À une époque de ma vie où j'étais en galère, je me suis retrouvé à vivre en colocation avec une fille qui était une amie d'un collègue de travail. Une archéologue fraîchement diplômée, physiquement elle avait tout pour m'exciter caucasienne avec des airs de sainte nitouche, corpulence normale avec des petits seins en forme de pêche et de belles grosses fesses bien comme j'aime. Mais bon comme tout bon gentleman qui se respecte j'ai réussi à déconnecter mentalement le "nerf du cul" qui relie mon chibre à mon cerveau.Parce que tenter quoique ce soit d'accord...si ça se passe bien tant mieux; par contre dans le cas contraire vivre au quotidien dans un climat hostile n'est souhaitable pour personne. En plus elle avait un gars rencontré sur une fouille archéologique qui habitait en province, elle le rejoignait de temps en temps et lui venait certains week-end. Situation qui me convenait parfaitement car les jours où j'avais l'appartement pour moi tout seul c'était la foire à la saucisse ; je dirais plutôt le festival de la moule !!!À cette époque j'étais célibataire et j'avais atteint le grade de queutard 4ème Dan décoré par Jackie et Michel en personne. J'étais à l'affût, tout mes sens étaient en éveil, à la moindre occasion de rencontrer quelqu'un j'étais sur le dossier : sites de rencontres, soirées, une passante dans la rue, la boulangère...j'étais dans le multivers.Alors vous comprenez bien que vivre avec une femme sans qu'il ne se passe quoique se soit est plus que difficile pour moi. Heureusement comme tout bon pervers qui se respecte j'ai mes travers; mon truc c'est que je suis un peu voyeur et mon péché mignon c'est que j'adore entendre à travers les murs des couples baiser. Entendre les gémissements d'une femme et la chaire qui claque m'excite au plus haut point !!!Je faisais tout au quotidien pour que ma colocataire ne voit en moi à aucun moment un partenaire potentiel. Alors quand je savais qu'elle allait être à la maison je faisais en sorte de faire mes affaires ailleurs. Mais par contre quand je savais que son mec venait, je faisais tout pour être présent. Ce qu'il faut savoir, c'est que notre appartement était un petit duplex inversé sur deux étages. Au deuxième la porte donnait sur le salon et au première étage j'avais directement accès à ma chambre. Je pouvais entrer sans qu'on m'entende, sol en carrelage et gonds des portes huilés par mes soins régulièrement, tout mes déplacements se faisaient à pas feutrés impossible de détecter ma présence. En plus on s'était mis d'accord à mon emménagement que dès qu'on quittait l'appartement on fermait la porte de nos chambres à clefs pour éviter tout malentendu. Ce qui faisait partie bien sûr de mon plan machiavélique. J'ai réussi mon opération deux ou trois fois et j'ai adoré entendre ses petits gémissements; mais bon jamais d'orgasmes ou de cris à gorge déployée à mon grand regret. Son gars c'était pas le meilleur coup de la terre, suivant mon estimation je pense qu'il avait atteint le grade de ceinture orange avec des rayures jaunes.Puis arrive un beau jour où je rentre assez tard, en passant par l'accès direct à ma chambre. J'ai su tout de suite qu'elle était là car j'entendais le son du film qu'elle regardait sur son PC.J'étais tranquillement installé dans mon lit et j'entends comme un vrombissement sourd par intermittence, ce qui attire mon attention mais pas plus que ça. Tout d'un coup je me rends compte que le bruit vient de la chambre de ma coloc. Alors ni une ni deux je colle mon oreille contre le mur. Et la pas de doute elle était entrain de se goder la petite cochonne; elle savait se faire discrète mais pas suffisamment pour mon oreille experte.Ça me rendait fou de savoir que de l'autre côté du mur il y avait une femme qui avait qu'une seule envie et c'était de se faire sauter. Là forcément toutes les stratégies possibles et imaginables se sont échafaudé dans mon cerveau pour accéder à son clito. Comme je ne trouvais pas l'angle d'attaque je me suis mis à faire les cent pas entre ma chambre, le salon, la salle de bain je n'en pouvais plus. Jusqu'au moment où elle s'est mise à m'appeler et là pendant les quelques mètres que je parcourais pour arriver à sa porte je peux vous dire que j'avais la musique de la ligue des champions dans la tête. J'ai entre ouvert la porte j'y ai passé ma tête et elle a commencé à me poser des questions pour savoir comment allait se passer ma journée du lendemain. J'ai maladroitement répondu parce que j'étais troublé par la situation.Je me rendais compte que pendant notre discussion elle avait une attitude assez bizarre, elle était sous sa couverture jusqu'au menton et n'arrêtait pas de changer légèrement position surtout au niveau des hanches.Au bout d'un moment je commence à lui demander si elle allait bien, au moment où je lui demande ça elle a commencé à se tortiller de plus en plus, alors je me rappro ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad