de là. Mais devait arriver ce qui arrive, ses mots d'encouragement se transformèrent peu à peu en onomatopées, elle se redressa bien droite, mes mains lui caressaient à tour de rôle ses hanches, puis la rondeur de ses fesses. De son côté elle mit ses mains en arr ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad