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Une vieille lubrique (2)

Publié par : voyeurcoquin le 13/11/2024
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Laure ne proteste pas, très occupée à jouir de la langue de sa compagne et à la faire reluire. J’en profite pour enfoncer mon doigt de quelques centimètres en perforant le sphincter, arrachant à ma belle un petit cri étouffé. Je caresse son cul de ma main libre tout en ne bougeant plus de l’autre. Puis progressivement, très lentement je m’enfonce dans le conduit rectal, qui à ma grande surprise n’est pas sec mais onctueux. Je retire presque complètement mon doigt puis je l’enfonce à nouveau, répétant l’opération de nombreuses fois. Laure ne rétracte plus ses fesses à la poussée de mon doigt mais au contraire les projettent à chaque fois que j’enfonce mon doigt dans son cul. C’est certain, j’enculerai cette femme aujourd’hui ; elle a des dispositions à la sodomie. Je vois le visage de Marthe qui gougnotte la vulve de son amie Laure ; mais j’ai aussi mon vit qui se balance entre mes jambes et je l’approche de la bouche de mon amante qui l’avale sans rechigner. Elle me pompe pendant que je coulisse mon doigt dans les entrailles de Laure qui a l’air d’apprécier. Puis à ma grande surprise, Marthe de ses deux mains, guide mon pénis vers la chatte de sa compagne et l’introduit à l’intérieur, me léchant les couilles pour m’exciter encore plus. Je ne me fais pas prier, et abandonnant ma préparation à la sodomisation, je prends Laure en levrette, m’enfonçant jusqu’à la garde dans son vagin en attendant son cul. Elle feule lorsque j’atteints son utérus, la défonçant de toutes mes forces et la pilonnant sans relâche, alors qu’elle gémit et crie sou mes coups de boutoir. Au moment de jouir, je me retire brutalement et asperge le visage de Marthe, qui aspire aussitôt ma bite pour ne rien perdre. Un peu épuisées tout de même mes sexagénaires ; elles me demandent de souffler un peu et je m’installe entre les deux femmes, leurs mains entourant ma bite bien molle et les miennes passant dans leur dos pour tenir un sein de chaque dans mes mains. Nous sommeillons ainsi une bonne heure jusqu’à ce que ma pine se redresse sous les doigts agiles de Marthe et de Laure qui me masturbent avec délicatesse. Je tourne alternativement ma tête pour les embrasser chacune leur tour et bientôt elles prennent mon vit en bouche se partageant la tâche. Mais sentant mon éjaculation venir, je me redresse et serre très fort mon membre entre mes doigts pour éviter de rester sans munitions. J’écarte les cuisses admirables de Laure et je contemple avec avidité la toison abondante et la corolle en losange presque parfaite qui se trouve en son centre. Avec deux doigts, j’entrouvre la chair brune des lèvres et j’appuie ma bouche et sort ma langue pour explorer l’antre divin. Je goûte avec ravissement le suc qui s’échappe de l’antre vaginal, lapant avec délice la cyprine qui, par l’excitation produite, gonfle exagérément les lèvres et donc la vulve de ma septuagénaire - qui donc a dit que les femmes après quarante-cinq ans ne mouillent plus ? – en tous cas Laure mouille abondamment et j’accentue encore sa volupté en titillant avec ma langue son méat urinaire, recueillant de petits jets de pisse qu’elle ne peut contrôler. Enfin, décalottant avec mes lèvres le capuchon de son clitoris, j’aspire ce dernier et le suce délicatement. Laure se tend soudain, arcboutant son corps et poussant un cri rauque discontinu devant l’orgasme qui la submerge. Me dégageant de ses cuisses, je viens l’enlacer et l’embrasser, heureux de l’avoir fait jouir de la sorte. Entre deux baisers elle m’avoue qu’aucun homme n’a daigné l’honorer ainsi alors qu’elle en a toujours eu envie. Elle m’est très reconnaissante de lui avoir fait connaître ce plaisir ultime où les orgasmes dit-elle se sont succédés sans interruption, allant crescendo jusqu’à la « petite mort » finale.- Disposes de moi comme tu le veux, je suis tout à toi me dit-elle en me baisant la bouche.- Si je te prends au mot ma chère Laure, il va falloir que tu m’offres le pucelage de ton cul, je lui réponds-Laure est prise d’un léger tremblement et ses yeux se perdent dans un monde imaginaire. Pourtant elle ne se démonte pas et me souffle.- Va doucement mon Chéri, j’ai très peur mais mon derrière est à toi. Ne me fais pas trop souffrir s’il te plaît. Beaucoup d’hommes me l’ont demandé – je n’ai jamais accepté. Mais toi, tu le mérites amplement.Depuis le début de nos ébats j’ai une furieuse envie d’enculer cette femme admirable dont la classe m’émeut. La beauté, la distinction, l’âge, tout cela s’ajoute à mon désir de sodomie et de domination. Je demande à Marthe si elle a de la vaseline ; à cette époque, en 1963, il n’y a pas encore de lubrifiant sexuel comme à présent. Bien entendu, la vaseline fait partie de la vie courante des ménages et Marthe m’apporte un gros tube de la pommade désirée. Je demande à Marthe une toile cirée que je dispose sur le lit et je demande à Laure de prendre position au milieu du tissu protecteur à quatre pattes. Je glisse trois gros coussins sous son ventre et écarte ses cuisses. Laure est dans une posture certainement très humiliante, le derrière en l’air, mais ce n’est pas pour me déplaire. Elle a ainsi une position plus confortable et j’ai une vue compète sur son entrecuisse, depuis l’anus, la raie culière et la vulve très ouverte qui laisse s’écouler une mouille abondante. J’en profite pour en étaler sur la rosace de son anus et pousse ainsi la mouille avec mon petit doigt dans le conduit rectal. Je prends alors le tube de vaseline sur lequel Marthe a vissé la canule qui va avec et je l’introduis délicatement dans le trou du cul de ma belle. J’envoie une bonne giclée dans les entrailles de Laure, puis je le retire très doucement en appuyant sur le tube pour que la vaseline garnisse le conduit anal jusqu’à la sortie du rectum en passant par les sphincters. Certain que la lubrification fera son effet, j’enduis trois de mes doigts et, enfonçant d’abord l’index profondément, je badigeonne le fondement de la vaseline accumulée.Laure a eu un brusque sursaut lorsque mon doigt l’a pénétré ainsi, mais elle me laisse opérer sans protester. Je retire mon doigt et l’entre à nouveau à maintes reprises, puis, je tente d’entrer le second. Un gémissement sort des lèvres de ma future enculée, mais elle tend son croupion vers mes doigts en signe d’assentiment à ce que je lui fais subir. Il m’est plus difficile de pousser mon troisième doigt dans le cul très serré de la douairière, mais j’y arrive enfin et tourne et retourne mes doigts durant plus de vingt minutes pour élargir l’entrée du rectum que je me propose de violer bientôt. Enfin, je pense que ma patiente est prête, mais pour profiter pleinement de son dépucelage, je veux voir son visage. Aussi je retourne comme un pantin ma septuagénaire tout en laissant ses reins sur les coussins pour que sa vulve et son cul puissent être facilement accessibles. Laure perd pied à l’intromission imminente de son d ...

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