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Une trans brésilienne a LYON

Publié par : winterfel le 13/05/2022

Bonjour à tous les nombreux lecteurs et les nombreux notateurs de mes 2 premières histoires vous relatant mes premiers émois bisexuels. Je vous remercie de vos notes et messages d’encouragement à poursuivre mes récits.Cette fois je ne vais pas vous raconter mes premières fois c’est déjà fait. Je vais simplement vous raconter une rencontre que j’ai faite avec un transsexuel lors d’un séjour à LYON.L’histoire se passe il y a quelques années. Une fois n’est pas coutume je me trouve sur LYON pour le travail mais suite à une grève de la SNCF je me retrouve bloquer à LYON dans un hôtel situé secteur Perrache à LYON. Je suis donc seul dans cet hôtel du genre formule 1. La chambre est plus que réduite au stricte nécessaire mais malgré tout, très propre, pour une fois. L’insonorisation n’est par contre pas excellente et la moindre porte qui se ferme un peu fort fait raisonner les maigres cloisons de tout l’hôtel y compris ma chambre. J’entends les gens marcher dans le couloir, monter les escaliers mais aussi discuter entre eux. C’est juste un peu pénible, j’entends un homme parler au téléphone et rire fortement, un autre monter les escaliers en buvant ou plutôt en aspirant un café vu le bruit que sa bouche faisait. Malgré tout sur les coups de 22 h, allongé sur mon lit à regarder la télé, et devant un programme complètement soporifique l’oreiller gagne la bataille et je m’endors au premier round. Je suis réveillé 45 minutes plus tard par des rires d’un couple essayant d’ouvrir leur porte de chambre, juste à coté de la mienne. Ils semblent avoir bien arrosé la soirée vu les propos tenus. J’entends l’homme dire à la femme qui l’accompagnait, qu’elle est« bonne » et que cela lui fait de l’effet parce qu’il bande sévère. Ne parvenant pas à retrouver le sommeil (cette fois c’est moi qui a gagné le combat VS l’oreiller même si j’aurai préféré perdre cette fois LOL). Je m’apprête donc à sortir bien décider à leur demander de faire moins de bruit, quand j’entends la femme lui dire qu’elle sait comment calmer ses ardeurs. J’entends un bruit de boucle de ceinture de pantalon, une braguette qui descend et quelques secondes plus tard j’entends l’homme pousser des soupirs en disant que c’est trop bon. J’ai la main sur la porte prêt à ouvrir et J’imagine aisément cette femme entrain de sucer le sexe de son ami. Je reste immobile mais les bruitages de cette fellation me font monter mon excitation et je commence à caresser mon sexe qui grossit doucement. Il doit lui avoir pris la tête parce qu’il lui dit « Ohh Ouiii suce moi bien, comme ça, bien à fond » et j’entend un petit haut le cœur, signe qu’il a bien touché le fond le bougre. Je suis excité comme une puce et je veux sortir discrètement pour essayer de mettre une image au son. Je tourne la poignée de ma porte le plus discrètement possible mais dans ces hôtels, le mot discrètement a été banni depuis longtemps. La poignée se met à couiner (elle aussi LOL) ce qui a pour effet de stopper net ce couple et de les faire disparaître précipitamment dans leur chambre. Put… de poignée de Mer… !!!! Il ne s’écoule que quelques minutes avant que j’entende de nouveau des gémissements, des soupirs, des petits cris, des bruits de succion, de claquements de testicules, des souffles haletants, des échanges de mots osés entre ces deux veinards. Mon excitation est complète et je me masturbe lentement en accélérant, en décalottant mon gland pour le voir émerger par ce petit excédent de peau que nous avons tous LOL. J’ai une envie de sexe qui ne part pas. Je me rhabille et je sort pour m’aérer un peu autour de la gare de perrache et le stade de Gerland pour ceux qui connaisse. J’arrive le long des quais et je remarque la présence de camionnettes éclairées par des bougies. Je ne sais pas qu’il y a des prostituées dans le secteur, en tout cas pas autant. L’air frais de la nuit n’y faisant rien, l’excitation est belle et bien là. Dans un coin d’une rue, sous la lumière d’un lampadaire, je remarque une jolie métisse qui se tient debout à coté d’une camionnette, elle porte des bottes de cuir noir jusqu’aux genoux, des bas résilles noirs, et une guêpière en latex noire avec un décolleté laissant apparaître une magnifique poitrine rebondie à souhait. Elle a les cheveux longs et attachés en queue de cheval. Elle est ravissante. Je la dévisage de la tête au pied quand elle m’aborde la première. Elle me demande si je veux voyager au Brésil ? Je ne voyait pas trop où elle voulait en venir et je lui répondis poliment que cela ne m’intéressait pas et je lui souhaite une bonne soirée. Elle ouvre la porte latérale de sa camionnette et m’invite une nouvelle fois à visiter le Brésil à travers elle. Je comprends qu’elle doit être Brésilienne vu son accent et je m’approche d’elle, un parfum d’encens sort du camion, aussitôt elle me demande si je veux passer du bon temps et que c’est 20 euros la pipe, 40 l’amour et pour 80 euros j’avais le droit à la spéciale brésilienne. Elle sent bon la vanille et elle m’excite beaucoup avec son accent qui me fait penser à copacabana. mon pantalon doit s’en souvenir encore tellement je bandais fort. J’accepte donc de la suivre et je monte dans la camionnette. Après tout on a qu’une vie. Cela sent bon à l’arrière, quelques bougies éclairent l’endroit. Je peux voir un lit prenant toute la largeur du véhicule sur lequel elle s’asseoir. Je sors un billet de 20 euros de ma poche et je lui dis que je veux bien être sucé. Elle descend mon pantalon, je n’avais rien d’autre en dessous comme d’habitude. Elle prend une lingette et m’essuie le sexe avec. J’apprécie le geste et la caresse de cette lingette humide et froide me fait tressaillir. Elle se met à rigoler et prend mon sexe dans sa main comme pour me réchauffer. Sans attendre et après quelques va et vient avec sa main sur mon sexe bien tendu, elle l’avale littéralement et commence une fellation alliant douceur et accélération, chaleur et sensualité. Je pose mes mains sur sa tête, pour la faire aller plus à fond et et je descends sur ses seins qui ne demandaient qu’à être pelotés. Elle me dit si tu veux toucher c’est plus cher et que pour 20 euros de plus je pouvais la prendre par derrière en même temps. Excité comme une puce, je me penche et reprend 20 euros dans ma poche que je lui tend. Elle enlève sa guêpière et deux seins arrondis et fermes se dressent devant moi. Je lui demande si je peux les embrasser aussi, elle accepte, je les prends à pleines mains je les palpes délicatement, je les caresses, je lui prends ses tétons tous durs entre me doigts que je fais rouler. Ma métisse a repris sa fellation en même temps et moi je suis toujours debout face à elle et je lui caresse ses seins superbes. Je lui dit que j’ai envie de la prendre et aussitôt elle s’arrête net et vient se positionner à 4 pattes me laissant admirer son magnifique arrière train aussi re ...

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