Avec Jules, nous avons décidé de changer l’agencement et les meubles de notre cuisine. Bien sûr, nous nous sommes bien amusés avec le cuisiniste. A force d’allusions de plus en plus salaces, nous sommes parvenus à le faire rougir et c’est à ce moment que nous avons réussi à lui faire baisser le prix au maximum possible. On a essayé ensuite de lui faire baisser plus que le prix…L’agence fermait et tous les collaborateurs quittaient la place pour rentrer chez eux. Nous restions seuls avec Max. Le temps que la dernière feuille sorte de l’imprimante et nous signions le devis. Evidemment Jules s’était arrangé pour caresser la main de Max en saisissant son stylo (celui qui permet d’écrire) et après la signature, nous lui avons tendu le stylo tout en vérifiant que son autre stylo était bien tendu. C’est moi qui ai posé le stylo dans la main du cuisiniste et Jules lui a posé la main… Un regard entre nous et je comprends que le stylo de Max est bien tendu. Jules dégrafe la ceinture puis le bouton de braguette dont il descend le zip avant de plonger sa main au travers de l’élastique du slip.Max ne sait plus où donner de la tête. Nous l’invitons à se lever pour lui faire baisser non plus le prix mais le slip et le pantalon. Jules s’agenouille devant lui et entame une de ses fellations magiques quant à moi, je place une main derrière sa nuque et colle mes lèvres contre les siennes avant d’y introduire la langue. Je n’ai pas encore entrepris sa bouche avec ma langue qu’il gémit déjà de bien-être : normal puisque Jules s’occupe de son stylo ! Je m’imagine à sa place : une langue qui entoure mon gland en y déposant une dose de bave bien visqueuse, une main sous mes couilles qui les soupèse avec une telle délicatesse qu’elles se retrouvent en quasi apesanteur avec tout ce qu’elles contiennent comme promesses. Et cette succion qui attire tous mes fluides vers l’intérieur de cette bouche affamée. Je ressens cette bouche qui m’absorbe jusqu’à ce que ses lèvres viennent bloquer sur mes testicules gonflés et que mon gland ait franchi ses amygdales.Et puis je retrouve mes esprits : ce n’est pas moi qui suis sucé par Jules. Max est pris entre deux feux, les deux étant tout aussi faiseurs de bien-être. Alors j’entreprends de faire danser cette langue, très douce, contre la mienne. Max ne peut se retenir et tout en haletant du plaisir procuré par la fellation de Jules, il active sa langue en la faisant danser dans le même rythme que la mienne. Les deux langues forment un couple inséparable et virevoltent ensemble dans une frénésie de plaisir. Je sens mon sgeg qui se tend dans ma culotte et j’invite Max à le délivrer. Il est ballot : c’est la première fois qu’il défait une braguette de mec (pas dans le même sens que pour les nanas). Jules et moi sommes en train de le dépuceler au niveau homosexuel et son alliance d’hétéro marié nous a ...

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